jeudi 19 janvier 2012

Les Supernovas – phrases 20-23

En Salvación no hay diferencia entre insultar a un obrero o asesinar a un sacerdote. La pureza se tiene o no se tiene. No se puede atentar contra la obra del Creador de ninguna manera. Salvo en mi caso: soy verdugo, la mano armada de la Justicia Divina.

Traduction temporaire :
À Rédemption,  insulter un ouvrier ou assassiner un prêtre revient au même. On est pur ou on ne l'est pas. Nul ne peut d'aucune façon que ce soit attenter à l'oeuvre du Créateur. Sauf moi : moi,  je suis bourreau,  le bras armé de la Justice Divine.

11 commentaires:

Vanessa a dit…

À Salvación, pas de différence entre insulter un ouvrier ou assassiner un prêtre. On est pur ou on ne l'est pas. On ne peut en aucune façon attenter à l'oeuvre du Créateur. Sauf dans mon cas : je suis bourreau, la main armée de la Justice Divine.

Tradabordo a dit…

En Salvación no hay diferencia entre insultar a un obrero o asesinar a un sacerdote. La pureza se tiene o no se tiene. No se puede atentar contra la obra del Creador de ninguna manera. Salvo en mi caso: soy verdugo, la mano armada de la Justicia Divina.

1) Pas un peu abrupte, cette première phrase… sans verbe conjugué. J'ai eu beau lire et relire, ça gratte, ça pique.

2) D'aucune façon.
+ Essaie de faire en sorte que la phrase ne commence pas par « on », comme la précédente ; ça crée un rythme qui n'est pas en V.O.

3) « Sauf moi » ne suffit pas ?

4) Après les deux points : re « moi » ; pour bien isoler son cas.

5) La « MAIN armée » ????? Vanessa… ouh ouh ?!?!?!

Vanessa a dit…

1) Mettons "il y a".

2) Est-ce que j'ajoute par rapport à la VO si je traduis par "personne ne peut d'aucune façon attenter..." ? Cela fait écho aux "moi" qui suivent.

3) Mais oui, bien sûr, j'avoue que j'ai traduit sans réfléchir. C'est le bras.

À Salvación, il n'y a pas de différence entre insulter un ouvrier ou assassiner un prêtre. On est pur ou on ne l'est pas. Personne ne peut d'aucune façon attenter à l'oeuvre du Créateur. Sauf moi : moi, je suis bourreau, le bras armé de la Justice Divine.

Tradabordo a dit…

1) Est-ce qu'on déjà « il y a » plus haut ? Sinon, pas de raison de l'escamoter.

2) Personne ne peut d'aucune façon attenter à l'oeuvre du Créateur.
Et avec « nul »… ? Essaie voir…

3) Tu sais bien que traduire sans réfléchir est toujours désastreux. Pourquoi pas lire Kant en regardant Ally McBeal en même temps ?

Vanessa a dit…

1) "Il y a" apparaît une fois en tout début de texte. Je ne pense pas que ça choque de le retrouver ici.

2) "Nul ne peut d'aucune façon attenter à l'oeuvre du Créateur."

3) Oui, autant ne rien faire dans ce cas ! L'un comme l'autre deviendraient incompréhensibles.


Cela donne :

À Salvación, il n'y a pas de différence entre insulter un ouvrier ou assassiner un prêtre. On est pur ou on ne l'est pas. Nul ne peut d'aucune façon attenter à l'oeuvre du Créateur. Sauf moi : moi, je suis bourreau, le bras armé de la Justice Divine.

Vanessa a dit…

- En aparté -

Dans le récapitulatif de notre texte, colonne de gauche, une petite phrase de nos commentaires s'est glissée là où elle ne devrait pas être, même si, finalement, elle s'intégrait plutôt bien...!

Le morceau en trop est entre chevrons :

Je suis impatient de leur briser les côtes à grands coups.
< Non, non, je ne rougis absolument pas..., > Je veux les voir morts.

Tradabordo a dit…

1) Non, si on a déjà « il y a », j'aimerais autant qu'on trouve autre chose. Tu sais bien que le critère « ça ne gêne pas » ne me convainc guère.

2) Nul ne peut d'aucune façon attenter à l'oeuvre du Créateur.
Comme c'est un peu grandiloquent (genre impératif catégorique) – à dessein, je crois, pourquoi ne pas aller jusqu'au bout =
Nul ne peut d'aucune façon que ce soit attenter à l'oeuvre du Créateur.

Le reste : OK

Tradabordo a dit…

À propos de l'aparté : excellent ! Effectivement, ça s'insérait bien. Mais je vais aller couper ces petites fioritures, que l'auteur n'apprécierait certainement pas ;-)

perrine a dit…

Je valide la proposition de Vanessa, en changeant juste "Salvación" par "Rédemption", car nous nous étions mis d'accord il me semble, non ?

Tradabordo a dit…

Ah oui, Perrine, tu as raison… Mais attends, Vanessa a encore deux ou trois petites choses à régler, n'est-ce pas ? Il faut qu'elle fasse pénitence pour avoir lu Kant en regardant Ally McBeal ;-)
Et elle prendra aussi la peine de récapituler.

Vanessa a dit…

Mais oui, Rédemption, merci Perrine !

1)"À Rédemption, insulter un ouvrier ou assassiner un prêtre revient au même."

2) Oui pour l'impératif catégorique.

Récapitulation :

À Rédemption, insulter un ouvrier ou assassiner un prêtre revient au même. On est pur ou on ne l'est pas. Nul ne peut d'aucune façon que ce soit attenter à l'oeuvre du Créateur. Sauf moi : moi, je suis bourreau, le bras armé de la Justice Divine.