Supongo que me quedé aquí mismo, y mi conciencia simplemente permaneció en estado suspendido, y cuando me descongelaron (estuve más helado que un iceberg por quién sabe cuánto tiempo), reinicié como las computadoras, ¿no?
Traduction temporaire :
J'imagine que je suis resté exactement ici, que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en état de veille et que, lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tel un ordinateur ; car c'est ce qui m'est arrivé, non ?
J'imagine que je suis resté exactement ici, que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en état de veille et que, lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tel un ordinateur ; car c'est ce qui m'est arrivé, non ?
19 commentaires:
J'imagine que je suis resté ici même, que ma conscience est tout bonnement demeurée en état de veille, et que lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant je ne sais combien de temps), j'ai redémarré tel les ordinateurs, non?
1) j'ai mis "tout bonnement" pour éviter la répétition avec "purement et simplement" de la phrase précédente
2) "je ne sais combien de temps" : je l'ai mis à la première personne car il m'a semblé que c'était plus naturel.
Je fais fragmenter, parce que c'est encore très long.
Supongo que me quedé aquí mismo,
J'imagine que je suis resté ici même,
« ici même » ou « exactement ici » ?
y mi conciencia simplemente permaneció en estado suspendido,
que ma conscience est tout bonnement demeurée en état de veille,
1) Pourquoi avoir supprimer le « et » ?
2) « tout bonnement » = FS.
3) « en état de veille » = CS.
Occupons-nous déjà de cela et nous verrons la suite après.
Au vu de votre échange, j’apporte ma contribution pour la première partie de la phrase :
J'imagine que je suis resté exactement ici et que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en suspens,
Oui, c'est bien… Là, nous avons tout, à commencer par le sens.
Florence ?
Oui, en effet ! Merci à Lætitia !
Je m'étais quelque peu égarée avec cette idée de métaphore informatique... ^_^
J'imagine que je suis resté exactement ici et que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en suspens,
y cuando me descongelaron (estuve más helado que un iceberg por quién sabe cuánto tiempo), reinicié como las computadoras, ¿no?
et que lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant je ne sais combien de temps), j'ai redémarré tel les ordinateurs, non?
1) Plus « glacé » ? Cherche un synonyme… ça n'est pas très naturel. Nous nous rabattrons sur cet adjectif faute de mieux.
2) Quién sabe… – donc pas « je ».
3) GRAMMAIRE : Tel s'accorde avec ce qui suit !
4) « non » ??????? Dirais-tu cela spontanément en français ? Adapte. Mets-toi dans la peau du personnage et fais-le parler comme tu parlerais dans le même contexte, avec le même âge… et la même personnalité.
1) Pourquoi pas "gelé" ?
"J'ai été plus gelé qu'un iceberg..."
2) On pourrait adapter l'expression avec "on" :"pendant on ne sait combien de temps".
3) "j'ai redémarré tels les ordinateurs"
Pour ma part, j'avais pensé garder le verbe "réinitialiser" qui appartient bien au vocabulaire informatique. Je ne suis pas une pro, mais une chose est sûre : "redémarrer" et "réinitialiser" n'implique pas la même opération...
4) "non ?"
Le problème pour traduire le "non" tient au fait qu'il fonctionne "en couple" avec le "oui" qui suit. Il faut donc trouver une tournure double. J'ai par exemple en tête : "incroyable, mais vrai".
5) Reste le problème de commencer la phrase par "et que". On a déjà la liaison précédemment avec "et que ma conscience". Le plus simple est sûrement de supprimer le premier "et".
et que lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus gelé qu'un iceberg pendant on ne sait combien de temps), j'ai redémarré tel les ordinateurs / j'ai été réinitialisé comme un ordinateur. Incroyable mais vrai !
Je vais attendre l'avis de Caroline concernant les propositions de Laetitia mais je souhaitais juste expliquer mon choix pour le 3) :
Redémarrer et réinitialiser ont en effet deux sens distincts; si j'avais opté pour "redémarrer", c'était uniquement dans le cas où "estado de suspenso" était traduit par l'idée de "mise en veille". Je pensais que les 2 idées allaient de pair : après une mise en veille, l'ordi redémarre, mais ne se réinitialise pas.
J'en profite pour expliquer pourquoi j'en étais d'ailleurs venue à cette métaphore informatique: après quelques recherches sur Internet, je m'étais rendue compte que "estado de suspenso", "modo de suspenso", "estado suspendido", "modo de suspensión" ou encore "estado de suspensión" étaient autant de façons de dire qu'un ordinateur était "mis en veille", "en mode veille", "en état de veille", "en veille", ou "sleep mode" :
- La suspensión es un estado de ahorro de energía. Al entrar en suspensión, todos los documentos abiertos y programas se guardan y el equipo puede reanudar rápidamente el funcionamiento a pleno rendimiento (normalmente en unos segundos) cuando desee seguir trabajando.
- Suspender el sistema es como poner en pausa un reproductor de DVD: el equipo detiene inmediatamente todo lo que está haciendo y queda listo para empezar de nuevo cuando desee seguir trabajando.
J'avais même trouvé des exemples sur Google, sur des forums informatiques, etc :
- Muchos portátiles, al cerrar la pantalla, se suelen poner en modo de suspenso.
- En función de la configuración de administración de energía de su equipo, éste también puede entrar automáticamente en el modo de suspensión después de un período de inactividad para ahorrar energía.
- Consumo del PC en estado suspendido :
- Si es sólo por unas horas o durante la noche, suele ser más práctico ponerlo en modo de suspensión.
- Mientras el equipo está suspendido, las luces de hardware pueden parpadear lentamente o cambiar de color. Es algo normal.
- Se despierta del modo de suspenso
Les propositions de Laëtitia :
1) Oui… d'accord.
2) Oui, ou plus simplement : pendant qui sait combien de temps… – plus dubitatif et détaché.
3) Je vous laisse trancher pour le choix du verbe « initialiser » ou « démarrer »… tant que la faute de grammaire ne réapparaît pas.
4) Docteur House intervenez, je vous en prie ! Laëtitia tu perds la boule : incroyable, mais vrai… ?????!!!!! Il faut trouver autre chose. D'autant que là, tu changes le sens.
Pour l'instant, je laisse de côté la dernière expression et reprends deux points épineux :
et que lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus gelé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tels les ordinateurs...
1) "décongelé" / "gelé" :
Je viens de m'apercevoir de la répétition. Du coup, je ne suis plus trop sûre de mon choix. Maintient-on cet adjectif malgré tout ?
2) "j'ai redémarré" :
Après la convaincante démonstration de Florence, je m'interroge sur la possibilité de filer la métaphore (d'autant plus qu'elle se poursuit dans les phrases suivantes). Que fait-on alors avec la première partie du paragraphe : "en suspenso". Revient-on à l'idée d'"état de veille" ?
1) Fouillez le dictionnaire des synonymes et voyons si quelque chose fait l'affaire.
2) OK pour « état de veille ».
Avançons sur ces deux points et récapitulez… – je commence à m'y perdre.
Pour ces deux points:
1) Comme synonymes de "gelé", il y aurait "frigorifié", "glacé", "refroidi", "transi". Ou encore "froid"? Je vais essayer avec ce dernier, en attendant l'avis de Lætitia!
2) si on garde l'idée de veille, "redémarrer" semble plus indiqué, surtout s'il a conservé ses souvenirs:
"Redémarrer" évoque de l'idée de reprise, tandis que "réinitialiser" implique d'effacer toute la mémoire de l'ordinateur afin de se retrouver dans la configuration de départ.
Je vais essayer de récapituler :
et que lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus froid/glacé/refroidi qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tels les ordinateurs, "no?"
J'imagine que je suis resté exactement ici, que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en état de veille et que, lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tel un ordinateur, non ? [Si.]
1) "que ma conscience" :
J'ai supprimé le "et" pour l'insérer en fin d'énumération.
2) "en état de veille" :
J'ai donc corrigé.
3) "plus glacé" :
Les adjectifs "transi" et "frigorifié" ne pouvant pas s'appliquer à une chose, et "froid" étant un peu faible, je crois qu'il ne nous reste que "glacé".
4) "tel un ordinateur" :
Je ne vous avais pas soumis mon idée jusque-là, mais je trouve décidément le singulier indéfini plus naturel dans la phrase !
5) "non ? Si."
Désolée mais je ne vois pas quoi employer d'autre que ce "non"... d'autant plus que la suite sera la réponse "oui".
Je précise qu'on ne peut pas recourir à "n'est-ce pas" qu'on a déjà utilisé un peu plus haut.
J'imagine que je suis resté exactement ici, que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en état de veille et que, lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tel un ordinateur, non ? [Si.]
Tout est bien, me semble-t-il… Et il reste le plato fuerte de ce « no » final. Je crois que vous allez être obligées de passer par une périphrase ; il a fait une comparaison entre ce qu'il a subi et ce que « subissent » les ordinateurs et il demande rhétoriquement validité du parallèle. J'espère que ça vous aidera ;-)
« car c'est bien… » La suite ?
Alors, je tente... :
J'imagine que je suis resté exactement ici, que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en état de veille et que, lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tel un ordinateur, car c'est (bel et) bien ce qui m'est arrivé.
Oui, et du coup le « non » de la fin se justifie – il faut l'ajouter.
J'imagine que je suis resté exactement ici, que ma conscience est pour ainsi dire demeurée en état de veille et que, lorsqu'on m'a décongelé (j'ai été plus glacé qu'un iceberg pendant qui sait combien de temps), j'ai redémarré tel un ordinateur ; car c'est ce qui m'est arrivé, non ?
OK ?
Validé !
Ouf… pas commode, votre texte – sous ses apparences paisibles et douces !
C'est le moins qu'on puisse dire !
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