Fue el primero en morir, bastantes años antes que su madre y mucho antes que sus hermanos, y aunque poseía fotografías e imágenes en video de la época, a su padre lo veía como a un completo extraño, nunca podía dibujar su rostro sin la ayuda de las fotos que guardaba, ni hablar de los sentimientos, no los sentía más que como una obligación, porque sabía que habían sido muy fuertes alguna vez.
Traduction temporaire
Il avait été le premier à mourir, de nombreuses années avant sa mère et plus longtemps encore avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des vidéos de l’époque, son père n'apparaissait plus dans son esprit que sous les traits d'un parfait étranger. Il n’arrivait jamais à convoquer son visage sans avoir recours aux images qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait de leur intensité passée.
Il avait été le premier à mourir, de nombreuses années avant sa mère et plus longtemps encore avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des vidéos de l’époque, son père n'apparaissait plus dans son esprit que sous les traits d'un parfait étranger. Il n’arrivait jamais à convoquer son visage sans avoir recours aux images qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait de leur intensité passée.
9 commentaires:
Il avait été le premier à mourir, quelques années avant sa mère et bien avant ses frères, et malgré les photographies et les images vidéos qu’il possédait de l’époque, il voyait son père comme un parfait étranger. Il n’arrivait jamais à dessiner son visage sans l’aide des photos qu’il conservait, ni à parler de ses sentiments, qu’il n’éprouvait plus que par obligation, car il savait qu’ils avaient été très forts un jour.
Fue el primero en morir,
Il avait été le premier à mourir,
bastantes años antes que su madre
quelques années avant sa mère
Quelques = FS.
y mucho antes que sus hermanos,
et bien avant ses frères,
(ça demandera à être légèrement aménagé quand tu auras réglé le problème du morceau précédent)
y aunque poseía fotografías e imágenes en video de la época,
et malgré les photographies et les images vidéos qu’il possédait de l’époque,
J'aimerais autant que tu sois plus près de la V.O. As-tu contourné « bien que » parce que nous en avons déjà ?
a su padre lo veía como a un completo extraño,
il voyait son père comme un parfait étranger.
À mon avis, « voir » est ambigu en français – précisément parce que le père est mort… Peut-être vaut-il mieux un verbe qui indique davantage qu'il le convoque mentalement, etc.
nunca podía dibujar su rostro sin la ayuda de las fotos que guardaba,
Il n’arrivait jamais à dessiner son visage sans l’aide des photos qu’il conservait,
Idem pour « dessiner » – trop concret. Cela relève des images et représentations mentales… ; ce qui exige d'adapter un peu le lexique.
ni hablar de los sentimientos,
ni à parler de ses sentiments,
On traduit littéralement ou on choisit un verbe un tout petit peu plus riche ?
no los sentía más que como una obligación, porque sabía que habían sido muy fuertes alguna vez.
qu’il n’éprouvait plus que par obligation, car il savait qu’ils avaient été très forts un jour.
« car il savait » ou « du fait que… » ?
1) 2) "Bien avant" puis "des années avant" ?
3)J'avais mis "malgré" car je croyait qu'on avait déjà plusieurs "bien que", mais en fait, on a 1 "malgré" et 1 "bien que".
4) "restait un parfait étranger à ses yeux" ?
5) "se représentait"?
6) "exprimer".
7) Oui "du fait" c'est mieux.
Il avait été le premier à mourir, bien avant sa mère et des années avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des images vidéos de l’époque, son père restait un parfait étranger à ses yeux. Il n’arrivait jamais à se représenter son visage sans l’aide des photos qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait qu'ils avaient été très forts un jour.
1) et 2) Je ne crois pas qu'on marque assez l'écart entre les deux. Essaie autre chose et met-le dans la phrase pour qu'on puisse juger de l'effet. Tu sais bien que j'ai besoin de lire…
3) Alors « bien que »… car ici, ça nous permettra de mettre un imparfait du subjonctif et ça n'est pas plus mal…
4) Non… car là, tu as carrément évacuer la visualisation mentale.
5) je pensais à quelque chose comme « convoquer ».
6) Pourquoi pas…
Jusque-là, j'ai commenté tes différents points… ; tu verras comment tu modifies, etc. Maintenant, je jette un coup d'œil à la phrase recomposée.
Il avait été le premier à mourir, bien avant sa mère et des années avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des images vidéos de l’époque, son père restait un parfait étranger à ses yeux. Il n’arrivait jamais à se représenter son visage sans l’aide des photos qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait qu'ils avaient été très forts un jour.
- Tu vois, il y a le problème « bien avant » + « bien que ».
- « images vidéos » ; est-ce qu'on ne devrait pas simplifier ?
- « sans l'aide » / « sans avoir recours » ?
- « qu'ils avaient été très forts » ; est-ce qu'on ne pourrait pas remplacer tout cela par un adjectif ?
1) et 2) "plusieurs années avant" /"longtemps avant"
4) Avec "évoquer" ?
5)" revoir", "visualiser" ou "convoquer" ?
6)Pour l'instant je ne vois pas d'adjectif pour remplacer le tout. J'ai essayé "du fait de leur force passée", mais je ne suis pas du tout convaincue.
Il avait été le premier à mourir, plusieurs années avant sa mère et longtemps avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des vidéos de l’époque, son père n'évoquait qu'un parfait étranger à ses yeux. Il n’arrivait jamais à revoir son visage sans avoir recours aux photos qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait de leur force passée.
Il avait été le premier à mourir, plusieurs années avant sa mère et longtemps avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des vidéos de l’époque, son père n'évoquait qu'un parfait étranger à ses yeux. Il n’arrivait jamais à revoir son visage sans avoir recours aux photos qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait de leur force passée.
Je te propose quelques modifs – tu me diras ce que tu en penses.
[pour « plusieurs », non… car cela pose le même problème que ton « quelques » du début]
Il avait été le premier à mourir, DE NOMBREUSES années avant sa mère et PLUS longtemps ENCORE avant ses frères, et bien qu'il possédât des photographies et des vidéos de l’époque, son père N'APPARAISSAIT PLUS DANS SON ESPRIT QUE SOUS LES TRAITS d'un parfait étranger. Il n’arrivait jamais à CONVOQUER son visage sans avoir recours aux IMAGES qu'il conservait, ni à exprimer ses sentiments, qu'il n’éprouvait plus que par obligation, du fait de leur INTENSITÉ passée.
C'est ok pour moi !
Je ne sais pas si c'est très important mais je viens de remarquer que cette phrase est la numéro 36 et pas la 35.
Ok… je fais le changement pour le numéro de la phrase.
Comme Amélie est moins assidue en ce moment mais que je ne veux pas qu'on prenne trop de retard, je considère que c'est OK pour cette phrase et je mets la suite. (De toute façon, nous aurons tout le loisir d'y revenir au moment des relectures, si nécessaire).
Oui, je suis désolée mais je viens de prendre mon poste à Paris aujourd'hui, donc la semaine dernière, c'était un peu la course, et à présent, je ne pourrais plus traduire que le soir... Mais je lis tout, et je suis toujours là :)
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