Eso lo avergonzaba ante la memoria de quien le dio el ser y la formación.
Traduction temporaire :
Il avait honte vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Il avait honte vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
8 commentaires:
Il se sentait honteux devant le souvenir de celui qui lui avait donné la vie et qui l'avait élevé.
Eso lo avergonzaba ante la memoria de quien le dio el ser y la formación.
Non, décidément, « devant le souvenir » ne va pas. Il faut vraiment travailler à partir de « mémoire ».
Pour « formation », j'hésite… Je me demande si ça n'est pas un peu plus formel, c'est-à-dire à prendre au sens strict. Qu'en penses-tu ?
En utilisant "éduqué" c'est peut-être un peu plus formel ?
J'ai un gros doute concernant le "donné la vie", est-ce qu'on ne dit pas ça uniquement pour parler de femmes?
Il se sentait honteux face à la mémoire de celui qui lui avait donné la vie et qui l'avait éduqué.
Il se sentait honteux face à la mémoire de celui qui lui avait donné la vie et qui l'avait éduqué.
1) « face » ou « vis-à-vis » ?
2) Peut-être pour régler le problème que te pose « donner la vie » (pour mentionner le père) devrions-nous passer par « à qui il devait la vie ».
Ok pour « éduqué » ou « éducation » – en fonction de ce que tu feras pour ce qui précède.
Vas-y, reprends…
Il se sentait honteux vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Avec "vis-à-vis" (que je trouve plus clair), je trouve que ça manque de naturel, non?
Il se sentait honteux face à la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Mais décidément, « face » ne va pas… étant donné ce dont il s'agit.
Le plus simple est peut-être d'aménager autour :
Il avait honte vis-à-vis de la mémoire de celui à qui il devait la vie et l'éducation.
Moi, ça me va… Et toi ?
Oui c'est mieux !
Ok… Je te mets la suite.
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