jeudi 9 février 2012

Les Supernovas – phrase 45

Los nudillos hundiéndose hasta que la sangre comienza a saltar. La de los dos. Mis colegas no saben lo que se pierden.

Traduction temporaire :
Les phalanges s'enfonçant jusqu'à ce que le sang jaillisse. Le sien et le mien. Mes collègues ne savent pas ce qu’ils ratent.

10 commentaires:

perrine a dit…

Los nudillos hundiéndose hasta que la sangre comienza a saltar. La de los dos. Mis colegas no saben lo que se pierden.

Les jointures des doigts s’enfonçant jusqu’à ce que le sang se mette à jaillir. Celui des deux. Mes collègues ne savent pas ce qu’ils ratent.

Tradabordo a dit…

Los nudillos hundiéndose hasta que la sangre comienza a saltar. La de los dos. Mis colegas no saben lo que se pierden.

Les jointures des doigts s’enfonçant jusqu’à ce que le sang se mette à jaillir. Celui des deux. Mes collègues ne savent pas ce qu’ils ratent.

1) « Les jointures des doigts »… ce ne sont pas les phalanges ?

2) « jusqu'à ce que le sang jaillisse » serait plus fort…, à mon avis.

3) « Celui des deux » ??????????????

4) « ratent » ou « perdent » étant donné le ton global du texte ?

perrine a dit…

1) Hum... oui, ça doit être ça, les "phalanges" :)
2) Oui, je suis d'accord.
3) Il me semblait bien que le littérale ne collait pas, ici. "Notre sang à tous les deux" ?
4) Je trouve que les deux termes vont bien, j'hésitais entre les deux...

Les phalanges s'enfonçant jusqu'à ce que le sang jaillisse. Notre sang à tous les deux. Mes collègues ne savent pas ce qu’ils ratent.

Tradabordo a dit…

3) Il vaudrait mieux ne pas répéter « sang »… Simplifie tout en restant claire.

4) Moi aussi… Voyons l'avis des autres.

perrine a dit…

3) "Le nôtre à tous les deux" ?

Tradabordo a dit…

Attends, je regarde dans la phrase :

Les phalanges s'enfonçant jusqu'à ce que le sang jaillisse. Le nôtre à tous les deux. Mes collègues ne savent pas ce qu’ils ratent.

- Oui, c'est mieux avec « le nôtre à tous les deux ». Sinon, j'avais pensé – mais ça change un peu – à : le sien et le mien. J'ai l'impression que « l'alliance » du bourreau et de sa victime devient ainsi plus étroite. Qu'en penses-tu ?
- Il reste la question de « rater » ou « manquer » en suspens.

perrine a dit…

Ah oui, "le sien et le mien" c'est beaucoup mieux, en effet, on a vraiment l'impression qu'ils ne font qu'un.
Instinctivement, je dirais plus "ils ne savent pas ce qu'ils ratent", mais attendons l'avis des autres.

Pour l'instant, ça donne :

Les phalanges s'enfonçant jusqu'à ce que le sang jaillisse. Le sien et le mien. Mes collègues ne savent pas ce qu’ils ratent.

Tradabordo a dit…

Dès que l'un deux répond, on tranche (c'est le cas de le dire ici) et nous passons à la suite.

Vanessa a dit…

Je dirais "qu'ils ratent" également...

Tradabordo a dit…

OK… parfait !
Je publie et je mets la suite.