Ni el cura se atrevió a decirle nada a don Tálamo, sólo escuchó lo sucedido y decidió entrar nuevamente a la iglesia de madera, debido a que la sotana negra lo estaba cocinando vivo.
Traduction temporaire :
Le curé lui-même n’osa rien dire à don Tálamo, s'en tenant à entendre la relation des faits avant de décider de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Le curé lui-même n’osa rien dire à don Tálamo, s'en tenant à entendre la relation des faits avant de décider de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
9 commentaires:
Ni el cura se atrevió a decirle nada a don Tálamo, sólo escuchó lo sucedido y decidió entrar nuevamente a la iglesia de madera, debido a que la sotana negra lo estaba cocinando vivo.
Le curé non plus n’osa rien dire à don Tálamo, il s'en tint à la relation des faits et décida de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Je pense qu'il faut rendre ce « Ni » du début – qui a du poids.
Je l'ai rendu par "non plus". Faut-il chercher autre chose ?
Oui… Je pense que là, l'idée est que même lui…
Même le curé n’osa rien dire à don Tálamo, il s'en tint à la relation des faits et décida de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Même le curé n’osa rien dire à don Tálamo, il s'en tint à la relation des faits et décida de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Je te propose :
Le curé lui-même n’osa rien dire à don Tálamo, s'en tenant à entendre la relation des faits avant de décider de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
OK ?
C'est ok !
Elena ?
Oui, très bien.
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