Creemos que es nuestra obligación hablar aquí no por nosotros mismos sino por los otros, por tanto compañero desconocido y desaparecido, tan querido y tan cercano, algunas de cuyas voces presentimos, algunos de cuyos mensajes recibimos, esas palabras del ausente, del flagelado, del sumergido, del lejano, del enmudecido, de que somos depositarios.
Traduction temporaire :
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tant de compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tant de compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
13 commentaires:
N'ayant pas de nouvelles depuis plusieurs jours, je me suis rendu compte que tu n'avais pas de phrase en cours… À toi de ma signaler quand je t'oublie ; sur la masse, cela arrive et c'est idiot de perdre du temps parce que tu attends de ton côté.
Nous croyons que c'est notre obligation de parler ici non pas pour nous-même, sinon pour les autres, pour tel compagnon inconnu et disparu, tant aimé et proche, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons que c'est notre obligation [débrouille-toi pour faire sans « c'est »]
de parler ici non pas pour nous-même, sinon pour les autres, pour tel compagnon inconnu et disparu, tant aimé et proche, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons que notre obligation est de parler ici non pas pour nous-même, sinon pour les autres, pour tel compagnon inconnu et disparu, tant aimé et proche, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons que notre obligation est de parler [passe par « avoir l'obligation » ; ce sera beaucoup plus simple] ici non pas pour nous-même, sinon pour les autres, pour tel compagnon inconnu et disparu, tant aimé et proche, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-même, sinon pour les autres, pour tel compagnon inconnu et disparu, tant aimé et proche, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-même [grammaire / ou « en notre nom » ?], sinon [hispanisme] pour les autres, pour tel [je pense que c'est pour un pluriel] compagnon inconnu et disparu, tant [ou « tellement »] aimé et [tu devrais faire la répétition ; c'est exprès] proche, dont nous pressentons quelques voix [tu changes et ça n'est plus tout à fait la même chose],
dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tels compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques cris, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tels [à la place de « tanto » ; pas la quantité ?]
compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques cris, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tant de compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques cris, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [J'hésite pour mettre une béquille, il se peut que je n'ai pas saisi le sens. Mais autrement, "enmudecido" pose problème en traduisant littéralement] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tant de compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques cris [ou « voix » ?], dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être [OK] absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tant de compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques cris [J'avais mis "voix" au début, vous aviez dit que ce n'était pas du tout la même chose... Ou alors ce n'était pas le mot "voces" que je devais revoir ?], dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
Nous croyons avoir l'obligation de parler ici non pas pour nous-mêmes, mais pour les autres, pour tant de compagnons inconnus et disparus, tellement aimés et tellement proches, dont nous pressentons quelques voix, dont nous recevons quelques messages, ces mots de l'être absent, flagellé, submergé, éloigné, réduit au silence, dont nous sommes dépositaires.
OK.
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