mardi 26 février 2013

Projet Nadia – phrase 56

Las Coplas, Amo Amor, Dios lo quiere, nos habían conmovido, y enfermado de obsesiones, nos habían acongojado, nos habían, restringido el mundo, nos dejaban todavía más solos, más sin esperanzas, una esperanza sin interrogaciones, aunque la poetisa, visiblemente ensangrentada y viuda adolescente, inerrogaba afiebrada, y policial a Dios, ¿Cómo quedan, Señor, durmiendo los suicidas?

Traduction temporaire :
Ses poèmes, "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et obsédés à en être malade, nous avaient angoissés, avaient rétréci notre monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations,  bien que la poétesse, visiblement ensanglantée et veuve adolescente, interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment les suicidaires dorment-ils ?"

8 commentaires:

Unknown a dit…

Las Coplas, Amo Amor, Dios lo quiere, nous avaient émus et rendus malades d'obsessions, nous avaient angoissés, nous avaient restreint le monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, visiblement adolescente ensanglantée et veuve , interrogeât Dieu, fiévreuse et policière : "Comment dorment, Seigneur, les suicidaires ?"

Tradabordo a dit…

Las Coplas, Amo Amor, Dios lo quiere [il faut que tu mettes des guillemets, etc. ; pour un lecteur français, c'est très confus… Fais des recherches et vois comment présenter], nous avaient émus et rendus malades d'obsessions [naturel en français ?], nous avaient angoissés, nous avaient restreint le monde [mal dit], nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, visiblement adolescente ensanglantée et veuve [pourquoi tu as changé l'ordre ?], interrogeât Dieu, fiévreuse et policière [j'hésite sur la formulation globale de ce fragment] : "Comment dorment, Seigneur [ou au début ?], les suicidaires ?"

Unknown a dit…

Ses poèmes, les "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et obsédés, nous avaient angoissés, nous avaient rétréci le monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, visiblement ensanglantée et veuve adolescente, interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment dorment les suicidaires ?"

Tradabordo a dit…

Ses poèmes, les [supprime] "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et [et « enfermado » ?] obsédés, nous avaient angoissés, nous avaient rétréci le monde [tu devrais complètement réécrire ; le littéral n'est pas terrible], nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, visiblement ensanglantée et veuve adolescente [bizarre ainsi formulé, non ?], interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment dorment les suicidaires [ou « les suicidaires dorment-ils »] ?"

Unknown a dit…

Ses poèmes, "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et obsédés à en être malade, nous avaient angoissés, avaient rétréci notre vision du monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, adolescente visiblement veuve et ensanglantée , interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment les suicidaires dorment-ils ?"

Tradabordo a dit…

Ses poèmes, "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et obsédés à en être malade, nous avaient angoissés, avaient rétréci notre vision [pourquoi cet ajout ? Je ne dis pas non, mais crois-tu que ce soit vraiment nécessaire ?] du monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, adolescente visiblement veuve et ensanglantée [non, remets les adjectifs dans le même ordre qu'en V.O. ; c'est quand même mieux…], interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment les suicidaires dorment-ils ?"

Unknown a dit…

Ses poèmes, "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et obsédés à en être malade, nous avaient angoissés, avaient rétréci notre monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, visiblement ensanglantée et veuve adolescente, interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment les suicidaires dorment-ils ?"

Tradabordo a dit…

Ses poèmes, "Coplas", "Amo Amor", "Dios lo quiere", nous avaient émus et obsédés à en être malade, nous avaient angoissés, avaient rétréci notre monde, nous laissaient encore plus seuls, plus sans espoir, un espoir sans interrogations, bien que la poétesse, visiblement ensanglantée et veuve adolescente, interrogeât Dieu d'un ton fiévreux et policier : "Seigneur, comment les suicidaires dorment-ils ?"

OK.