samedi 2 mars 2013

Projet Céline 4 – phrase 5

Cierto, el Perú que se extendía más allá de Lima era para mí poco más que alguna novela de Arguedas leída en un verano remoto,  un viaje con sabor a queso de cabra y viento cortado a navajazos allá por los años setenta con los amigos de la universidad, y sobre todo esas noticias nefastas que difundía el informativo de las nueve, cuando llegaba cansado de la agencia y encendía la tele antes de acostarme.

Traduction temporaire :
Il est vrai que le Pérou qui s’étendait au-delà de Lima était pour moi à peine plus qu’un roman de Arguedas lu au cours d’un lointain été, un voyage au goût de fromage de chèvre et au vent aussi coupant que des coups de poignards, dans les années soixante-dix, avec les amis de l’université et,  surtout, ces informations funestes diffusées par le journal de neuf heures, quand je rentrais fatigué de l’agence et que j’allumais la télé avant de me coucher.  

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il est vrai que le Pérou qui s’étendait au-delà de Lima était pour moi à peine plus qu’un roman de Arguedas lu au cours d’un lointain été ; un voyage au goût de fromage de chèvre et au vent aussi transperçant que des coups de poignards vers les années soixante-dix avec les amis de l’université, et surtout ces informations funestes diffusées par le journal de neuf heures, quand je rentrais fatigué de l’agence et que j’allumais la télé avant de me coucher.  

Tradabordo a dit…

Il est vrai que le Pérou qui s’étendait au-delà de Lima était pour moi à peine plus qu’un roman de Arguedas lu au cours d’un lointain été ; [pas sûre… vu qu'il s'agit d'une énumération, tu devrais laisser une virgule] un voyage au goût de fromage de chèvre et au vent aussi transperçant [ou « coupant » ?] que des coups de poignards vers [virgule ? + « dans » ?] les années soixante-dix [virgule] avec les amis de l’université, [après le « et »] et surtout [virgule] ces informations funestes diffusées par le journal de neuf heures, quand je rentrais fatigué de l’agence et que j’allumais la télé avant de me coucher.  

Unknown a dit…

Il est vrai que le Pérou qui s’étendait au-delà de Lima était pour moi à peine plus qu’un roman de Arguedas lu au cours d’un lointain été, un voyage au goût de fromage de chèvre et au vent aussi coupant que des coups de poignards, dans les années soixante-dix, avec les amis de l’université et, surtout, ces informations funestes diffusées par le journal de neuf heures, quand je rentrais fatigué de l’agence et que j’allumais la télé avant de me coucher.  

Tradabordo a dit…

Il est vrai que le Pérou qui s’étendait au-delà de Lima était pour moi à peine plus qu’un roman de Arguedas lu au cours d’un lointain été, un voyage au goût de fromage de chèvre et au vent aussi coupant que des coups de poignards, dans les années soixante-dix, avec les amis de l’université et, surtout, ces informations funestes diffusées par le journal de neuf heures, quand je rentrais fatigué de l’agence et que j’allumais la télé avant de me coucher.

OK.