Las palabras estaban en penitencia. Había que esperar a que viniera el tío y viese, que alcanzase con señalar y no decir nada, aunque el tío cada vez tardaba más en venir y se hiciera de noche, y en la panza tenía un monstruo con hambre que no sabía la diferencia entre las sombras y la oscuridad, había que esperar porque decir estaba prohibido, aunque el abuelo siguiera apagado y no fuese a despertarse y levantarle el castigo nunca, aunque ahora las ligustrinas eran un perfume al fondo de un olor que se parecía, de a poco, al olor de la despensa, y después a otro olor de cosa quieta y rancia, también, cosa que no termina de pedir disculpas por nada.
Traduction temporaire :
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et voie ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit soit en train de tomber, et qu'il ait dans le ventre un monstre affamé ignorant la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et ne se réveillerait pas et ne lèverait jamais sa punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait de plus en plus à l’odeur de l’épicerie, et finalement à une autre odeur, l'odeur d'une chose immuable et rance, incapable de s’excuser de quoi que ce soit.
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et voie ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit soit en train de tomber, et qu'il ait dans le ventre un monstre affamé ignorant la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et ne se réveillerait pas et ne lèverait jamais sa punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait de plus en plus à l’odeur de l’épicerie, et finalement à une autre odeur, l'odeur d'une chose immuable et rance, incapable de s’excuser de quoi que ce soit.
18 commentaires:
Les mots étaient punis.
Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, que montrer du doigt suffise pour ne rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Les mots étaient punis.
OK
Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, que montrer du doigt suffise pour ne rien dire [reviens à la V.O.],
bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Les mots étaient punis.
Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, que montrer du doigt suffise et ne rien dire,
bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, que montrer du doigt suffise et ne rien dire [traduis littéralement],
bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, pour que signaler soit suffisant et ne rien dire,
Je n'arrive pas à être plus littérale : le petit doit attendre que son oncle revienne et lui montrer du doigt ce qui s'est passé, mais sans parler parce qu'il est puni et qu'il a peur...
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, pour que signaler soit suffisant et ne rien dire,
Je te propose :
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, réussir à le lui montrer sans rien dire,
OK ?
Oui !
Les mots étaient punis.
Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, pour que signaler soit suffisant et ne rien dire,bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Pourquoi tu ne mets pas ce que je te propose dans ce cas ???????
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, pour que signaler soit suffisant et ne rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Il me semblait que c'est ce que j'avais fait, mais je me suis trompée de phrase. ;-/
Les mots étaient punis.
Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voit [au fait, c'est du subjonctif] ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et que dans le ventre, il ait [« et qu'il ait dans le ventre »] un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et qu’il [supprime] ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait, peu à peu, [un adverbe en « -ment » + supprime les virgule] à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à cette [pourquoi ce changement ?] odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et qu’il voie ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit tombe, et qu'il ait dans le ventre un monstre affamé qui ignorait la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et qu’il ne se réveillerait pas et ne lèverait jamais la punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait lentement à l’odeur de l’épicerie, et ensuite à une autre odeur de chose immuable et rance qui ne parvient pas à s’excuser de tout ça.
Je te propose :
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et voie ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit soit en train de tomber, et qu'il ait dans le ventre un monstre affamé ignorant la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et ne se réveillerait pas et ne lèverait jamais sa punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait de plus en plus à l’odeur de l’épicerie, et finalement à une autre odeur, l'odeur d'une chose immuable et rance, incapable d’excuser quoi que ce soit.
OK ?
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et voie ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit soit en train de tomber, et qu'il ait dans le ventre un monstre affamé ignorant la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et ne se réveillerait pas et ne lèverait jamais sa punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait de plus en plus à l’odeur de l’épicerie, et finalement à une autre odeur, l'odeur d'une chose immuable et rance, incapable d’excuser quoi que ce soit.
Oui pour tout sauf la fin : il dit que le grand-père est une chose immuable qui ne s'excusera jamais de tout le mal qu'il lui a fait.
Est-ce que ça n'est pas ce que je dis… en étant proche de la V.O. ?
Ce ne serait pas plutôt : Incapable de "s'excuser" ?
Sinon, on le laisse pour les relectures.
OK… je change, ce sera effectivement plus clair.
Les mots étaient punis. Il fallait attendre que l’oncle revienne et voie ça, réussir à le lui montrer sans rien dire, bien que l’oncle mette de plus en plus de temps à revenir et que la nuit soit en train de tomber, et qu'il ait dans le ventre un monstre affamé ignorant la différence entre les ombres et l’obscurité, il fallait attendre parce que dire était interdit, même si grand-père continuait d’être éteint et ne se réveillerait pas et ne lèverait jamais sa punition, même si à présent les troènes avaient un parfum qui ressemblait de plus en plus à l’odeur de l’épicerie, et finalement à une autre odeur, l'odeur d'une chose immuable et rance, incapable de s’excuser de quoi que ce soit.
Du coup, je colle… Tu prends l'ensemble et je te laisse relire. Assure-toi bien qu'il ne manque pas des phrases ici ou là, etc.
OK. Très contente ! ;-)
Oui, c'est bien… On va pouvoir passer à la suite. À propos, renvoie-moi le texte suivant.
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