Cuando llegamos al final, se abrió ante nosotras otra estancia circular, de ella salían hacia el interior de la tierra varios túneles forjados por la naturaleza cuyo final no alcanzábamos a ver ni siquiera con nuestras linternas, un frío de muerte salía de ellos; el paso del tiempo había hecho su trabajo tanto fuera como dentro de la construcción, un rancio olor a siglos inundaba la estancia, la piedra estaba carcomida en muchos lugares y el moho se desplegaba por todos lados; unos animalillos parecidos a ciempiés y otros a gusanos eran los reyes del lugar, los pobres animales nunca habían visto la luz del Sol, su piel era blanca como si una mortaja los recubriese.
Traduction temporaire :
Quand nous atteignîmes la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature s'enfonçaient dans le sol ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas à en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort. Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont la peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignîmes la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature s'enfonçaient dans le sol ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas à en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort. Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont la peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
18 commentaires:
J'ai mis "la dernière marche" parce qu'on a déjà "le bas" juste avant et "la fin d'un escalier" je ne trouve pas ça naturel...
Même chose pour "galerie", on utilise plutôt ça que "tunnel" quand c'est en montagne ou comme ça, et ça évoque d'autant plus qqch de naturel que qqch construit par l'homme...
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. De là partaient vers les entrailles de la terre plusieurs galeries creusées par la nature, dont ne nous ne réussissions pas à voir le bout, même avec nos lanternes, et un froid de mort émanait d'elles ; le temps avait fait son travail aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction, une odeur rance datant de plusieurs siècles inondait le lieu, la pierre était vermoulue en de nombreux endroits et le moisi s'étendait de tous côtés ; des bestioles semblables à des mille-pattes et d'autres à des vers étaient les rois des lieux, les pauvres animaux n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Que je comprenne : je vous ai mis deux phrases à la suite, numérotées pareil… C'est ça ?
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire.
OK
De là partaient vers les entrailles [tu « poétises » là où c'est neutre en français] de la terre plusieurs galeries creusées par la nature, dont ne nous ne réussissions pas à voir le bout, même avec nos lanternes [ce petit bout après « dont » ? Essaie et dis-moi si c'est mieux], et un froid de mort émanait d'elles ;
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient de là vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et un froid de mort émanait d'elles. Le temps avait fait son ouvrage aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : une odeur rance d'un autre siècle inondait le lieu, la pierre était vermoulue par endroits et la moisissure se répandait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient de là [nécessaire ?] vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et un froid de mort émanait d'elles [ou avec « en » ?].
Le temps avait fait son ouvrage aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : une odeur rance d'un autre siècle inondait le lieu, la pierre était vermoulue par endroits et la moisissure se répandait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Je trouvais ça bizarre avec "en émanait", du coup, j'ai changé de verbe.
Le temps avait fait son ouvrage aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : une odeur rance d'un autre siècle inondait le lieu, la pierre était vermoulue par endroits et la moisissure se répandait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
OK… C'est bien.
Le temps avait fait son ouvrage [pas sûre qu'on le dise comme ça] aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : une odeur rance [ou « aigre » ?] d'un autre siècle [pas ce que dit la V.O.] inondait [ou « imprégner » ?] le lieu, la pierre était vermoulue [ça se dit aussi pour la pierre ? Vérifie] par endroits et la moisissure se répandait [bof] partout ;
des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son travail aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : une odeur aigre datant de plusieurs siècles imprégnait le lieu, la pierre était vermoulue par endroits et la moisissure se propageait partout ;
Pour "vermoulue", normalement c'est pour le bois mais d'après le CNRTL : "− P. anal. Rongé par quelque chose. Ces roches sont vermoulues, minées par les eaux."
Si c'est pas naturel, on peut mettre "rongée", non ?
des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son travail [ou « accompli son œuvre » ? Comme tu veux, parce que j'hésite…] aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : une odeur aigre datant de plusieurs siècles [c'est plus « poétique » ; l'odeur des siècles accumulés, tu vois…] imprégnait le lieu, la pierre était vermoulue par endroits et la moisissure se propageait partout ;
Pour "vermoulue", normalement c'est pour le bois mais d'après le CNRTL : "− P. anal. Rongé par quelque chose. Ces roches sont vermoulues, minées par les eaux."
Si c'est pas naturel, on peut mettre "rongée", non ?
des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son oeuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles passés imprégnait le lieu, la pierre était vermoulue par endroits et la moisissure se propageait partout ;
J'ai trouvé que "le temps fait son oeuvre" est la formule la plus courante.
Pour "vermoulue", normalement c'est pour le bois mais d'après le CNRTL : "− P. anal. Rongé par quelque chose. Ces roches sont vermoulues, minées par les eaux." Si c'est pas naturel, on peut mettre "rongée", non ?
des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, les pauvres insectes n'avaient jamais vu la lumière du soleil, leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
J'ai fait pas mal de modifs – regarde et dis-moi.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, étaient les maîtres des lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, étaient les maîtres des lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont la peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
OK ! J'ai corrigé "leur peau" en "la peau" à la fin.
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature partaient vers l'intérieur de la terre ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas à en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, étaient les maîtres des lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont leur peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
1)Le problème avec "intérieur" au début, c'est que ça créée une répétition avec extérieur/intérieur juste après.
2)J'ai rajouté un "à" manquant vers le début.
3)"dont leur peau" me fait bizarre : est-ce qu'on peut dire "dont la peau" ?
4) Je crois que je préférais "régnaient sur les lieux" plus proche de la VO et qui évite un "être"...
Et oui, il y a deux phrases à la suite numérotées pareil...
Élise, je te laisse regarder les remarques de Manon et faire la synthèse…
Quand nous atteignirent la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature s'enfonçaient dans le sol ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas à en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont la peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
J'ai remis "régnaient". "La peau" au lieu de "leur peau" était déjà corrigé.
Le problème avec "entrailles de la Terre", c'est que ça renvoie à la planète, or elles ne sont pas sur Terre justement. Que pensez-vous de "s'enfonçaient/plongeaient dans le sol" ?
Euh... Depuis mon premier commentaire, on écrit "nous atteignirent" et ça ne nous pose pas de problème... J'AI CORRIGÉ !!!
Nos commentaires s'étaient croisés Élise, je n'avais pas vu ta correction ;)
Pour tout le reste, OK avec ta dernière version !
Quand nous atteignîmes la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature s'enfonçaient dans le sol ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas à en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont la peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
OH ! Bien vu Manon, je faisais du copier-coller de la première phrase depuis le début... :D
Ok pour moi alors !
:D
Quand nous atteignîmes la dernière marche, s'ouvrit devant nous une autre pièce circulaire. Plusieurs galeries façonnées par la nature s'enfonçaient dans le sol ; même avec nos lanternes, nous ne réussissions pas à en voir le bout, et elles dégageaient un froid de mort.
Le temps avait fait son œuvre aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur de la construction : l'odeur aigre des siècles imprégnait l'endroit, la pierre était en grande partie vermoulue et la moisissure se propageait partout ; des bestioles, certaines semblables à des mille-pattes, d'autres à des vers, régnaient sur les lieux, de pauvres insectes qui n'avaient jamais vu la lumière du soleil et dont la peau était blanche, comme si un linceul les recouvrait.
OK.
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