lundi 6 janvier 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 31

Acostumbrado a la vida nocturna citadina del Distrito Federal (si bien pasé mi dorada adolescencia bebiendo con mis primos de Querétaro y de Puebla) al principio, con un par de colombianos que solícitamente me surtían perico1, decidí probar suerte en todo tipo de boliches palermitanos, aventurándome a la noche porteña con el deseo de un perro hambreado que ha olisqueado un choripán.


1 Se refiere a la cocaína, lo que antes del Año de la Gran Debacle denominábamos “merca” y los colombianos “Pérez”. N. de t.

Traduction temporaire :
Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagné de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice.

16 commentaires:

Sonita a dit…

Habitué à la vie nocturne citadine du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée en train de boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla) au début, avec deux Colombiens qui me refilaient, diligemment, de la "perico" (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans tous les types de bollowings du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit du port avec le désir d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne que, avant l'Année de la Grande Débâcle, on appelait "merca" et les Colombiens l'appelaient "Pérez". Note de la transcriptrice

Tradabordo a dit…

Habitué à la vie nocturne citadine [nécessaire ?] du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée en train de [incorrect ici] boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla) [virgule] au début, avec deux Colombiens qui me refilaient, diligemment [registre]

Pbs de syntaxe dans ce début de phrase. Les enchaînements ne se font pas bien et c'est confus.

, de la "perico" (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans tous les types de bollowings du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit du port avec le désir d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne que, avant l'Année de la Grande Débâcle, on appelait "merca" et les Colombiens l'appelaient "Pérez". Note de la transcriptrice

Sonita a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, avec deux Colombiens qui me refilaient, prestement

Tradabordo a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, avec deux Colombiens qui me refilaient, prestement [FS]

Sonita a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, avec deux Colombiens qui me refilaient, infatigablement

Unknown a dit…

Je pense que « boliche » est plus employé dans le sens de « discothèque » ici.

De nouveau, est-ce que «porteña » n’est pas employé dans le sens de « Buenos Aires » ?

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, avec deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans tous les types de discothèques du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec le désir d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice

Tradabordo a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, avec [« accompagnée de » ?] deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans tous les types [naturel ?] de discothèques du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec le désir [bof] d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice

Sonita a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagnée de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice

Tradabordo a dit…

Pb avec correction : narrateur ou narratrice… car là, on a mis tantôt masculin, tantôt féminin ?

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagnée de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice

Sonita a dit…

Si j'ai bien compris, le narrateur est bien un homme mais ses notes sont transcrites par une femme qui les sapoudre de son opinion ou apporte des éclaircissements. À la fin de la nouvelle, elle prendra d'ailleurs la parole pour le condamner.

Tradabordo a dit…

D'accord, mais dans cette phrase, on a à la fois du masculin et du féminin… alors que ça n'est pas le cas en V.O. Donc, il faut décider…

Sonita a dit…


Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagnée de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de transcription

Tradabordo a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagnée [comme indiqué dans mes deux commentaires précédent : pourquoi un féminin ici ?] de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de transcription

Unknown a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagné de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice.

Tradabordo a dit…

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagné de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice.

OK.

Sonita ?

Sonita a dit…

OK.

Habitué à la vie nocturne du Distrito Federal (même si j'ai passé mon adolescence dorée à boire avec mes cousins de Querétaro et de Puebla), au début, accompagné de deux Colombiens qui me refilaient gentiment du « perico » (1), j'ai décidé de tenter ma chance dans les discothèques en tout genre du quartier de Palermo, m'aventurant dans la nuit de la capitale avec l'appétit d'un chien affamé qui a reniflé un choripán.

(1) Il fait allusion à la cocaïne qu’on appelait « merca » avant l'Année de la Grande Débâcle et que les Colombiens appelaient « Pérez ». Note de la transcriptrice.