samedi 18 janvier 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 35

Existe en ellas cierta inseguridad patológica que las inhibe y las compele a mimetizarse; por lo general se desplazan en grupos y resulta fácil reconocerlas por los cortes de cabello, las tonalidades de la voz y sobre todo por idiolectos muy marcados: son homogéneas como su cocina pero decididamente sabrosas.

Traduction temporaire :
Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

19 commentaires:

Unknown a dit…

Il y a en elles un certain manque de confiance pathologique qui les inhibe et les pousse à se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, à la tonalité de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Tradabordo a dit…

Il y a en [« chez »] elles un certain manque de confiance [ambigu / pas confiance en qui ? En elles ou les autres ? On le comprend avec la suite, mais sois plus claire dès le départ] pathologique qui les inhibe et les pousse à [cheville : « vouloir »] se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, à la tonalité [« timbre » ?] de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Sonita a dit…

Il y a chez elles un certain manque de sécurité pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Tradabordo a dit…

Il y a chez elles un certain manque de sécurité [même pb qu'avec la version de Céline] pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Sonita a dit…

Il y a chez elles une certaine méfiance pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Tradabordo a dit…

Il y a chez elles une certaine méfiance [donc, toi, tu en déduis que c'est dans le sens où elles se méfient et non qu'elles n'ont pas confiance en elles-mêmes, c'est ça ?] pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Sonita a dit…

J'avoue que je n'en suis pas très sûre. Voilà comment j'ai réfléchi :
pas de confiance = son contraire = méfiance

Mais je ne suis pas sûre que ce soit ça que l'auteur dit... Céline ?

Tradabordo a dit…

Oui, attendons de voir ce que pense Céline.

Unknown a dit…

J’interprète plus « inseguridad » comme « manque de confiance en elles » parce que ça me semble plus logique avec « inhibe » et « mimetizarse », mais je ne suis pas certaine non plus…

Tradabordo a dit…

Moi aussi… Soit on s'en tient là, soit, si vraiment, vous n'êtes pas sûres, vous demandez son avis à Elena. Comme vous voulez. Si vous estimez que c'est bon, vous remettrez la phrase.

Sonita a dit…

Au début, j'avais aussi penché pour "manque de confiance en elles". Je propose alors une petite modification afin d'apporter la précision concernant le manque de confiance en qui ?
Mais, je dois dire que ça me semble bizarre le couple "chez elles / en elles-mêmes". Est-ce nécessaire ?

***
Il y a chez elles un certain manque pathologique de confiance en elles-mêmes, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Tradabordo a dit…

Il y a chez elles un certain manque pathologique [tu ne peux pas le placer là] de confiance en elles-mêmes, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Unknown a dit…

Il y a chez elles un certain manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Sonita a dit…

Il y a chez elles un certain manque de confiance pathologique en elles-mêmes, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Shanok a dit…

Caroline ?
:)

Tradabordo a dit…

Sonita, quand je ne réponds à personne, c'est que je suis occupée. Je sais que vous êtes mal habitués, mais ça arrive ;-)

Il y a chez elles un certain [nécessaire ? À mon avis, ce serait mieux sans…] manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Unknown a dit…

Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Tradabordo a dit…

Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

OK.

Sonita ?

J'attends pour mettre la suite.

Sonita a dit…

Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.

Ok !