Existe en ellas cierta inseguridad patológica que las inhibe y las compele a mimetizarse; por lo general se desplazan en grupos y resulta fácil reconocerlas por los cortes de cabello, las tonalidades de la voz y sobre todo por idiolectos muy marcados: son homogéneas como su cocina pero decididamente sabrosas.
Traduction temporaire :
Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
19 commentaires:
Il y a en elles un certain manque de confiance pathologique qui les inhibe et les pousse à se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, à la tonalité de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a en [« chez »] elles un certain manque de confiance [ambigu / pas confiance en qui ? En elles ou les autres ? On le comprend avec la suite, mais sois plus claire dès le départ] pathologique qui les inhibe et les pousse à [cheville : « vouloir »] se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, à la tonalité [« timbre » ?] de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un certain manque de sécurité pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un certain manque de sécurité [même pb qu'avec la version de Céline] pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles une certaine méfiance pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles une certaine méfiance [donc, toi, tu en déduis que c'est dans le sens où elles se méfient et non qu'elles n'ont pas confiance en elles-mêmes, c'est ça ?] pathologique qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
J'avoue que je n'en suis pas très sûre. Voilà comment j'ai réfléchi :
pas de confiance = son contraire = méfiance
Mais je ne suis pas sûre que ce soit ça que l'auteur dit... Céline ?
Oui, attendons de voir ce que pense Céline.
J’interprète plus « inseguridad » comme « manque de confiance en elles » parce que ça me semble plus logique avec « inhibe » et « mimetizarse », mais je ne suis pas certaine non plus…
Moi aussi… Soit on s'en tient là, soit, si vraiment, vous n'êtes pas sûres, vous demandez son avis à Elena. Comme vous voulez. Si vous estimez que c'est bon, vous remettrez la phrase.
Au début, j'avais aussi penché pour "manque de confiance en elles". Je propose alors une petite modification afin d'apporter la précision concernant le manque de confiance en qui ?
Mais, je dois dire que ça me semble bizarre le couple "chez elles / en elles-mêmes". Est-ce nécessaire ?
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Il y a chez elles un certain manque pathologique de confiance en elles-mêmes, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un certain manque pathologique [tu ne peux pas le placer là] de confiance en elles-mêmes, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un certain manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un certain manque de confiance pathologique en elles-mêmes, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Caroline ?
:)
Sonita, quand je ne réponds à personne, c'est que je suis occupée. Je sais que vous êtes mal habitués, mais ça arrive ;-)
Il y a chez elles un certain [nécessaire ? À mon avis, ce serait mieux sans…] manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
OK.
Sonita ?
J'attends pour mettre la suite.
Il y a chez elles un manque de confiance en elles pathologique, qui les inhibe et les pousse à vouloir se fondre dans le décor ; en général, elles se déplacent en groupe et il est facile de les reconnaître à leur coupe de cheveux, au timbre de leur voix et surtout à leur idiolecte très marqué : elles sont aussi homogènes que leur cuisine, mais sont résolument délicieuses.
Ok !
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