vendredi 10 janvier 2014

Projet Jennifer – phrases 148-149

Una capa de polvo cubría su vestido negro. Sus piernas estaban recogidas y sus ojos, todavía llorosos, se veían confundidos en el limbo de la soledad que ahora le tocaría vivir, sin la tía Leonor.

Traduction temporaire :
Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes de la solitude qu'elle devrait maintenant endurer sans la tante Leonor.

16 commentaires:

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient rangées [ou "bien droites" ?] et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient confondus dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient rangées [ou "bien droites" ? FS dans les deux cas] et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient confondus [sens ?????????] dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient en position de recueil et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient confondus [dans le sens de "perdus dans" ou bien "mêler", en fait j'avais l'impression qu'il y avait une notion de flou total] dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient en position de recueil [sens ? De toute façon, il y a bien plus simple… Regarde bien dans le dico unilingue] et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient confondus [dans le sens de "perdus dans" ou bien "mêler", en fait j'avais l'impression qu'il y avait une notion de flou total // mais là, ça n'a pas de sens… Pareil : regarde le dico unilingue pour bien comprendre le sens du mot en soi] dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient l'une contre l'autre et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient troublés dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient l'une contre l'autre et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient troublés dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Regarde avec Google images ce que donne « piernas recogidas ».

Unknown a dit…

C'est plutôt "pliées" ou "recroquevillées" ?

Tradabordo a dit…

Je mettrais « pliées », mais je te laisse choisir.

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient troublés dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, se voyaient troublés [pas correct ; le problème vient de « se voyaient » // va au plus simple…] dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, se étaient troublés dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, se étaient troublés [?] dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, étaient troublés dans le limbe de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, étaient [« paraissaient »] troublés [ou dans le sens de « perdus » ?] dans le limbe [pluriel] de la solitude qu'elle devrait maintenant vivre [« endurer »], sans la tante Leonor.

Unknown a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes de la solitude qu'elle devrait maintenant endurer, sans la tante Leonor.

Tradabordo a dit…

Une couche de poussière couvrait sa robe noire. Ses jambes étaient pliées et ses yeux, toujours larmoyants, paraissaient troublés dans les limbes de la solitude qu'elle devrait maintenant endurer sans la tante Leonor.

OK.