Los domingos me doy un descanso de tanto estudiar y me pongo a reflexionar para vivir recuerdos mientras disuelvo el azúcar del café y escucho e imagino a la culieski. Un grito y un bote tras otro, una capacidad para botar y culiar que admiro, que admiro mucho más que nada en el mundo.
Traduction temporaire :
Le dimanche, après avoir travaillé si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et à forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
Le dimanche, après avoir travaillé si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et à forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
12 commentaires:
Les dimanches, je m'autorise un peu de repos dans mon travail et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans le café et écoute et imagine la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à sauter et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
Les dimanches [singulier], je m'autorise un peu de repos dans mon travail [est-ce qu'on dit la même chose ? Non que ce soit faux… mais j'hésite // Marie, qu'en penses-tu ?] et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans le [« mon » ? ] café et [virgule + des gérondifs après ? Essaie et dis-moi…] écoute et imagine la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à sauter [?] et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
(Je ferais une autre proposition) :
Le dimanche, après avoir étudié si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant et en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde (au monde ?)
Dans la mesure du possible, travaille sur la version d'avant… Sinon, je ne vais pas m'en sortir si je dois partir de différentes trads. Et c'est aussi l'intérêt de travailler en groupe.
Donc, on part du principe que la solution que tu proposes est une base :
Le dimanche, après avoir étudié [peu naturel en français] si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde (au monde ? à toi de trancher // ne propose qu'une solution)
Le dimanche, je m'autorise un peu de repos dans mon travail et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose au monde.
Le dimanche, après avoir travaillé si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
Le dimanche, je m'autorise un peu de repos dans mon travail et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose au monde.
Voilà, du coup, vous êtes parties dans des directions complètement différentes et la synthèse sera galère à faire…
Je vous laisse évaluer pour prendre le meilleur des deux pour me faire une solution proposition.
Le dimanche, après avoir travaillé si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et à forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
Le dimanche, après avoir travaillé si dur, je me repose et je me mets à réfléchir, pour revivre des souvenirs, tandis que je dissous le sucre dans mon café en écoutant, en imaginant la forniqueuse. Un cri et une culbute, les uns après les autres, une capacité à cabrioler et à forniquer que j'admire, que j'admire plus que toute autre chose dans ce monde.
OK.
Une autre validation, svp.
J'attends pour mettre la suite.
Ok
Ok
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