Mauro vio la prenda tirada en el suelo. A diferencia de las ropas colgadas en los tendederos, el saco ensangrentado no danzaba ninguna música del viento. Recién entonces, Mauro sintió la fiereza de un cuchillo que desgarra un pecho humano. Recién entonces, también, sintió una profunda pena por el hombre.
Traduction temporaire :
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est également à ce moment-là qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est également à ce moment-là qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
10 commentaires:
Mauro vit le vêtement sur le sol. À la différence des vêtements accrochés sur les été soirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. Alors, c'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un coeur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine pour l'homme.
Mauro vit le vêtement [« resté » ?] sur le sol. À la différence des vêtements [aïe ; pas de répét en espagnol ; ce serait bien de ne pas en avoir en français non plus] accrochés sur les été soirs [relis-toi],
la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. Alors, c'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un coeur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine pour l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. Alors, c'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un coeur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine pour l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. Alors, c'est à ce moment-là [redondant / le sens de la V.O. ?] que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un coeur [« œ » – raccourci clavier] humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine pour [« envers » / « vis-à-vis » / « ç l'égard » ?] l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est alors à ce moment précis que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est alors à ce moment précis [redondant] que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est alors que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est alors que [« Recién entontes » est répété volontairement / il faut donc que tu mettes la même chose les deux fois] Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est à ce moment-là également qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est également à ce moment-là qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
Mauro vit le vêtement resté sur le sol. À la différence du linge accroché sur les étendoirs, la veste ensanglantée ne dansait sur aucune musique du vent. C'est à ce moment-là que Mauro sentit la férocité d'un couteau qui déchire un cœur humain. C'est également à ce moment-là qu'il ressentit une profonde peine à l'égard de l'homme.
OK. Je colle et tu peux relire.
Enregistrer un commentaire