jeudi 9 janvier 2014

Projet Sarah 17 – phrases 16-19

Vosotros no sois más que nuestros juguetes. Nos colgamos medallas cada vez que logramos un colapso. Es delicioso percibir cómo se escapa el último suspiro de unos labios moribundos que han escogido su hora. Es maravilloso ver cómo la desesperación os invade, y el modo en que os lanzáis determinados a las muertes más cruentas y desgarradoras, mientras os preguntáis cómo se puede sufrir tanto, suplicando entre espasmos por una respuesta.

Traduction temporaire :
Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant entre deux spasmes d'obtenir une réponse.

12 commentaires:

Unknown a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir la manière dont s'échappe le dernier soupir de lèvres moribondes qui ont choisi leur heure. Quelle merveille de regarder comment le désespoir s'empare de vous, et cette façon de vous abandonner, déterminés, aux morts les plus sanglantes et déchirantes, pendant que vous vous demandez comment il est possible de souffrir autant, en suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Tradabordo a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir la manière [nécessaire ? Vois si on peut faire sans ; ça simplifie quand même drôlement la phrase…] dont s'échappe [place le verbe après ; là, ça coince…] le dernier soupir de lèvres moribondes qui ont choisi leur heure. Quelle merveille de regarder comment le désespoir s'empare de vous, et cette façon [cheville : « que vous avez »] de vous abandonner, déterminés, [pas cette virgule] aux morts les plus sanglantes et déchirantes, pendant que vous vous demandez comment [tu l'as au-dessus, dans la même phrase – du coup, au -delà de la seule répétition, ça pose pb…] il est possible de souffrir autant, en suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Unknown a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont choisi leur heure. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, pendant que vous vous demandez comment il est possible de souffrir autant, en suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Tradabordo a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont choisi leur heure [ou « décidé que leur heure était venue » ?]. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, pendant que vous vous demandez comment il est possible de souffrir autant, en suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Unknown a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, pendant que vous vous demandez comment il est possible de souffrir autant, en suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Tradabordo a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, pendant que [avec « tout en » ?] vous vous demandez comment il est possible de souffrir autant, en suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Unknown a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes.

Tradabordo a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant d'obtenir une réponse entre les spasmes [mets-le après « suppliant » ; ce sera plus logique].

Unknown a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant entre les spasmes d'obtenir une réponse.

Tradabordo a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant entre les [« deux » ?] spasmes d'obtenir une réponse.

Unknown a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant entre deux spasmes d'obtenir une réponse.

Tradabordo a dit…

Pour nous, vous n'êtes que des jouets. Nous nous décernons des médailles chaque fois que nous parvenons à provoquer un effondrement. Il est délicieux de percevoir le dernier soupir s'échapper de lèvres moribondes qui ont décidé que leur heure était venue. Quelle merveille de regarder la manière dont le désespoir s'empare de vous, et cette façon que vous avez de vous abandonner, déterminés aux morts les plus sanglantes et déchirantes, tout en vous demandant comment il est possible de souffrir autant, suppliant entre deux spasmes d'obtenir une réponse.

OK.