Après maintenant un peu plus d’un mois de cours, voici le bilan.
Nous avons des cours vraiment intéressants dans l’ensemble. On nous fournit des outils utiles, tels que les références culturelles et leur lexique, des logiciels servant à la traduction. On nous apprend aussi les différentes manières d’appréhender un texte, de définir le ton du texte, de chercher l’idée exacte et puis le mot, par des ressources virtuelles autant que personnelles.
On se rend compte de nos points forts et de nos points faibles. On les travaille ensemble, on progresse chacune un peu plus chaque semaine. Les professeurs nous poussent à cela, ils nous pressent comme des citrons, jusqu’à ce qu’il n’y ait même plus la pulpe, à peine un petit zeste. Et chaque semaine ils pressent à nouveau le citron pour en extraire tout ce dont on est capable et nous forcer à avancer. Alors on libère tout le jus possible et on est fières d’une bonne idée, d’un problème résolu après plusieurs jours de casse-tête, ou d’un petit mot anodin d’un professeur qui quelque part nous félicite pour une chose ou une autre.
On a appris à travailler ensemble dans les ateliers collectifs, et c’en est presque devenu une manie maintenant. J’ai l’impression que malgré une concurrence implicite dans notre futur et même pour le diplôme, on forme un groupe soudé, on s’aide les unes les autres sans a priori, sans penser qu’il y en a qui resteront peut-être sur le banc de touche alors que d’autres creuseront leur trou et réussiront. Et c’est bon de savoir que l’on peut compter sur les autres sans se dire « elle m’a piqué mon idée » mais plutôt « je lui ai proposé une solution qui lui convient » et en être contente finalement.
En résumé, ce master est pour moi une formation vraiment très intéressante, malgré énormément de travail et d’investissement personnel, de fatigue et de casse-tête traductionnels. Mais grâce aussi à notre bonne entente, nos grosses parties de rire, ce que l’on partage et notre soutien mutuel, on parviendra à bout de ce master et on aura nôtre diplôme !
Nous avons des cours vraiment intéressants dans l’ensemble. On nous fournit des outils utiles, tels que les références culturelles et leur lexique, des logiciels servant à la traduction. On nous apprend aussi les différentes manières d’appréhender un texte, de définir le ton du texte, de chercher l’idée exacte et puis le mot, par des ressources virtuelles autant que personnelles.
On se rend compte de nos points forts et de nos points faibles. On les travaille ensemble, on progresse chacune un peu plus chaque semaine. Les professeurs nous poussent à cela, ils nous pressent comme des citrons, jusqu’à ce qu’il n’y ait même plus la pulpe, à peine un petit zeste. Et chaque semaine ils pressent à nouveau le citron pour en extraire tout ce dont on est capable et nous forcer à avancer. Alors on libère tout le jus possible et on est fières d’une bonne idée, d’un problème résolu après plusieurs jours de casse-tête, ou d’un petit mot anodin d’un professeur qui quelque part nous félicite pour une chose ou une autre.
On a appris à travailler ensemble dans les ateliers collectifs, et c’en est presque devenu une manie maintenant. J’ai l’impression que malgré une concurrence implicite dans notre futur et même pour le diplôme, on forme un groupe soudé, on s’aide les unes les autres sans a priori, sans penser qu’il y en a qui resteront peut-être sur le banc de touche alors que d’autres creuseront leur trou et réussiront. Et c’est bon de savoir que l’on peut compter sur les autres sans se dire « elle m’a piqué mon idée » mais plutôt « je lui ai proposé une solution qui lui convient » et en être contente finalement.
En résumé, ce master est pour moi une formation vraiment très intéressante, malgré énormément de travail et d’investissement personnel, de fatigue et de casse-tête traductionnels. Mais grâce aussi à notre bonne entente, nos grosses parties de rire, ce que l’on partage et notre soutien mutuel, on parviendra à bout de ce master et on aura nôtre diplôme !
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