Conservo mis recuerdos, entonces, soy yo mismo, por supuesto... bien que tengo mi alma conmigo.
Traduction temporaire :
Ayant conservé mes souvenirs, je suis évidemment resté moi-même... et mon âme ne m'a pas quitté.
Ayant conservé mes souvenirs, je suis évidemment resté moi-même... et mon âme ne m'a pas quitté.
9 commentaires:
1) "conservo mis recuerdos" :
Je m'interroge sur l'éventuelle utilisation ici du passé composé (à la place du présent) à cause de l'antériorité : le personnage veut dire qu'il a conservé / gardé ses souvenirs d'avant la cryogénisation.
2) "entonces, soy yo mismo" :
Je me demande s'il ne faut pas légèrement renforcer ce "je suis donc moi-même" en français. Pour cela, j'ai tenté quelque chose avec le verbe "rester" : "je suis donc resté moi-même".
3) "por supuesto" :
J'ai choisi "évidemment" plutôt que "bien sûr" pour éviter la répétition avec la suite : "si bien que".
4) "bien que tengo mi alma conmigo" :
Le littéral "si bien que j'ai mon âme avec moi" n'étant pas très heureux, j'ai recherché une tournure équivalente (tout en employant, au vu de la V.O., un vocabulaire très simple).
J'ai conservé mes souvenirs, je suis donc resté moi-même, évidemment... si bien que mon âme ne m'a pas quitté.
Laëtitia :
Conservo mis recuerdos, entonces, soy yo mismo, por supuesto... bien que tengo mi alma conmigo.
1) Non, pas le passé composé.
2) Argumentation valable.
J'ai conservé mes souvenirs, je suis donc resté moi-même, évidemment... si bien que mon âme ne m'a pas quitté.
Vu qu'il y a un lien de cause à effet, tu peux supprimer le présent, mais pas au bénéfice du passé composé. Et l'avantage, avec la solution à laquelle je pense, c'est que ça te permettra de supprimer le « donc ».
Je me demande si on ne devrait pas placer le « évidemment » ailleurs…
Une fois que ce ménage-là aura été fait, peut-être y aura-t-il une solution plus fluide pour la fin.
Après lecture de vos suggestions :
1) Si ce n'est ni le présent ni le passé composé, je ne vois que le futur? Voire.. le futur antérieur?
2) En supprimant le "donc" du début, ça laisse la possibilité de le caser à la fin, éventuellement.
J'essaye :
Je conserverai mes souvenirs et resterai, évidemment, moi-même...mon âme ne m'a donc pas quitté/si bien que mon âme ne m'a pas quitté.
1) Je répète : tenir compte du lien de cause à effet.
2) Nous n'avons besoin de rien… dès lors que le premier verbe sera correctement traduit.
Reprendre avec ces consignes… à partir de la proposition de Laëtitia.
1) Pour le lien de cause à effet, j'ai donc, à partir de la proposition de Lætitia, essayé avec le gérondif, car cela inclue, d'une certaine manière, la cause:
En conservant mes souvenirs, je suis, évidemment, resté moi-même...si bien que mon âme ne m'a pas quitté.
Je pense qu'avec la dernière proposition de Florence, on approche du but :
1) Gérondif : lien de cause à effet.
2) Suppression du "donc".
3) Changement de place du "évidemment".
Je tente tout de même une légère variante :
Ayant conservé mes souvenirs, je suis, évidemment, resté moi-même... si bien que mon âme ne m'a pas quitté.
Ayant conservé mes souvenirs, je suis, évidemment, resté moi-même... si bien que mon âme ne m'a pas quitté.
Pas besoin de mettre « évidemment » en relief – enlevez les virgules.
Juste une question : croyez-vous possible de supprimer « si bien que » ?
Pourquoi pas tout simplement la conjonction "et" ?
Ayant conservé mes souvenirs, je suis évidemment resté moi-même... et mon âme ne m'a pas quitté.
Voilà à quoi je pensais ;-)
Du travail, hein, sur cette simple petite phrase.
Je vous mets la suite.
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