Fueron tan fuertes y agudos que la gente se acurrucó entre ellos, otros empezaron a temblar y al final nadie pudo resistirlos más y decidimos entrar con rapidez, cada uno a sus casas.
Traduction temporaire :
, si perçants que certains se serrèrent contre leurs voisins, tandis que d'autres se mirent à trembler. N'y tenant plus, nous finîmes par décider de rentrer prestement chacun chez soi.
, si perçants que certains se serrèrent contre leurs voisins, tandis que d'autres se mirent à trembler. N'y tenant plus, nous finîmes par décider de rentrer prestement chacun chez soi.
12 commentaires:
Si puissants que certains se serrèrent les uns contre les autres, d'autres commencèrent à trembler et à la fin personne ne put plus les supporter, nous décidâmes alors de rentrer à vive allure chacun chez soi.
OK, mais dans ce cas, on fera une seule et même phrase avec celle qui précède… Donc on commence par une virgule.
« puissants » – mal adapté puisqu'il est question du volume sonore.
, si forts que certains se serrèrent les uns contre les autres, d'autres commencèrent à trembler et à la fin personne ne put plus les supporter, nous décidâmes alors de rentrer à vive allure chacun chez soi.
Fueron tan fuertes y agudos que la gente se acurrucó entre ellos, otros empezaron a temblar y al final nadie pudo resistirlos más y decidimos entrar con rapidez, cada uno a sus casas.
, si perçants que certains se blottirent contre leurs voisins, que d'autres se mirent à trembler et qu'au final, n'y tenant plus, nous décidâmes alors de rentrer à vive allure chacun chez soi.
1) « se serrèrent les uns contre les autres » ou « se blottirent contre leurs voisins » ?
2) « tandis que d'autres… »
3) OK pour « se mirent à trembler ».
4) Laëtitia : JAMAIS « au final » !!!!!!
, si forts que certains se serrèrent les uns contre les autres, tandis que d'autres se mirent à trembler et à la fin, n'y tenant plus, nous décidâmes alors de rentrer à vive allure chacun chez soi.
, si forts que certains se serrèrent les uns contre les autres, tandis que d'autres se mirent à trembler et à la fin, n'y tenant plus, nous décidâmes alors de rentrer à vive allure chacun chez soi.
1) « se serrèrent les uns contre les autres » ou « se blottirent contre leurs voisins » ?
Tu as fait ton choix… mais pourquoi ?
2) Point après « trembler ».
3) « finalement » après « décidâmes ».
Il me semble que "se blottir" serait plutôt pour des gens qui se connaissent entre-eux, or là, ce n'est pas le cas...
, si forts que certains se serrèrent les uns contre les autres, tandis que d'autres se mirent à trembler. À la fin, n'y tenant plus, nous décidâmes finalement de rentrer à vive allure chacun chez soi.
1) "tan fuertes y agudos" :
Si l'on traduit par "si forts", on perd la nuance apportée par le second adjectif en espagnol. Or "perçant" signifie exactement "aigu et fort, en parlant d'un son qui paraît percer le tympan" [Le Grand Robert électronique].
2) "la gente se acurrucó entre ellos" :
Certes, les verbes "se blottir" ou "se pelotonner" peuvent connoter la tendresse et donc une certaine familiarité, intimité. Je ne suis pas contre "se serrer" mais il y a un problème de répétition : "contre les autres" / "d'autres". On dispose aussi de "se recroqueviller".
3) "al final" :
Oui, au temps pour moi...
, si perçants que certains se serrèrent contre leurs voisins, tandis que d'autres se mirent à trembler. N'y tenant plus, nous décidâmes finalement de rentrer à vive allure chacun chez soi.
Elena,
Bon, ok… Cela dit, l'argument qu'ils ne se connaissent pas n'est guère valable puisqu'ils sont habitants d'un petit village, etc.
Je vous propose :
, si perçants que certains se serrèrent contre leurs voisins, tandis que d'autres se mirent à trembler. N'y tenant plus, nous finîmes par décider de rentrer prestement chacun chez soi.
OK ?
OK !
Oui, mon argument n'est guère valable car il est mal exprimé. Je pense que Lætitia explique mieux ce que je voulais dire : c'est des verbes qui peuvent connoter la tendresse.
, si perçants que certains se serrèrent contre leurs voisins, tandis que d'autres se mirent à trembler. N'y tenant plus, nous finîmes par décider de rentrer prestement chacun chez soi.
OK !
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