También me dirás que ocurre a menudo (todos los días y en todas partes) que un extranjero llegue a un aeropuerto sin conocer la lengua, ni tener idea de qué hacer apenas pisa tierra y se pregunta qué demonios, adónde ir a esa hora, sin dinero ni alguien a quién llamar, ya no en caso de urgencia sino de simple supervivencia.
Traduction temporaire :
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue locale, ni savoir quoi faire après avoir mis un pied dehors, et se demande où diable il pourrait bien aller à une heure pareille, alors qu'il est sans argent, sans personne à appeler, pas parce que c'est une urgence, mais parce que c'est purement et simplement une question de survie.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue locale, ni savoir quoi faire après avoir mis un pied dehors, et se demande où diable il pourrait bien aller à une heure pareille, alors qu'il est sans argent, sans personne à appeler, pas parce que c'est une urgence, mais parce que c'est purement et simplement une question de survie.
12 commentaires:
Tu me diras aussi que cela arrive souvent ( tous les jours et partout ) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire à peine foule t-il la terre et se demande par tous les diables où aller à cette heure, sans argent ni personne à appeler, pas plus en cas d'urgence que juste pour survivre.
Pas d'espace dans les parenthèses.
« ni savoir quoi faire à peine foule t-il la terre » ; pas très bien + tiret manquant. Essaie de voir si tu peux faire plus naturel.
« et se demande par tous les diables où aller à cette heure, sans argent ni personne à appeler, pas plus en cas d'urgence que juste pour survivre. » ; idem… À reprendre.
Aussi, tu me diras que cela arrive souvent (tous les jours et partout), qu’un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, n’ayant aucune idée sur quoi faire à peine arrivé et qui se demande où diable aller à cette heure-là, sans argent ni personne à appeler, pas en cas d’urgence mais plutôt de simple survie.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire à peine le pied posé et se demande où diable pourrait-il aller à cette heure, sans argent ni personne à appeler, en cas d'urgence comme pour survivre.
Sonita,
Attention de partir sur la base déjà proposée quand il y en a une… sinon, ça oblige à des retours en arrière incessants. Pas possible quand on est nombreux et avec tous les contes sur le feu en même temps.
(Tu ne peux pas commencer par « Aussi » ; c'est un hispanisme)
À partir de la propo de Justine, un peu plus avancée :
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire à peine le pied posé
Il manque quelque chose ici.
et se demande où diable pourrait-il aller
Faute de grammaire ; ça n'est pas une question…
à cette heure,
Insuffisant pour expliciter le sens. Besoin de chevilles ?
sans argent ni personne à appeler, en cas d'urgence comme pour survivre.
La fin est un CS. Tu as lu trop vite.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire à peine le pied posé par terre et se demande où diable il pourrait aller à cette heure tardive, sans argent ni personne à appeler, pas en cas d'urgence, mais juste de simple survie.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire après avoir posé le premier pied par terre et se demande où il pourrait bien aller à cette heure si avancée, sans argent ni personne à appeler, pas en cas d’urgence mais simplement pour survivre.
Je me demande si le "bien" dans "il se demande où il pourrait bien aller" traduit véritablement "qué demonios".
Je pars sur la solution d'Élodie, la plus aboutie.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire après avoir posé le premier pied par terre et se demande où il pourrait bien aller à cette heure si avancée, sans argent ni personne à appeler, pas en cas d’urgence mais simplement pour survivre.
1) Je pense qu'il faut supprimer « le premier ». « après avoir posé un pied par terre » suffit.
2) Pour « demonios », vous pouvez le traduire autrement qu'avec « diable », mais il faut le rendre avec autant de relief qu'en espagnol… or « bien » est très en dessous. Essayez !
3) Pour la fin, ça devient plus clair… mais je crois que ça pourrait être plus fluide et naturel en français.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire après avoir posé un pied par terre et se demande où diantre il pourrait aller à cette heure si avancée, sans argent ni personne à appeler, non pas en cas d’urgence, mais juste pour sa survie.
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire après avoir posé le pied à terre et se demande où diantre pourrait-il aller à cette heure si avancée, sans argent ni personne à appeler, pas en cas d’urgence mais simplement de survie.
***
Je sais que vous avez déjà validé "par terre", mais il me semble que "à terre" c'est mieux, non ?
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue, ni savoir quoi faire après avoir posé le pied à terre et se demande où diantre pourrait-il aller à cette heure si avancée, sans argent ni personne à appeler, pas en cas d’urgence mais simplement de survie.
« diantre » est très vieillot. Ça ne va pas.
Je vous propose :
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue locale, ni savoir quoi faire après avoir mis un pied dehors, et se demande où diable il pourrait bien aller à une heure pareille, alors qu'il est sans argent, sans personne à appeler, pas parce que c'est une urgence, mais parce que c'est purement et simplement une question de survie.
OK ?
Tu me diras aussi que cela arrive souvent (tous les jours et partout) qu'un étranger débarque dans un aéroport sans connaître la langue locale, ni savoir quoi faire après avoir mis un pied dehors, et se demande où diable il pourrait bien aller à une heure pareille, alors qu'il est sans argent, sans personne à appeler, pas parce que c'est une urgence, mais parce que c'est purement et simplement une question de survie.
OK.
Enregistrer un commentaire