mercredi 5 septembre 2012

Les Pikimachay – phrase 57

No se perdería porque después de todo esa zona era casi su segundo barrio,  vecino del suyo,  y por más borracho que se encontrase sabría siempre por dónde más o menos salir hacia zona más conocida.

Traduction temporaire :
Il ne se perdrait pas. Après tout, cette zone était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien,  et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours à peu près vers où se diriger pour retrouver un endroit plus familier.

16 commentaires:

Julie Sanchez a dit…

Il ne se perdrait pas puisque après tout cette zone était quasiment son deuxième quartier, voisin du sien, et quelque soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où sortir pour aller vers une zone plus familière.

Tradabordo a dit…

« Il ne se perdrait pas puisque après tout cette zone était quasiment son deuxième quartier » ; la traduction littérale ne donne pas un résultat très satisfaisant… Vois ce que tu peux faire d'autre.

Unknown a dit…

Je tente une modification du début :

Il ne se perdrait pas car, après toute cette zone, c'était un peu son deuxième quartier, voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où sortir pour aller vers une zone plus familière.

Julie Sanchez a dit…

Je tente autre chose sans changer la structure de la phrase pour l'instant :

"Il ne se perdrait pas puisque après tout cet endroit était pratiquement son deuxième quartier"

Tradabordo a dit…

Il ne se perdrait pas car, après toute cette zone, c'était un peu son deuxième quartier, voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où sortir pour aller vers une zone plus familière.

1) Virgule avant « car ».
2) Supprime le « toute ».
3) Pourquoi pas « presque » ?
4) « sortir » ?
5) Essaie de ne pas répéter « zone ».

Tradabordo a dit…

Julie,

Nos commentaires se sont croisés… Essayez de faire une synthèse de tout…

Julie Sanchez a dit…

Il ne se perdrait pas, puique après tout cette zone, c'était presque son deuxième quartier, voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où se diriger pour aller vers un endroit plus familier.

Unknown a dit…

Il ne se perdrait pas, puisque après cette zone, c'était presque son deuxième quartier, voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où se diriger pour aller vers un endroit plus familier.

J'ai juste enlevé le « toute » et la coquille à « puisque ».

Tradabordo a dit…

Il ne se perdrait pas, puisque après tout cette zone, c'était presque son deuxième quartier, voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où se diriger pour aller vers un endroit plus familier.

1) Je préfère « car ».
2) Faut-il ajouter « celui » avant « voisin du sien » ?
3) « VERS où » est obligatoire… Donc il faudra trouver une solution pour la suite.

Tradabordo a dit…

Manon, cette fois, se sont nos commentaires qui se sont croisés… Idem. Reprends à partir de la dernière solution et aménage.

Julie Sanchez a dit…

Il ne se perdrait pas, car après tout cette zone, c'était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins où se diriger pour aller vers un endroit plus familier.

Je ne comprends pas pour "vers où"

Tradabordo a dit…

Je vous propose :

Il ne se perdrait pas. Après tout, cette zone était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins vers où se diriger

Et c'est donc ce « vers » de la suite qu'il faut changer.

pour aller vers un endroit plus familier.

Julie Sanchez a dit…

Ah d'accord!

Il ne se perdrait pas. Après tout, cette zone était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins vers où se diriger pour atteindre un endroit plus familier.

Unknown a dit…

Il ne se perdrait pas. Après tout, cette zone était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours plus ou moins vers où se diriger pour retrouver un endroit plus familier.

Il y a une répétition de « plus », ne peut-on pas supprimer le dernier et laisser seulement « familier » ?

Tradabordo a dit…

Je vous propose :


Il ne se perdrait pas. Après tout, cette zone était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours à peu près vers où se diriger pour retrouver un endroit plus familier.

OK ?

Julie Sanchez a dit…

Il ne se perdrait pas. Après tout, cette zone était presque son deuxième quartier, celui voisin du sien, et quel que soit son degré d'ivresse, il saurait toujours à peu près vers où se diriger pour retrouver un endroit plus familier.

Ok!