Si hubiera médicos en el servicio de ferrocarriles suizos, pensaba, y si justo con venderle el pasaje a los pasajeros que, como él, pudieran parecer sospechosos de muerte, de muerte violenta, aun hasta de suicidio, si ocurriera eso en la hermosa y limpia burocracia suiza, lo más probable hubiera sido, y esto le hacía sonreírse, y esa sonrisa contenida lo mantenía un poco despierto, flotando en la superficie de sí mismo, que le aconsejaran no viajar, no viajar tan lejos, no viajar tan solo.
Traduction temporaire :
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si, simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, oui, tout cela, dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui ait conseillé de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si, simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, oui, tout cela, dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui ait conseillé de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
7 commentaires:
S’il y avait eu des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si en vendant le billet aux passagers qui, comme lui, auraient pu paraitre suspects de mort, de mort violente, voire même de suicide, si cela s’était passé dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui ait conseillé de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
J’ai eu beaucoup de difficultés à traduire cette phrase. Je ne sais pas comment traduire « justo con ». Je ne sais pas non plus si les temps verbaux sont corrects. Pour le lexique, je suis restée assez proche du texte espagnol mais le résultat ne me semble pas très naturel en français.
Si hubiera médicos en el servicio de ferrocarriles suizos, pensaba,
S’il y avait eu des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il,
y si justo con venderle el pasaje a los pasajeros que, como él, pudieran parecer sospechosos de muerte, de muerte violenta, aun hasta de suicidio,
et si [cheville : « simplement » ?] en vendant le [« leur » ?] billet aux passagers qui, comme lui, auraient pu [temps ?] paraitre [accent circonflexe] suspects de mort, de mort violente, voire même [redondant] de suicide,
si ocurriera eso en la hermosa y limpia burocracia suiza,
si cela s’était passé [temps ?] dans la belle et propre bureaucratie suisse,
lo más probable hubiera sido,
le plus probable aurait été,
, y esto le hacía sonreírse, y esa sonrisa contenida lo mantenía un poco despierto, flotando en la superficie de sí mismo,
et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même,
que le aconsejaran no viajar, no viajar tan lejos, no viajar tan solo.
qu’on lui ait conseillé [temps ?] de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
Je pense que tu dois mener une réflexion de fond sur les temps… en prenant bien en compte ce que dit la phrase précédente.
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, si cela se passait dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui conseille de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si [virgule ?] simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, [cheville : « oui, tout cela, dans » + suppression de « si cela se passait » ?????]si cela se passait dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui conseille [temps ?] de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
Cette phrase n'est pas simple… Relis-là en entier avant de reprendre, pour essayer de ne plus subir en te laissant guider strictement par le sens.
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si, simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, oui, tout cela, dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui ait conseillé de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
Pour la traduction de « que le aconsejaran », je ne vois pas autre chose comme temps…
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si, simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, oui, tout cela, dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui ait conseillé de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
Pour la traduction de « que le aconsejaran », je ne vois pas autre chose comme temps…
S’il y avait des médecins dans le service des chemins de fer suisses, pensait-il, et si, simplement en vendant leur billet aux passagers qui, comme lui, pourraient paraître suspects de mort, de mort violente, voire de suicide, oui, tout cela, dans la belle et propre bureaucratie suisse, le plus probable aurait été, et cela le faisait sourire, et ce sourire contenu le maintenait un peu éveillé, comme flottant à la surface de lui-même, qu’on lui ait conseillé de ne pas voyager, de ne pas voyager aussi loin, de ne pas voyager aussi seul.
Ça me semble à peu près compact… mais il faudra qu'on regarde ça de très près quand on relira.
Que c'est difficile !!!!!!
Tu t'en tires bien.
Je te mets la suite.
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