La prosa de Loayza me dio la impresión de seguir siendo la misma que yo recordaba, un lenguaje sugerente, hecho de claroscuros en los que nada estaba dicho de manera perentoria sino formulado de modo tal que le tocaba al lector sacar sus conclusiones.
Traduction temporaire :
J'eus l'impression que la prose de Loyaza identique au souvenir que j'en avais, une langue suggestive, faite de clair-obscur, où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire tout est formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
J'eus l'impression que la prose de Loyaza identique au souvenir que j'en avais, une langue suggestive, faite de clair-obscur, où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire tout est formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
11 commentaires:
La prose de Loayza me donna l'impression de continuer à être la même que celle dont je me souvenais, un langage suggestif, fait de clair-obscurs dans lesquels rien n'est dit de manière péremptoire, mais formulé d'une telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
La prose de Loayza me donna l’impression d’être toujours celle dont je me souvenais, un langage suggestif, fait de clairs obscurs dans lesquels rien n’était dit de manière péremptoire mais tout était formulé d’une façon telle que c’était au lecteur d’en tirer ses propres conclusions.
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Je suis revenue au passé simple car il me semble que là on est dans le temps de narration.
Cette histoire des temps va nous demander une sacrée harmonisation au moment de la relecture !
« La prose de Loayza me donna l’impression d’être toujours celle dont je me souvenais, » ; c'est la meilleure solution des deux… mais je me demande si ça ne serait pas mieux en commençant par « J'eus l'impression ». Essayez pour voir ce que ça donne.
Ici, on utiliserait plus « langue » que « langage ».
fait de clair-obscurs [orthographe à vérifier] dans lesquels rien n'est dit de manière péremptoire, mais formulé d'une [« DE »] telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
Cette histoire des temps va nous demander une sacrée harmonisation au moment de la relecture !
J'eus l'impression que la prose de Loyaza était toujours celle dont je me souvenais, une langue suggestive, faite de clair-obscur dans lesquels rien n'est dit de manière péremptoire, mais formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
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J'ai vérifié pour l'orthographe des noms composés et, d'après la règle, le mot est invariable quand il est composé de 2 adjectifs, ce qui est le cas ici.
J'eus l'impression que la prose de Loayza était toujours celle dont je me souvenais, une langue suggestive, faite de clairs-obscurs dans lesquels rien n'est dit de manière péremptoire, mais formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
J'eus l'impression que la prose de Loyaza était toujours celle dont je me souvenais, une langue suggestive, faite de clair-obscur dans lesquels [ou « , où » ?] rien n'est dit de manière péremptoire, mais [« au contraire » ?] formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
J'eus l'impression que la prose de Loyaza était toujours celle dont je me souvenais, une langue suggestive, faite de clair-obscur où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire, formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
J'eus l'impression que la prose de Loyaza était toujours celle dont je me souvenais, une langue suggestive, faite de clair-obscur où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire tout est formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
Quelques modifs :
J'eus l'impression que la prose de Loyaza identique au souvenir que j'en avais, une langue suggestive, faite de clair-obscur, où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire tout est formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
OK ?
OK.
J'eus l'impression que la prose de Loyaza identique au souvenir que j'en avais, une langue suggestive, faite de clair-obscur, où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire tout est formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
J'eus l'impression que la prose de Loyaza identique au souvenir que j'en avais, une langue suggestive, faite de clair-obscur, où rien n'est dit de manière péremptoire, au contraire tout est formulé de telle façon qu'il revient au lecteur de tirer ses propres conclusions.
OK.
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