El fascismo, como el infierno, está más cerca del hielo que del calor y la llama del incendiario es sólo un síntoma. Dice Gaston Bachelard: “Como portadores de antorchas siniestras, los hombres míseros transmiten, de edad en edad, el contagio de sus sueños de solitarios.
Traduction temporaire :
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est qu'un symptôme. Gaston Bachelard écrit : "Comme des porteurs de sinistres flambeaux, les hommes de misère transmettent d’âge en âge la contagion de leurs rêves d’isolés.
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est qu'un symptôme. Gaston Bachelard écrit : "Comme des porteurs de sinistres flambeaux, les hommes de misère transmettent d’âge en âge la contagion de leurs rêves d’isolés.
8 commentaires:
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est qu'un symptôme. Gaston Bachelard dit : "Tels des porteurs de torches sinistres, les hommes misérables transmettent, d'âge en âge, la contagion de leurs rêves de solitaires.
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près [ou « proche » ?] du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est [cheville : « en effet » ou inutile ?] qu'un symptôme. Gaston Bachelard dit [avec « écrire »] : "Tels des porteurs de torches sinistres, les hommes misérables transmettent, d'âge en âge, la contagion de leurs rêves de solitaires. [Tu as vérifié ou tu as traduit depuis l'espagnol ?]
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est qu'un symptôme. Gaston Bachelard écrit : "Tels des porteurs de torches sinistres, les hommes misérables transmettent, d'âge en âge, la contagion de leurs rêves de solitaires. [J'ai cherché cette phrase. Comme je ne l'ai pas trouvée, je me suis rabattu sur une traduction depuis l'espagnol]
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est qu'un symptôme. Gaston Bachelard écrit : "Tels des porteurs de torches sinistres, les hommes misérables transmettent, d'âge en âge, la contagion de leurs rêves de solitaires. [J'ai cherché cette phrase. Comme je ne l'ai pas trouvée, je me suis rabattu sur une traduction depuis l'espagnol / NON, ÇA C'EST IMPOSSIBLE… TU NE PEUX PAS DONNER LA TRADUCTION FRANÇAISE DE L'ESPAGNOL D'UN TEXTE FRANÇAIS D'UN AUTEUR FRANÇAIS… !!!!! IL FAUT QUE TU TE DÉBROUILLES POUR ESSAYER DE TROUVER LA RÉFÉRENCE ET QUE TU VÉRIFIES]
Le fascisme, à l'instar de l'enfer, est plus près du gel que de la chaleur ; la flamme de l'incendiaire n'est qu'un symptôme. Gaston Bachelard écrit : "Comme des porteurs de sinistres flambeaux, les hommes de misère transmettent d’âge en âge la contagion de leurs rêves d’isolés.
Confirme que c'est le texte original de Bachelard…
Oui, c'est bien le bon extrait. On le trouve dans le livre "La psychanalyse du feu", que l'on peut consulter à partir de ce lien : http://classiques.uqac.ca/classiques/bachelard_gaston/psychanalyse_du_feu/psychanalyse_du_feu.html
Et pour retrouver la phrase en question (ainsi que les quelques phrases suivantes, que l'on retrouve jusqu'à la fin du paragraphe de Droguett), il faut rechercher le mot "sinistres".
Je te crois ; il suffisait juste de me dire : vérification faite.
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