vendredi 10 janvier 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 32

No ahondaré aquí en el rosario de tristezas y frustraciones que constituyeron mis primeros meses de soltero impenitente (no me interesa darle ese último regocijo a enemigos y parientes); y tampoco esbozaré un catálogo de la mujer argentina: suficiente será con señalar que, por mucho, son las mujeres más hermosas que yo vi sobre la Tierra –húngaras y rusas no son de este planeta– y también las más odiosas.

Traduction temporaire :
Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles de la Terre – les Hongroises et les Russes sont des extraterrestres – et aussi les plus odieuses.

15 commentaires:

Sonita a dit…

Je ne creuserai pas ici dans le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois d'homme célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à mes proches); je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles que j'ai jamais vu sur Terre – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète – et elles sont aussi les plus odieuses.

Tradabordo a dit…

rétablis tes espaces.

Sonita a dit…

Je ne creuserai pas ici dans le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois d'homme célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à mes proches) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles que j'ai jamais vu sur Terre – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète – et elles sont aussi les plus odieuses.

Tradabordo a dit…

Je ne creuserai [ou dans le sens de « s'appesantir » ?] pas ici dans le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois d'homme [nécessaire ?] célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas [et le « nada » ?] de donner cette ultime joie à mes ennemis et à mes proches [assez précis ?]) ;

je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles que j'ai jamais vu sur Terre – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète – et elles sont aussi les plus odieuses.

Sonita a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici dans le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ;

***
Le mot "nada" n'est pas dans la V.O.

Tradabordo a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici dans [« dans » ne va pas…] le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ;

Sonita a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ;

Tradabordo a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ;
OK.

Colle un peu de la suite.

Sonita a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles que j'ai jamais vu sur Terre – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète – et elles sont aussi les plus odieuses.

Tradabordo a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles que j'ai jamais vu [grammaire] sur [« de la » + avance-le] Terre – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète – et elles [supprime] sont [idem] aussi les plus odieuses.

Sonita a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles de la Terre que j'ai jamais vues – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète – et aussi les plus odieuses.

Tradabordo a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles de la Terre que j'ai jamais vues [inutile ; supprime] – les Hongroises et les Russes ne sont pas de cette planète [naturel, au fait ?] – et aussi les plus odieuses.

Sonita a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles de la Terre – les Hongroises et les Russes sont des extraterrestres – et aussi les plus odieuses.

Tradabordo a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles de la Terre – les Hongroises et les Russes sont des extraterrestres – et aussi les plus odieuses.

OK… très bien.

Céline ?

Unknown a dit…

Je ne m'appesantirai pas ici sur le chapelet des peines et des frustrations qu'ont été mes premiers mois de célibataire impénitent (cela ne m'intéresse pas de donner cette ultime joie à mes ennemis et à ma famille) ; je n'esquisserai pas non plus un catalogue de la femme argentine : il sera suffisant de dire qu'elles sont, de loin, les femmes les plus belles de la Terre – les Hongroises et les Russes sont des extraterrestres – et aussi les plus odieuses.

OK.