lundi 6 janvier 2014

Projet Marie-G – phrases 78-83

La señora Benavides se volteó en la cama, dándole la espalda. Al rato, probó defender a Joaquín por última vez:
– Que haga lo que quiera. Yo lo apoyaré.
– Basta. Este sábado llevaré a ese demonio a la perrera, y que no se diga más.

Traduction temporaire :

Madame Benavides remua dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín, une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

9 commentaires:

Maria a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit. Ce samedi j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Tradabordo a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Ce [nécessaire ? + virgule] samedi j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Michael Barbero a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Maria a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Maria a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Maria a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Tradabordo a dit…

Madame Benavides se retourna dans le lit, lui tournant le dos [zut, embêtant quand même ce « retourna » + « tournant »].
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín [virgule] une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Maria a dit…

Madame Benavides remua dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín, une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

Tradabordo a dit…

Madame Benavides remua dans le lit, lui tournant le dos.
Au bout d’un moment, elle essaya de défendre Joaquín, une dernière fois :
— Qu’il fasse ce qu’il veut. Je le soutiendrai.
— Ça suffit ! Samedi, j’emmènerai ce démon à la fourrière, point final.

OK.