n'est plus innocent = 2 voix (22%)
n'est plus naïf = 4 voix (44%)
travaille toujours en lisant = 5 voix (55%)
évalue toujours l'écriture = 6 voix (66%)
prend moins de plaisir = 0 voix
prend un plaisir différent = 6 voix (66%)
Logique… nous ne cessons plus de traduire même quand le texte et son auteur ne nous ont rien demandé. Et pour faire quoi ? Évaluer, dites-vous majoritairement ! Je vois d'ici les jolies caricatures que cela pourrait donner. Heureusement, cela ne semble pas contradictoire avec la notion de plaisir. Sauf que là encore, on s'interroge : quel est donc ce plaisir « différent » qu'éprouve le traducteur-lecteur… ?
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