Nostalgie ? Vous avez dit nostalgie ?
Voilà, c'est fini (ou presque) : cette année de Master s'achève... La réunion-bilan de la semaine dernière a marqué le début de la fin : retour sur une traversée plus ou moins mouvementée, mais qui a su éviter les écueils, derniers conseils avant la soutenance (l'arrivée au port est toujours une opération délicate), et recrutement d'un nouvel équipage pour le prochain voyage...
Suis-je la seule à éprouver ce sentiment de tristesse et de regret ? Et pourquoi parler de nostalgie ? Je pourrais tout aussi bien me dire : « Ah, l'année se termine enfin ! Plus besoin d'être sur le pont en permanence ! Ou de suivre les instructions de notre capitaine, qui est un véritable bourreau de travail ! ». Je préviens gentiment les nouvelles recrues : ne vous attendez pas à vivre une croisière... Certes, on s'amuse, mais qu'est-ce qu'il faut trimer !
Eh bien, non, ce n'est pas ce que je me dis. Même si certains jours, je scrutais désespérément l'horizon en quête de répit, je n'ai jamais regretté d'être à bord. Parce que, à l'image de ces marins qui s'embarquaient pour l'inconnu, nous avons suivi une voie jamais explorée jusqu'alors et c'était plutôt exaltant de découvrir une formation qui prenait corps au fur et à mesure, grâce à notre présence et notre action. Nous avons donné un nom à notre promotion, nous avons animé et personnalisé le blog, nous sommes en train de monter une association... autant de points de repère pour les futures promotions.
Mais tout a une fin : pas question de rompre les amarres avec la communauté tradabordienne, même si une nouvelle relation – plus distendue – va s'instaurer. Après tout, quoi de plus normal ? Place aux jeunes !
Bon vent à la promotion X ! Et un grand merci à toutes celles et ceux qui ont agrémenté notre voyage inaugural.
Voilà, c'est fini (ou presque) : cette année de Master s'achève... La réunion-bilan de la semaine dernière a marqué le début de la fin : retour sur une traversée plus ou moins mouvementée, mais qui a su éviter les écueils, derniers conseils avant la soutenance (l'arrivée au port est toujours une opération délicate), et recrutement d'un nouvel équipage pour le prochain voyage...
Suis-je la seule à éprouver ce sentiment de tristesse et de regret ? Et pourquoi parler de nostalgie ? Je pourrais tout aussi bien me dire : « Ah, l'année se termine enfin ! Plus besoin d'être sur le pont en permanence ! Ou de suivre les instructions de notre capitaine, qui est un véritable bourreau de travail ! ». Je préviens gentiment les nouvelles recrues : ne vous attendez pas à vivre une croisière... Certes, on s'amuse, mais qu'est-ce qu'il faut trimer !
Eh bien, non, ce n'est pas ce que je me dis. Même si certains jours, je scrutais désespérément l'horizon en quête de répit, je n'ai jamais regretté d'être à bord. Parce que, à l'image de ces marins qui s'embarquaient pour l'inconnu, nous avons suivi une voie jamais explorée jusqu'alors et c'était plutôt exaltant de découvrir une formation qui prenait corps au fur et à mesure, grâce à notre présence et notre action. Nous avons donné un nom à notre promotion, nous avons animé et personnalisé le blog, nous sommes en train de monter une association... autant de points de repère pour les futures promotions.
Mais tout a une fin : pas question de rompre les amarres avec la communauté tradabordienne, même si une nouvelle relation – plus distendue – va s'instaurer. Après tout, quoi de plus normal ? Place aux jeunes !
Bon vent à la promotion X ! Et un grand merci à toutes celles et ceux qui ont agrémenté notre voyage inaugural.
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