La journée à été longue, intense et vraiment enthousiasmante, à plus d'un titre… donnant lieu à de vraies discussions de fond et de détail sur les textes, dans leurs versions originales et dans leurs versions d'arrivée. Nous avions prévu une heure de soutenance pour chacune et nous avons amplement débordé. Et il y aurait encore eu à dire. Peut-être poursuivrons-nous les débats autour d'un énième dernier verre de fin d'année. Cela me semble très bien. Voyons quand nous pouvons organiser cela, avec celles qui le souhaitent. Et il y a également eu des rendez-vous futurs pour continuer à suivre conjointement l'évolution des futures couches de correction pour que les traductions longues franchirent prochainement les portes d'un éditeur. Ne vous avais-je pas dit que les traducteurs sont bavards au moment de parler de leur travail ? Tiens, demandez à Jacqueline, diserte et aussi émue… Chacune a défendu avec conviction SON roman et SON auteur. L'appropriation était évidente. Cela fait plaisir à entendre et à voir. Ça n'a pas toujours été une partie de plaisir, car s'il est facile de recevoir les éloges (mérités !), il n'est jamais agréable d'entendre des remarques ou même des critiques sur la traduction de l'œuvre qu'on a possédée seul pendant des semaines et des mois… Et cependant, c'est inévitable, pour une première, pour une deuxième, pour une troisième… traduction. Rien de plus difficile que de tout maîtriser en même temps, seul et du premier coup. Il faut l'accepter et se résigner. Mais les échanges ont été fructueux et permettront certainement aux apprenties ponctuellement d'améliorer leur travail, plus globalement de franchir encore une étape vers leur future vie professionnelle en tant que traductrice… Quant aux formateurs, ils ont eu aussi beaucoup appris. Un post viendra sur le sujet.
Merci à toutes, chères apprenties.
Merci à Jean-Marie Saint-Lu, d'avoir fait le déplacement jusqu'à Bordeaux pour accompagner ses apprenties jusqu'au bout.
Merci à Marta Lacomba d'avoir remplacé Christilla Vasserot au pied levé.
Merci à toutes, chères apprenties.
Merci à Jean-Marie Saint-Lu, d'avoir fait le déplacement jusqu'à Bordeaux pour accompagner ses apprenties jusqu'au bout.
Merci à Marta Lacomba d'avoir remplacé Christilla Vasserot au pied levé.
1 commentaire:
Je "confirme" que ce fut une heure agréable, empreinte de convivialité, de respect mutuel, très constructive et qui m'a paru trop courte.
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