[parenthèse de Caroline : Jacqueline m'a envoyé ce post il y a quelques jours, et je n'avais pas pu le publier… C'est fait !]
Franchement, je ne sais pas répondre à cette question existentielle. J’imagine qu’on doit errer lamentablement autour de la H118 en se tordant les bras de désespoir et en pensant aux moments de franche rigolade que sont en train de vivre les copines, qu’on doit se lever le dimanche avec l’impression d’une journée perdue faute de billet à rédiger, qu’on doit vouloir mettre son grain de sel dans le blog et qu’on serre rageusement sa souris pour ne pas succomber à la tentation et laisser le champ libre aux nouvelles… bref vous l’avez compris, le blues me guetterait presque ; j’imagine alors que mille traductions (au moins) nous attendent avec l’excitation de l’inconnu et de la nouveauté, qu’une association peut-être permettra aux pionnières de jouer les grandes sœurs, que la famille, loin de s’éteindre va s’agrandir, que nous sommes le premier maillon d’une solide chaîne, que sais-je et alors oui, je retrouve ma sérénité, c’est préférable, du moins jusqu’à lundi ! Quelques traits d’humour permettent de prendre la distance indispensable avec l’événement, un master Pro, je parle d’expérience, est plus impressionnant qu’un master… tout court.
Toute cette distance ne m’empêche pas de garder la reconnaissance que je dois à qui m’a aidée. Vous me pardonnerez donc, j’en suis sûre, de profiter de ces derniers clics pour remercier comme il se doit François MATTEÏ, un mien ami, lecteur infatigable du blog, qui m’a souvent aidée par ses remarques avisées sur nos productions respectives, ses conseils et ses suggestions. Merci l’ami, et garde un œil sur Tradabordo, on ne sait jamais !
Franchement, je ne sais pas répondre à cette question existentielle. J’imagine qu’on doit errer lamentablement autour de la H118 en se tordant les bras de désespoir et en pensant aux moments de franche rigolade que sont en train de vivre les copines, qu’on doit se lever le dimanche avec l’impression d’une journée perdue faute de billet à rédiger, qu’on doit vouloir mettre son grain de sel dans le blog et qu’on serre rageusement sa souris pour ne pas succomber à la tentation et laisser le champ libre aux nouvelles… bref vous l’avez compris, le blues me guetterait presque ; j’imagine alors que mille traductions (au moins) nous attendent avec l’excitation de l’inconnu et de la nouveauté, qu’une association peut-être permettra aux pionnières de jouer les grandes sœurs, que la famille, loin de s’éteindre va s’agrandir, que nous sommes le premier maillon d’une solide chaîne, que sais-je et alors oui, je retrouve ma sérénité, c’est préférable, du moins jusqu’à lundi ! Quelques traits d’humour permettent de prendre la distance indispensable avec l’événement, un master Pro, je parle d’expérience, est plus impressionnant qu’un master… tout court.
Toute cette distance ne m’empêche pas de garder la reconnaissance que je dois à qui m’a aidée. Vous me pardonnerez donc, j’en suis sûre, de profiter de ces derniers clics pour remercier comme il se doit François MATTEÏ, un mien ami, lecteur infatigable du blog, qui m’a souvent aidée par ses remarques avisées sur nos productions respectives, ses conseils et ses suggestions. Merci l’ami, et garde un œil sur Tradabordo, on ne sait jamais !
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