Les réponses de Blandine aux questions que nous lui avons posées.
1. Comment s’est passée la traduction de ton roman ?
Je dois avouer que traduire Pusimos la bomba… y qué ? n’a pas été chose facile. Entre les cours, le travail à côté, les stages, j’ai eu un peu de mal à m’y mettre comme je l’avais prévu. Résultat ,je n’ai fini le premier jet que fin juin et ensuite je n’ai eu que le mois de juillet et mi-août pour faire les relectures et corrections – un très gros travail en si peu de temps.
2. Y a-t-il eu des moments de découragement ? De satisfaction ?
Comme vous pourrez le voir par vous-mêmes, on a toujours des moments de découragement. Quand on bloque sur une phrase, sur un mot. On se dit : non, là, ça ne va pas, il faut quelque chose de mieux. On se torture l’esprit, jusqu’au moment où l’on trouve enfin ce que l’on veut. On peut parler de satisfaction, quand on arrive à trouver une bonne solution à son problème. Du moins en ce qui me concerne. Faire lire mon travail à une autre personne m’a énormément aidé ou même le simple fait d’en discuter. Cela m’a permis de résoudre des problèmes de lexique ou de syntaxe.
3. Quelles difficultés as-tu rencontrées ?
Outre le fait que mon texte d’origine n’était pas écrit correctement et qu’il y avait énormément de dialogues, j’ai eu beaucoup de mal à les rendre tels qu’ils auraient dû être. J’avoue ne pas avoir pris suffisamment de risques pour m’éloigner du texte et en faire quelque chose d’agréable à lire.
4. Est-ce que cela a été plus ou moins difficile par rapport à ce que tu avais imaginé ?
Au début, on ne se rend pas trop de compte des difficultés vers lesquelles on va. C’est surtout au moment de la relecture et des corrections que je me suis mise à penser que ça n’était pas aussi bien que je le souhaitais.
5. Qu’attendais-tu d’une telle traduction ?
Je pense que cette première traduction a été une mise à l’épreuve, un défi que je devais relever pour me prouver à moi-même que j’étais vraiment faite pour cela. Car traduire des petits textes de quelques pages ça paraît toujours simple, mais de s’attaquer à un roman, c’est une autre paire de manches.
6. Qu’en retires-tu ?
Une grande remise en question, même si je suis satisfaite d’avoir terminé ce travail. Suis-je vraiment faite pour ce métier ? J’avoue avoir énormément de travail à effectuer pour me remettre à niveau et surtout écrire correctement…
7. Où as-tu trouvé ton texte de traduction longue, est-ce un coup de cœur, un choix « stratégique », un choix par défaut ?
Après plusieurs mois de recherche, une amie m’a proposé ce livre qu’elle avait chez elle. Je l’ai lu et il m’a intéressé en priorité par son contenu. Il s’agit d’un témoignage journalistique basé sur un fait réel et qui est toujours d’actualité.
8. As-tu l’intention d’essayer de faire publier ta traduction longue ?
Suite aux commentaires de mon tuteur, Jean-Marie Saint Lu et de Caroline, la responsable du parcours, je pense qu’il vaut mieux pour moi oublier cette idée. Car j’ai avant toute chose un gros travail de correction et de réécriture à faire. Et comme l’a fait remarquer Nathalie avant moi, il s’agit pour nous d’un travail de débutant et, en ce qui me concerne, avec encore trop d’erreurs pour oser le présenter à une maison d’édition.
1. Comment s’est passée la traduction de ton roman ?
Je dois avouer que traduire Pusimos la bomba… y qué ? n’a pas été chose facile. Entre les cours, le travail à côté, les stages, j’ai eu un peu de mal à m’y mettre comme je l’avais prévu. Résultat ,je n’ai fini le premier jet que fin juin et ensuite je n’ai eu que le mois de juillet et mi-août pour faire les relectures et corrections – un très gros travail en si peu de temps.
2. Y a-t-il eu des moments de découragement ? De satisfaction ?
Comme vous pourrez le voir par vous-mêmes, on a toujours des moments de découragement. Quand on bloque sur une phrase, sur un mot. On se dit : non, là, ça ne va pas, il faut quelque chose de mieux. On se torture l’esprit, jusqu’au moment où l’on trouve enfin ce que l’on veut. On peut parler de satisfaction, quand on arrive à trouver une bonne solution à son problème. Du moins en ce qui me concerne. Faire lire mon travail à une autre personne m’a énormément aidé ou même le simple fait d’en discuter. Cela m’a permis de résoudre des problèmes de lexique ou de syntaxe.
3. Quelles difficultés as-tu rencontrées ?
Outre le fait que mon texte d’origine n’était pas écrit correctement et qu’il y avait énormément de dialogues, j’ai eu beaucoup de mal à les rendre tels qu’ils auraient dû être. J’avoue ne pas avoir pris suffisamment de risques pour m’éloigner du texte et en faire quelque chose d’agréable à lire.
4. Est-ce que cela a été plus ou moins difficile par rapport à ce que tu avais imaginé ?
Au début, on ne se rend pas trop de compte des difficultés vers lesquelles on va. C’est surtout au moment de la relecture et des corrections que je me suis mise à penser que ça n’était pas aussi bien que je le souhaitais.
5. Qu’attendais-tu d’une telle traduction ?
Je pense que cette première traduction a été une mise à l’épreuve, un défi que je devais relever pour me prouver à moi-même que j’étais vraiment faite pour cela. Car traduire des petits textes de quelques pages ça paraît toujours simple, mais de s’attaquer à un roman, c’est une autre paire de manches.
6. Qu’en retires-tu ?
Une grande remise en question, même si je suis satisfaite d’avoir terminé ce travail. Suis-je vraiment faite pour ce métier ? J’avoue avoir énormément de travail à effectuer pour me remettre à niveau et surtout écrire correctement…
7. Où as-tu trouvé ton texte de traduction longue, est-ce un coup de cœur, un choix « stratégique », un choix par défaut ?
Après plusieurs mois de recherche, une amie m’a proposé ce livre qu’elle avait chez elle. Je l’ai lu et il m’a intéressé en priorité par son contenu. Il s’agit d’un témoignage journalistique basé sur un fait réel et qui est toujours d’actualité.
8. As-tu l’intention d’essayer de faire publier ta traduction longue ?
Suite aux commentaires de mon tuteur, Jean-Marie Saint Lu et de Caroline, la responsable du parcours, je pense qu’il vaut mieux pour moi oublier cette idée. Car j’ai avant toute chose un gros travail de correction et de réécriture à faire. Et comme l’a fait remarquer Nathalie avant moi, il s’agit pour nous d’un travail de débutant et, en ce qui me concerne, avec encore trop d’erreurs pour oser le présenter à une maison d’édition.
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