Plateforme communautaire et participative de traduction espagnol / français ; français / espagnol – Université Paris Nanterre
samedi 12 septembre 2009
De la part de Chloé aux anciennes
Une question de dernière minute, à ajouter au questionnaire destiné aux « anciennes » : je me demandais si vous avez l'intention d'essayer de faire publier votre traduction longue.
2 commentaires:
jacqueline
a dit…
Bonjour Chloé, en ce qui me concerne, ce ne sera pas possible, car entre le moment où j'ai arrêté le choix de mon livre et fin mai, quelqu'un d'autre a décidé de le traduire et doit remettre sa traduction en octobre à l'éditeur qui en a acheté les droits. Cela pourrait être une déception, en fait, cela va être intéressant de comparer mon travail à celui de quelqu'un de plus chevronné. Mais ne faites pas comme moi, protégez-vous! Amicalement, Jacqueline
Bonjour Chloé, Pour ma part, en septembre dernier, j'ai adressé à plusieurs éditeurs un dossier concernant "mon" auteur (jamais traduit ni publié en France) et le roman choisi pour ma traduction longue, mais sans avoir de réponse de la plupart... Malgré le soutien de l'auteur qui m'a vivement encouragée, celui-ci n'est plus "maître" de son oeuvre en quelque sorte. Si une maison d'édition française achète les droits auprès de l'éditeur étranger et décide de confier la traduction française à l'un de ses traducteurs, on ne peut rien faire et l'auteur non plus... à moins d'avoir protégé sa traduction ou son projet de traduction auparavant. Il semble que ce soit un peu un "cercle vicieux" dans ce petit monde de l'édition car un auteur inconnu ou jamais traduit n'intéresse pas toujours et une apprentie traductrice ne fait souvent pas le poids à côté des traducteurs chevronnés... Un auteur publié a souvent déjà "son" traducteur attitré... et on ne peut surtout pas s'approprier l'auteur d'un autre traducteur... En quelque sorte, l'idéal serait de tomber sur "la perle rare", de dénicher un auteur inconnu ou jamais traduit, ou un premier roman ou un futur best-seller assuré de plaire au public français , ou encore de proposer une traduction quasi parfaite en n'étant qu'apprentie, ou encore avoir de très bonnes relations dans le milieu éditorial... Bonne chance Chloé !
2 commentaires:
Bonjour Chloé, en ce qui me concerne, ce ne sera pas possible, car entre le moment où j'ai arrêté le choix de mon livre et fin mai, quelqu'un d'autre a décidé de le traduire et doit remettre sa traduction en octobre à l'éditeur qui en a acheté les droits. Cela pourrait être une déception, en fait, cela va être intéressant de comparer mon travail à celui de quelqu'un de plus chevronné. Mais ne faites pas comme moi, protégez-vous! Amicalement, Jacqueline
Bonjour Chloé,
Pour ma part, en septembre dernier, j'ai adressé à plusieurs éditeurs un dossier concernant "mon" auteur (jamais traduit ni publié en France) et le roman choisi pour ma traduction longue, mais sans avoir de réponse de la plupart...
Malgré le soutien de l'auteur qui m'a vivement encouragée, celui-ci n'est plus "maître" de son oeuvre en quelque sorte. Si une maison d'édition française achète les droits auprès de l'éditeur étranger et décide de confier la traduction française à l'un de ses traducteurs, on ne peut rien faire et l'auteur non plus... à moins d'avoir protégé sa traduction ou son projet de traduction auparavant.
Il semble que ce soit un peu un "cercle vicieux" dans ce petit monde de l'édition car un auteur inconnu ou jamais traduit n'intéresse pas toujours et une apprentie traductrice ne fait souvent pas le poids à côté des traducteurs chevronnés... Un auteur publié a souvent déjà "son" traducteur attitré... et on ne peut surtout pas s'approprier l'auteur d'un autre traducteur...
En quelque sorte, l'idéal serait de tomber sur "la perle rare", de dénicher un auteur inconnu ou jamais traduit, ou un premier roman ou un futur best-seller assuré de plaire au public français , ou encore de proposer une traduction quasi parfaite en n'étant qu'apprentie, ou encore avoir de très bonnes relations dans le milieu éditorial...
Bonne chance Chloé !
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