Bienvenue à celles et ceux d'entre vous qui rejoindrez notre blog, Tradabordo. J'espère que vous trouverez ici de quoi vous aider à préparer votre concours dans les meilleures conditions (notre objectif étant que vous portiez haut les couleurs de Bordeaux 3 !), au moins pour ce qui est notre spécialité, à savoir la traduction. Comme je vous l'ai dit, vous pouvez vous reporter à une section « version », bien fournie (avec plus d'une centaine de textes, assorti chacun de plusieurs propositions de traduction, d'étudiants, du traducteur officiel ou la mienne ; en vous y prenant correctement, vous avez ainsi le moyen de faire des auto-corrections efficaces), et à une section « thème » qui, si elle est moins étoffée, ne démérite pas.
Et j'insiste : n'hésitez pas à envoyer vos propres propositions pour les textes qui seront publiés au cours de l'année. L'avantage est que traduire en se disant qu'on rendra sa traduction publique est un petit défi personnel qui, croyez-moi, vous obligera à une grande exigence. Parfait pour être au niveau au mois de mars prochain.
Rappel :
la version est publiée le vendredi matin
le thème est publié le dimanche matin
Une dernière chose : bonne chance à tous !
Et j'insiste : n'hésitez pas à envoyer vos propres propositions pour les textes qui seront publiés au cours de l'année. L'avantage est que traduire en se disant qu'on rendra sa traduction publique est un petit défi personnel qui, croyez-moi, vous obligera à une grande exigence. Parfait pour être au niveau au mois de mars prochain.
Rappel :
la version est publiée le vendredi matin
le thème est publié le dimanche matin
Une dernière chose : bonne chance à tous !
3 commentaires:
Il est vrai que lors de ces exercices, le niveau d'exigeance augmente considérablement au fil des traductions puisque, du moins en ce qui me concerne, à chaque nouvelle traduction j'essaie d'apprendre des erreurs commises dans les précédentes et je cherche des moyens plus efficaces (et moins bâclés)pour en venir à bout de chaque traduction...
J'y ai pris goût, je passe tout mon temps libre à faire de la version et du thème, toujours soucieuse d'arriver à une traduction acceptable.
Mais, je dois bien le dire, le chemin est parsemé de doutes... je doute continuellement de moi, aussi bien en français qu'en espagnol!
Je me sens parfois bien seule quand je dois prendre des décisions de traduction ou quand je ne sais simplement pas traduire un mot ou une phrase...
que faire alors?!
Bonne continuation!
Sonita, tu soulèves exactement le problème : il est bien difficile de progresser quand on est seul dans son coin, avec ses questions sans réponses, ses doutes sans solutions… Et sans paroles réconfortantes ;)))))))
Par ailleurs, tu verras, c'est avec une pratique très régulière que tu gagneras progressivement des "certitudes", de celles qui te permettent de moins douter, ou alors d'accepter l'idée que peut-être tu te trompes, sans en faire une maladie. Il n'y a rien de pire que l'indécision et la "timidité" – j'appelle timidité, la retenue qui t'empêche de donner ton travail à lire à d'autres… alors que précisément, ce qui fait le traducteur, c'est aussi ce courage-là. Simplement, maintenant, il faut te détendre, car on ne peut traduire la peur au ventre… Fais les choses sérieusement et avec cœur, voilà tout. Et avec plaisir, bien entendu.
Merci Caroline pour ces quelques mots réconfortants...
maintenir le cap, faire des mots mes alliés, accepter l'imperfection tout en cherchant à m'améliorer au fil des traductions...
et, au milieu de tout ça, ne pas perdre l'enthousiasme, le plaisir des mots, des idées, des textes, de la langue.
un abrazo.
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