El otro que está de espaldas a mí sostiene un libro y lo mira muy de cerca. Un grupo de dos docenas de chicos españoles suben y se instalan en una especie de sala de estar que esta a mi derecha.
Traduction temporaire :
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en le tenant tout près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes Espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en le tenant tout près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes Espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
20 commentaires:
L'autre, qui est dos à moi, prend un livre et le regarde de très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Comment ne pas répéter « dos à moi » ?
Passe par « qui me tourne le dos »…
L'autre, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde de très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
L'autre, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde de très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Je ne crois pas qu'il faille mettre la virgule après « l'autre ». Cela n'introduit-il pas un CS ? Je vous laisse regarder.
L'autre qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde de très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Mais ce "otro" renvoie au premier (celui avec la chemise) ou à l'autre (celui à la veste également marron)?
Justine, ton avis ?
je dirais à celui qui a la veste.
« je dirais à celui qui a la veste. »
Je ne comprends pas…
Je pense que tu veux dire au deuxième (veste marron), dont on vient de parler.
"Le second", ça irait?
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde de très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde de très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
« le regarde de très près »… Est-ce qu'on ne devrait pas changer et passer par « approcher » ?
« sorte » ou « espèce » ?
Euh... comme ça?
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en l'approchant de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une espèce de salon, sur ma droite.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et s'approche très près. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
J'ai mis « sorte » pour éviter de répéter « espèce » qu'on a dans la phrase précédente.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en l'approchant de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une espèce de salon, sur ma droite.
Du coup, il manque « muy de cerca ».
OK pour « sorte », que propose Justine… puisque « espèce » introduit une répétition.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en l'approchant très près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une espèce de salon, sur ma droite.
Et comme ça?
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en le tenant tout près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes gens espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Je préfère avec « tout près »… mais j'hésite entre vos deux verbes. Qu'en pensez-vous ?
Du coup, avec l'adjectif, on peut avoir « jeunes » tout seul. Ce qui ne va pas, c'est « le jeune ».
Dans ce cas, je préfère "mon" verbe ;-)
Approcher tout près me semble un peu redondant, et comme on traduit sostener par prendre, on ajoute déjà une idée de mouvement, donc tenir suffit peut-être.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en le tenant tout près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes Espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en le tenant tout près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes Espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
OK.
Justine ?
Le second, qui me tourne le dos, prend un livre et le regarde en le tenant tout près de ses yeux. Un groupe de deux douzaines de jeunes Espagnols monte et s'installe dans une sorte de salon, sur ma droite.
OK.
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