dimanche 9 septembre 2012

Projet Perrine / Ricardo – phrases 6-7

Su presencia me perturbaba y ella lo sabía bastante bien. Lo supo desde siempre, mucho antes que yo incluso,  que no entendía ese brevísimo placer efervescente que me producía rozar sus piernas y amplias caderas con el pretexto de jugar con mis carritos y soldados,  antes de ser enviado al patio y dejar a la señora Leonor con aquella sapiente sonrisa que me seguiría electrizando en la imprenta de su esposo.

Traduction temporaire :
Sa présence me perturbait, et elle ne le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, d'ailleurs bien avant moi ; moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand, prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats, je frôlais ses jambes et ses larges hanches ; alors, on m'envoyait dans la cour et on m'obligeait à quitter Madame Leonor, avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

9 commentaires:

perrine a dit…

Sa présence me déstabilisait, et elle le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, et bien avant moi, moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand je frôlais ses jambes et ses larges hanches, en prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats, avant d’être congédié dans la cour et laisser Madame Leonor avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

Tradabordo a dit…

Pourquoi pas « perturbait » ?

Elle NE le savait que trop bien.

Pas besoin de « et » mais il faut que tu traduises « incluso ».

« larges hanches » ou « hanches larges » ?

Pas besoin de « en ».

« envoyé » suffit.

« devoir quitter… »

perrine a dit…

Je trouvais que "destabiliser" était plus le verbe qu'on emploierait dans ce genre de situation, mais je change un peu le sens en effet...

Je trouve qu'en plaçant l'adjectf devant et en prononçant "larges hanches", les hanches paraissent plus grande.

Sa présence me perturbait, et elle ne le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, bien avant moi-même, moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand je frôlais ses jambes et ses larges hanches, en prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats, avant d’être envoyé dans la cour et devoir quitter Madame Leonor avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

perrine a dit…

OK pour toi ?

Tradabordo a dit…

Sa présence me perturbait, et elle ne le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, [« D'AILLEURS » ?] bien avant moi-même [TU NE CROIS PAS QU'ON DEVRAIT RÉPÉTER LE VERBE ?], moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand je frôlais ses jambes et ses larges hanches, en prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats, avant d’être envoyé dans la cour et [DE] devoir quitter Madame Leonor avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

Que cette phrase est longue ? Est-ce qu'on y a avec quelques points, etc. ?

perrine a dit…

Sa présence me perturbait, et elle ne le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, d'ailleurs bien avant moi-même [ JE PENSE QU'ON PEUT S'EN PASSER]; moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand je frôlais ses jambes et ses larges hanches, en prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats, avant d’être envoyé dans la cour et de devoir quitter Madame Leonor avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

J'hésite à mettre un point après "soldats", car ça implique un petit changement de syntaxe. Qu'en penses-tu ?

Tradabordo a dit…

Pourquoi pas un point-virgule. Remets tout en place qu'on juge sur pièce.

perrine a dit…

Sa présence me perturbait, et elle ne le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, d'ailleurs bien avant moi-même ; moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand je frôlais ses jambes et ses larges hanches, en prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats ; alors, on m'envoyait dans la cour et on m'obligeait à quitter Madame Leonor avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

Tradabordo a dit…

Encore quelques petits modifs :

Sa présence me perturbait, et elle ne le savait que trop bien. Elle l’avait toujours su, d'ailleurs bien avant moi ; moi qui ne comprenais pas ce fugace plaisir effervescent que je ressentais quand, prétextant jouer avec mes petites voitures et mes soldats, je frôlais ses jambes et ses larges hanches ; alors, on m'envoyait dans la cour et on m'obligeait à quitter Madame Leonor, avec ce sourire sage qui continuerait de m’électriser dans l’imprimerie de son mari.

OK ?