Los donores no tenemos que trabajar, nuestro trabajo es ser donores. Sólo cuando los exvotos están marcados entran los peregrinos a la catedral.
Traduction temporaire :
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos marqués que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos marqués que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
10 commentaires:
Nous, les donneurs, nous n'avons pas l'obligation de travailler, notre travail est d'être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos gravés que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas l'obligation de travailler, notre travail est d'être donneurs.
Je te propose :
Nous, les donneurs, nous n'avons pas l'obligation de travailler, notre travail est d'être donneurs.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs.
OK ?
C'est seulement une fois les ex-votos gravés que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
« gravés » ? Je ne dis pas non… mais tu es sûre ?
C'est ce que je comprends, mais j'ai peut-être été influencée par "el martillito y el cincel" qui servent à casser la vierge...
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos marqués que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos marqués que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Je n'ai rien contre « gravés »… je me demandais juste. Laissons-le. On verra ce qu'en pense Émilie.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos gravés que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Émilie ?
Je ne suis pas sûre de "gravés"... On sait seulement qu'ils reçoivent ce code, non? On pourrait peut-^tre reprendre l'expression de la phrase d'avant, mais du coup, on répète "recevoir". Je continue à y réfléchir.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois que les ex-votos ont reçu leur code que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Je ne suis pas sûre de "gravés"... On sait seulement qu'ils reçoivent ce code, non? On pourrait peut-^tre reprendre l'expression de la phrase d'avant, mais du coup, on répète "recevoir". Je continue à y réfléchir.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois que les ex-votos ont reçu leur code que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois que les ex-votos ont reçu leur code que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Non, là, ça ne va pas… car tu sur-traduis en tenant compte de la suite et/ou de ce qui précède.
Au pire, on s'en tient à une trad littérale de la V.O. : « marqués ».
Oui, en fait:
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos marqués que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Nous, les donneurs, nous n'avons pas à travailler, car notre travail, c'est ça, être donneurs. C'est seulement une fois les ex-votos marqués que les pèlerins entrent dans la cathédrale.
Elena ?
OK
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