Lo que tenía frente a mí era la Eneida contada para la pubertad. Si a veces las batallas podían llamarle la atención a un lector con esas señas, había demasiado dramatismo en el saqueo de Troya; el brutal asesinato de Príamo; la huida de Eneas —viudo sin haberse dado cuenta— llevando a cuestas a su padre y casi a rastras a su pequeño Iulo.
Traduction temporaire :
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser ce type de lecteurs, il y avait trop de tension dramatique dans le sac de Troie, le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser ce type de lecteurs, il y avait trop de tension dramatique dans le sac de Troie, le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
9 commentaires:
Ce que j'avais devant moi, c'était l'Enéide racontée aux adolescents. Si parfois les batailles pouvaient attirer l'attention d'un lecteur avec ces signes, il y avait trop de dramatisme dans l'épisode du saque de Troie, du brutal assassinat de Pryame, de la fuite d'Enée – veuf sans s'en être rendu compte – portant son père sur son dos et traînant presque son petit oranger.
Ce que j’avais sous les yeux était l’Énéide racontée pour la puberté. Si parfois les batailles pouvaient intéresser un lecteur de ce type, il y avait trop de tension dramatique dans la prise de Troie, le brutal assassinat de Priam, La fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
Ce que j'avais devant moi, c'était l'Enéide racontée aux adolescents. Si [virgule ?] parfois [virgule ?] les batailles pouvaient attirer l'attention d'un lecteur avec ces signes [sens de cette phrase ????], il y avait trop de dramatisme dans l'épisode du saque [????] de Troie, du brutal assassinat de Pryame [???????], de la fuite d'Enée – veuf sans s'en être rendu compte [mal dit] – portant son père sur son dos et traînant presque son petit oranger [?].
Je prends ta solution, Céline… – nos commentaires se sont croisés :
Ce que j’avais sous les yeux [là, pour le coup : « , c' »] était l’Énéide racontée pour la puberté [cf version de Justine]. Si [virgule ?] parfois [virgule ?] les batailles pouvaient intéresser un lecteur de ce type, il y avait trop de tension dramatique dans la prise [texte] de Troie, le brutal assassinat de Priam, La [majuscule ?] fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser un lecteur de ce type, il y avait trop de tension dramatique dans le pillage de Troie, le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser un lecteur de ce type [ou « ce type de lecteurs » ?], il y avait trop de tension dramatique dans le pillage de Troie [il est temps d'arrêter d'essayer de deviner et de faire de rapides mais efficaces recherches…], le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser ce type de lecteurs, il y avait trop de tension dramatique dans le sac de Troie, le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser ce type de lecteurs, il y avait trop de tension dramatique dans le sac de Troie, le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
OK…
Céline ?
Et donc, attention, Justine ; le premier jet n'était vraiment pas à la hauteur… Quand tu ne sais pas, ne néglige jamais de chercher – sous peine de discréditer l'ensemble de ton travail auprès du lecteur… Un travail par ailleurs sérieux.
Ce que j’avais sous les yeux, c'était l’Énéide racontée aux adolescents. Si, parfois, les batailles pouvaient intéresser ce type de lecteurs, il y avait trop de tension dramatique dans le sac de Troie, le brutal assassinat de Priam, la fuite d’Énée – veuf sans le savoir – portant son père sur le dos et traînant presque son fils Iule.
OK.
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