Tal parafernalia, ahora, no es de mucho interés. Pero en esos plácidos días, para la gente que contaba entre nueve y quince años, y que se movía en La Punta —impecable balneario que prolongaba la atmósfera refinada de la belle époque—, una presencia semejante detenía la respiración.
Traduction temporaire :
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
9 commentaires:
Aujourd'hui, un tel attirail, n'a pas beaucoup d'intérêt. Mais en ces jours placides, pour les gens d'entre neuf et quinze ans, qui allaient et venaient à La Punta —balnéaire impeccable qui prolongeait l'atmosphère raffinée de la Belle Époque—, une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
Avoir un tel attirail, aujourd’hui, c’est plutôt banal. Mais en ces jours paisibles, pour ceux qui avaient entre neuf et quinze ans et qui trainaient à La Punta – station balnéaire impeccable prolongeant l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence pareille était à couper le souffle.
Pour la phrase 1, je vous propose un mélange de vos deux solution :
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal.
OK ?
Mais en ces jours paisibles, pour ceux qui avaient [est-ce qu'on ne devrait pas synthétiser avec quelque chose comme « gamins » ?] entre neuf et quinze ans et qui trainaient [« traînant » ?] à La Punta – station balnéaire impeccable prolongeant [oui pour « qui prolongeait »] l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence pareille était à couper le souffle [oui pour la fin de Nadia].
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins d'entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
OK ?
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins d'entre [« entre » .] neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
Un tel attirail, aujourd'hui, c'est assez banal. Mais en ces jours paisibles, pour les gamins entre neuf et quinze ans traînant à La Punta – station balnéaire impeccable qui prolongeait l’atmosphère raffinée de la belle époque – une présence de cette nature, ça coupait le souffle.
OK.
Élise ?
OK !
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