Vieux fourgon Citroën, par TdSch
Lundi matin, 9h20, me voilà arrivée au fin fond de la campagne lot et garonnaise. Je pénètre dans les bureaux des éditions Arphilvolis. Après une visite des locaux et une brève présentation de la société et de son fonctionnement, Mme Faïn, la directrice, me lance sur ma première tâche : la correction (orthographe et mise en page) de l’oeuvre d'un homme qui s'est voulu écrivain le temps d'un hommage à son père. Ce livre sera tiré en vingt exemplaires, destinés à son entourage et non à la vente… Il n’empêche qu’une correction était obligatoire. Et quel travail difficile ! Cet ouvrage n'ayant pas de visée commerciale, il ne fallait pas trop retoucher certaines syntaxes qui me faisaient faire des bonds sur ma chaise, ni même, comble du comble pour une hispanisante, corriger les mots espagnols écrits à la française ! Quand j’ai enfin fini par voir le bout de ce manuscrit, il était l’heure que je m’en aille. Si j’avais su ce qui allait m’arriver quelques minutes plus tard... le gentil chauffeur d'un vieux fourgon rouillé m'a envoyé valdinguer dans un fossé ! Quel bonheur de finir cette première journée aux urgences ! Momentanément sans véhicule, j'ai dû interrompre mon stage le temps d'une journée. À mon retour mercredi matin, un nouveau manuscrit m’attendait. Le premier polar d’une auteur de romans jeunesse. Beaucoup plus intéressant. Nous nous sommes donc tenu compagnie jusqu’à vendredi.
Je dois avouer que les travaux de cette semaine m’ont paru un peu rébarbatifs, j’espère voir rapidement autre chose, d'autant que cette maison d'édition imprime elle-même ses livres... Aventure à suivre...ance sur ma première t fonctionnement, Mme Fa
Lundi matin, 9h20, me voilà arrivée au fin fond de la campagne lot et garonnaise. Je pénètre dans les bureaux des éditions Arphilvolis. Après une visite des locaux et une brève présentation de la société et de son fonctionnement, Mme Faïn, la directrice, me lance sur ma première tâche : la correction (orthographe et mise en page) de l’oeuvre d'un homme qui s'est voulu écrivain le temps d'un hommage à son père. Ce livre sera tiré en vingt exemplaires, destinés à son entourage et non à la vente… Il n’empêche qu’une correction était obligatoire. Et quel travail difficile ! Cet ouvrage n'ayant pas de visée commerciale, il ne fallait pas trop retoucher certaines syntaxes qui me faisaient faire des bonds sur ma chaise, ni même, comble du comble pour une hispanisante, corriger les mots espagnols écrits à la française ! Quand j’ai enfin fini par voir le bout de ce manuscrit, il était l’heure que je m’en aille. Si j’avais su ce qui allait m’arriver quelques minutes plus tard... le gentil chauffeur d'un vieux fourgon rouillé m'a envoyé valdinguer dans un fossé ! Quel bonheur de finir cette première journée aux urgences ! Momentanément sans véhicule, j'ai dû interrompre mon stage le temps d'une journée. À mon retour mercredi matin, un nouveau manuscrit m’attendait. Le premier polar d’une auteur de romans jeunesse. Beaucoup plus intéressant. Nous nous sommes donc tenu compagnie jusqu’à vendredi.
Je dois avouer que les travaux de cette semaine m’ont paru un peu rébarbatifs, j’espère voir rapidement autre chose, d'autant que cette maison d'édition imprime elle-même ses livres... Aventure à suivre...ance sur ma première t fonctionnement, Mme Fa
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