par MERCEDES CAMACHO
Ce week-end, un peu stressée, je me suis demandé s’il fallait que je joigne l’auteur du livre que je traduis ou non. Sur les conseils de Caroline, j’ai foncé hier soir.
Je ne trouvais presque rien à propos du livre sur internet (El maquillador de cadáveres, LOM) et encore moins de choses sur l’auteur, Jaime Casas.
Je l’ai trouvé sur facebook (je me suis dis que j’allais voir au cas où mais je ne pensais pas que ça aboutirait…) Il y a énormément de Jaime Casas mais j’avais vu son visage sur un article.
Je lui ai écrit timidement. Je me suis présentée, lui ai dit que je traduisais son livre pour mes études et lui ai expliqué en quoi consistaient ces études. Pour finir, je lui ai demandé s’il aimerait que nous correspondions. J’ai essayée d’être brève et de ne pas l’agresser.
Je ne m’attendais pas à recevoir une réponse si rapide et positive de surcroît ! Ce matin, il avait déjà répondu. Il m’a dit qu’il était enchanté que je lui aie écrit, qu’il avait un tas de questions à me poser (ce que j’ai trouvé assez drôle) et qu’il me remerciait de traduire les aventures de Pancho, le personnage principal.
Pour l’instant j’ai uniquement répondu à ses questions et je verrai où ces échanges de messages nous mènerons. Je n’ai pas de gros problèmes de traduction pour l’instant, plutôt des problèmes de mise en français. J’aimerais parler du texte avec lui, ce qu’il représente pour lui, son histoire (je possède la quatrième édition qui date de 2007. La première date de 1996).
J’ai fait des recherches sur lui car j’ai envie d’en savoir plus sur ce livre qui m’intrigue (oui, même en le traduisant, il m’intrigue encore. Pourquoi ce thème, pourquoi cette région… J’ai déjà quelques idées mais j’aimerais que l’auteur me l’explique).
Caroline m’a demandé si je ne craignais pas de créer une relation "personnelle" qui pourrait me faire perdre ma distance critique. Je dois dire que c’est encore tout frais et que je n’y ai pas vraiment songé… Je vais tenter d’éviter que cet échange influence trop ma traduction mais je pense qu’elle peut aussi l’enrichir. Je ne sais pas trop de quoi nous allons parler par la suite, j’attends son prochain mail. Je vais être prudente et je verrai au fil du temps…
Je ne trouvais presque rien à propos du livre sur internet (El maquillador de cadáveres, LOM) et encore moins de choses sur l’auteur, Jaime Casas.
Je l’ai trouvé sur facebook (je me suis dis que j’allais voir au cas où mais je ne pensais pas que ça aboutirait…) Il y a énormément de Jaime Casas mais j’avais vu son visage sur un article.
Je lui ai écrit timidement. Je me suis présentée, lui ai dit que je traduisais son livre pour mes études et lui ai expliqué en quoi consistaient ces études. Pour finir, je lui ai demandé s’il aimerait que nous correspondions. J’ai essayée d’être brève et de ne pas l’agresser.
Je ne m’attendais pas à recevoir une réponse si rapide et positive de surcroît ! Ce matin, il avait déjà répondu. Il m’a dit qu’il était enchanté que je lui aie écrit, qu’il avait un tas de questions à me poser (ce que j’ai trouvé assez drôle) et qu’il me remerciait de traduire les aventures de Pancho, le personnage principal.
Pour l’instant j’ai uniquement répondu à ses questions et je verrai où ces échanges de messages nous mènerons. Je n’ai pas de gros problèmes de traduction pour l’instant, plutôt des problèmes de mise en français. J’aimerais parler du texte avec lui, ce qu’il représente pour lui, son histoire (je possède la quatrième édition qui date de 2007. La première date de 1996).
J’ai fait des recherches sur lui car j’ai envie d’en savoir plus sur ce livre qui m’intrigue (oui, même en le traduisant, il m’intrigue encore. Pourquoi ce thème, pourquoi cette région… J’ai déjà quelques idées mais j’aimerais que l’auteur me l’explique).
Caroline m’a demandé si je ne craignais pas de créer une relation "personnelle" qui pourrait me faire perdre ma distance critique. Je dois dire que c’est encore tout frais et que je n’y ai pas vraiment songé… Je vais tenter d’éviter que cet échange influence trop ma traduction mais je pense qu’elle peut aussi l’enrichir. Je ne sais pas trop de quoi nous allons parler par la suite, j’attends son prochain mail. Je vais être prudente et je verrai au fil du temps…
2 commentaires:
On attend la suite avec impatience… Pour une curieuse comme moi, s'ouvre là un chapitre intéressant de la grande aventure des apprentis traducteurs en phase finale de métamorphose – bientôt tous traducteurs !
Quant à moi, j'attends de voir ce que sera l'entretien réalisé par Jaime Casas à la traductrice Julie Sanchez.
Enregistrer un commentaire