I. Adj. et subst. (Celui, celle) qui est partisan du panthéisme.
"Quiconque n'est pas théiste est logiquement panthéiste, et quiconque n'est pas panthéiste est nécessairement théiste. Tout homme fait son choix entre ces deux doctrines" (LACORD., Conf. N.-D., 1848, p.16).
II. Adj.
Qui se rapporte au panthéisme, qui le manifeste. Philosophies panthéistes; poèmes panthéistes.
"Avec un frisson de crainte presque religieuse, d'extase panthéiste, je vis en esprit tout autour de moi le morne et infini resplendissement bleu du grand océan austral." (LOTI, Rom. enf., 1890, p.287).
Remarque : Panthéiser, verbe.
a) Empl. trans. Considérer un sujet d'une manière panthéiste; lui faire perdre son caractère personnel, son identité.
b) Empl. intrans. Adopter une philosophie, des conceptions panthéistes.
"Tu te fais élégiaque. Tu comprends tout, ma foi! Tu panthéises. Tu vois Dieu partout et nulle part." (RENARD, Journal, 1889, p.129).
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PANTHÉISTE, adj. et subst.
MÉTAPHYSIQUE
I. Adj. et subst. (Celui, celle) qui est partisan du panthéisme.
"Quiconque n'est pas théiste est logiquement panthéiste, et quiconque n'est pas panthéiste est nécessairement théiste.
Tout homme fait son choix entre ces deux doctrines" (LACORD., Conf. N.-D., 1848, p.16).
II. Adj.
Qui se rapporte au panthéisme, qui le manifeste. Philosophies panthéistes; poèmes panthéistes.
"Avec un frisson de crainte presque religieuse, d'extase panthéiste, je vis en esprit tout autour de moi le morne et infini resplendissement bleu du grand océan austral." (LOTI, Rom. enf., 1890, p.287).
Remarque : Panthéiser, verbe.
a) Empl. trans. Considérer un sujet d'une manière panthéiste; lui faire perdre son caractère personnel, son identité.
b) Empl. intrans. Adopter une philosophie, des conceptions panthéistes.
"Tu te fais élégiaque. Tu comprends tout, ma foi! Tu panthéises. Tu vois Dieu partout et nulle part." (RENARD, Journal, 1889, p.129).
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