Que signifie l'adjectif : « GRENU » ?
Plateforme communautaire et participative de traduction espagnol / français ; français / espagnol – Université Paris Nanterre
dimanche 30 septembre 2012
samedi 29 septembre 2012
Les Météores – phrases 200-201
Después de que compran los exvotos en las tiendas, los peregrinos tienen que pasar a la oficina de registros de la Compañía. Allí diligencian sus solicitudes y deben hacer un depósito dependiendo del tipo de órgano y de la edad del solicitante.
Traduction temporaire :
Après avoir acheté leurs ex-votos dans les boutiques, les pèlerins doivent passer par le bureau des registres de la Compagnie. C'est là qu'ils présentent leurs demandes et qu'ils doivent effectuer un versement, en fonction du genre d'organe sollicité et de l'âge du demandeur.
Après avoir acheté leurs ex-votos dans les boutiques, les pèlerins doivent passer par le bureau des registres de la Compagnie. C'est là qu'ils présentent leurs demandes et qu'ils doivent effectuer un versement, en fonction du genre d'organe sollicité et de l'âge du demandeur.
Les Météores – phrases 198-199
Todos nuestros órganos, cualquier parte de nuestro cuerpo es, por así decirlo, Plug and Play. Cualquier persona puede recibir el transplante, sin riesgo alguno de rechazo, sin drogas ni tratamiento alguno: Plug and Play.
Traduction temporaire :
L'ensemble de nos organes, n'importe quelle partie de notre corps est, en soi, quasiment Plug and Play. Tout le monde peut recevoir la greffe, sans aucun risque de rejet, sans médicaments, ni le moindre traitement : Plug and Play.
L'ensemble de nos organes, n'importe quelle partie de notre corps est, en soi, quasiment Plug and Play. Tout le monde peut recevoir la greffe, sans aucun risque de rejet, sans médicaments, ni le moindre traitement : Plug and Play.
Les Météores – phrases 197-198
La palabra “DONOR” está escrita en letra grande, el resto de la frase apenas si se alcanza a leer. Por eso nos llaman donores: los donantes universales.
Traduction temporaire :
Le mot « DONNEUR » est écrit en grand, alors que le reste de la phrase est à peine lisible. C'est la raison pour laquelle on nous appelle les donneurs : les donneurs universels.
Le mot « DONNEUR » est écrit en grand, alors que le reste de la phrase est à peine lisible. C'est la raison pour laquelle on nous appelle les donneurs : les donneurs universels.
Les Big bang – phrase 81
Pero el mismo azar hizo que un disparo afortunado del cañón defensor de la COD impactara de lleno al maldito artillero enemigo.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Les Ollantay / 2 – phrases 181-191
— Entonces, ¿ qué hay de nuevo ?
— Nada. Este tipo quiere hacerse a Alexa, ¿ no es cierto ?
— ¿ Se puede saber de dónde sacas eso ?, le digo.
— No sé, es lo que oí.
— No estaría mal, dice Speed.
— Nada mal - PM atrapa del brazo a Astrid que en ese momento pasa al lado nuestro – qué dices, nena, ¿Gabriel la hace con Alexa? Astrid lo piensa un momento.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Les Ollantay / 2 – phrases 172-180
Pausa.
Speed suelta una carcajada con esa risa tan aguda que tiene, tan sarcástica.
— WOW no está mal, dice Speed.
— Nada mal, responde PM.
— ¿ WOW ?, digo yo.
— World of Warcraft, tío.
— Ya veo - Los tres tipos se van y ocupamos su lugar al lado de la ventana para fumar. El vino sabe ácido.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Projet Perrine / Ricardo – phrase 9
Inquietud que trataba de verter en mis poemas juveniles y en la excitación de trasladarlos, cuando el imprentero salía a cumplir con distintas diligencias, a una vieja plancha de madera, en la caja de composición, que solía ocultar debajo de las que armaba diariamente, si es que antes el pudor no me obligaba a desmontarlo todo.
Traduction temporaire :
Inquiétude que j’essayais d'exprimer dans mes poèmes juvéniles et à travers l’idée excitante de les transcrire – lorsque l’imprimeur sortait pour régler quelques affaires – sur une vieille planche en bois, dans la boîte de composition, que je cachais souvent sous celles que j'assemblais chaque jour, au cas où la pudeur m’obligerait à tout démonter avant.
Inquiétude que j’essayais d'exprimer dans mes poèmes juvéniles et à travers l’idée excitante de les transcrire – lorsque l’imprimeur sortait pour régler quelques affaires – sur une vieille planche en bois, dans la boîte de composition, que je cachais souvent sous celles que j'assemblais chaque jour, au cas où la pudeur m’obligerait à tout démonter avant.
Les Lituma – phrase 32
Pero esa noche Claire no estaba, ni yo precipité mis pasos rumbo a nadie, simplemente miré alrededor y me dije que él también todavía seguía ahí, proyecto de músico folklórico, esbozo de vagabundo sentimental.
Traduction temporaire :
Mais ce soir-là, Claire était absente. Quant à moi, je ne me précipitai vers personne ; je regardai simplement autour de moi et me dis que lui aussi, il était encore là – projet de musique folklorique, esquisse d’un vagabond sentimental.
Mais ce soir-là, Claire était absente. Quant à moi, je ne me précipitai vers personne ; je regardai simplement autour de moi et me dis que lui aussi, il était encore là – projet de musique folklorique, esquisse d’un vagabond sentimental.
Les Lituma – phrase 31
Lo mismo que tú, yo siempre pasaba por delante de ellos, precipitaba mis pasos para alcanzar a Claire, quien me hacía adiós desde lejos, me sonreía, qué tal había estado el vuelo, ya era hora de que llegara.
Traduction temporaire :
Tout comme toi, je passais toujours devant eux lorsque j’accélérais le pas pour rejoindre Claire, qui me saluait de loin, me souriait, me demandait comment s’était passé mon vol, me disait qu’il était temps que je rentre.
Tout comme toi, je passais toujours devant eux lorsque j’accélérais le pas pour rejoindre Claire, qui me saluait de loin, me souriait, me demandait comment s’était passé mon vol, me disait qu’il était temps que je rentre.
Les Lituma – phrase 30
Pero, no se qué me dio verlo parado más tarde en el andén del metro, fingiendo esperar a alguien que jamás llegaría, buscando en su reloj una hora improbable por lejana.
Traduction temporaire :
Mais, je ne sais pas ce qui me prit quand je le vis un peu plus tard, debout sur le quai du métro, faisant semblant d’attendre quelqu’un qui n'arriverait jamais, regardant sur sa montre une heure improbable parce que lointaine.
Mais, je ne sais pas ce qui me prit quand je le vis un peu plus tard, debout sur le quai du métro, faisant semblant d’attendre quelqu’un qui n'arriverait jamais, regardant sur sa montre une heure improbable parce que lointaine.
Question de lexique
Qu'est-ce qu'un « BIRBE » ?
(Pour les nouveaux : vous cherchez la définition et vous la mettez dans les commentaires ; le cas échéant en donnant vos sources… Comme toujours, le but est d'enrichir votre palette lexicale).
Les Pikimachay – phrases 87-88
Pero no sintió el dolor, se incorporó de nuevo casi de inmediato, intentando disimular, imaginando que ella lo observaba detrás de su cortina. Cruzó la pista y se lanzó a la puerta entonando convencido su grito de guerra.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Les Pikimachay – phrase 86
Al salir del pasto y saltar a la vereda se resbaló, esta vez de verdad, el rocío, el cemento medio húmedo o lo que fuese se confabuló para dejarle una cicatriz más en el cuerpo, pero ahora en la canilla.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Projet Sonita / Cristina – phrases 65-69
- En Corea… En Co-Corea…
- Entiendo - dije acariciando su cabeza.
Pero la verdad no entendía nada. Me dijo algo del, honor de su familia, y que no era exactamente yo sino, todo su ritmo de vida, que si qué sabia del confucianismo, que si era yo budista.
Traduction temporaire :
— En Corée… En Co-Corée…
— Je comprends, répondis-je en lui caressant la tête.
En réalité, je ne comprenais rien. Elle me dit quelque chose sur l’honneur de sa famille, que ça ne tenait pas vraiment à moi, mais à sa manière de vivre, me demanda ce que je savais du confucianisme, si j’étais bouddhiste.
— En Corée… En Co-Corée…
— Je comprends, répondis-je en lui caressant la tête.
En réalité, je ne comprenais rien. Elle me dit quelque chose sur l’honneur de sa famille, que ça ne tenait pas vraiment à moi, mais à sa manière de vivre, me demanda ce que je savais du confucianisme, si j’étais bouddhiste.
Les Météores – phrase 196
Pero él no pasó la prueba, no era un donante universal. Por eso no le tatuaron la marca que llevamos todos los demás:
Traduction temporaire :
Sauf que pour lui, les résultats ne furent pas concluants : il n'était pas donneur universel. Voilà pourquoi on ne lui tatoua pas le signe que nous portons tous.
Sauf que pour lui, les résultats ne furent pas concluants : il n'était pas donneur universel. Voilà pourquoi on ne lui tatoua pas le signe que nous portons tous.
Les Météores – phrases 194-195
Todo porque nació Benjamín.
Justo después del parto le hicieron los mismos exámenes que nos hicieron a todos nosotros.
Traduction temporaire :
Tout ça à cause de la naissance de Benjamín. Juste après l'accouchement, on lui avait fait les mêmes examens qu'à nous.
Tout ça à cause de la naissance de Benjamín. Juste après l'accouchement, on lui avait fait les mêmes examens qu'à nous.
Les Météores – phrases 189-193
Todos en mi familia somos donores. Todos excepto Benjamín, el menor, que fue rechazado al nacer. Porque él fue rechazado hoy está muerta mamá. Porque ella estaba muerta, decidí salir del valle. Y porque salí del valle…
Traduction temporaire :
Dans la famille, nous sommes tous donneurs ; tous, sauf Benjamín, le plus jeune, refusé à la naissance. Or c’est à cause de ce refus, qu’aujourd’hui, maman est morte. Et c'est à cause de cette mort que je pris la décision de quitter la vallée. Ensuite, c’est parce que je quittai la vallée…
Dans la famille, nous sommes tous donneurs ; tous, sauf Benjamín, le plus jeune, refusé à la naissance. Or c’est à cause de ce refus, qu’aujourd’hui, maman est morte. Et c'est à cause de cette mort que je pris la décision de quitter la vallée. Ensuite, c’est parce que je quittai la vallée…
vendredi 28 septembre 2012
Les Lunes – phrases 225-226
Durante una fracción de segundo se me oprimió la garganta. Gretel estaba nerviosa, como si adivinara que iba a pasar algo.
Traduction temporaire :
Durant une fraction de seconde, ma gorge se serra. Gretel était nerveuse, comme si elle devinait que quelque chose allait se passer.
Durant une fraction de seconde, ma gorge se serra. Gretel était nerveuse, comme si elle devinait que quelque chose allait se passer.
Les Lunes – phrase 224
Crestas y vaivenes se encumbraban y resbalaban en explosiones lánguidas, sin que quedara ningún vestigio de la forma original.
Traduction temporaire :
Des crêtes et des ondulations se surélevaient et glissaient dans des explosions molles, sans qu'il reste le moindre vestige de la forme originelle.
Des crêtes et des ondulations se surélevaient et glissaient dans des explosions molles, sans qu'il reste le moindre vestige de la forme originelle.
Les Lituma – phrase 29
Yo los había cruzado miles de veces: primero con curiosidad, después con ironía y al final con la misma indiferencia que tenían quienes pasaban al lado suyo en el aeropuerto, a la hora de recoger los equipajes.
Traduction temporaire :
Je les avais croisés des milliers de fois : d'abord avec curiosité, puis avec ironie, et finalement avec la même indifférence qu'affichait la foule passant à côté d'eux, dans l'aéroport, pour récupérer leurs bagages.
Je les avais croisés des milliers de fois : d'abord avec curiosité, puis avec ironie, et finalement avec la même indifférence qu'affichait la foule passant à côté d'eux, dans l'aéroport, pour récupérer leurs bagages.
Les Ollantay / 2 – phrases 170-171
— Empecemos por esos tres geeks, dice PM sonriendo maliciosamente, señalando con un gesto de la cabeza a tres tipos parados al lado de la ventana. Los tres discuten apasionadamente sobre un videojuego llamado World Of Warcraft.
Traduction temporaire :
— Commençons par ces trois geeks, là, dit PM avec un sourire malicieux et en désignant d’un mouvement de tête des types debout près de la fenêtre, engagés dans une discussion passionnée sur un jeu vidéo appelé World Of Warcraf.
— Commençons par ces trois geeks, là, dit PM avec un sourire malicieux et en désignant d’un mouvement de tête des types debout près de la fenêtre, engagés dans une discussion passionnée sur un jeu vidéo appelé World Of Warcraf.
jeudi 27 septembre 2012
C'est reparti !
Cette semaine a lieu la rentrée de la nouvelle promo du Master 2 pro « métiers de la traduction » de l'Université de Bordeaux 3.
Profitons de l'occasion pour souhaiter la bienvenue et une bonne année de formation à :
Nancy Benazeth
Kevin Cipollini
Justine Ladaique
Elise Poullain
Céline Rollero
Nadia Salif
Manon Tressol
Chers apprentis traducteurs, pensez qu'il va falloir vous trouver un nom de groupe - pour rappel :
2008-2009 : Promo Anne Dacier
2009-2010 : Promo Aline Schulman
2010-2011 : Promo Claude Bleton
mardi 25 septembre 2012
Les chansons du mardi – choisies par Elena
lundi 24 septembre 2012
Projet Sonita / Christina – phrase 64
Mirada de Almendra lloraba. Sus lágrimas caían, entre quejas tibias al agua. Ya no había vapor cortineando, mi voz des nuda.
Traduction temporaire :
Regard d’Amande pleurait. Mêlées aux plaintes tièdes, ses larmes coulaient dans l'eau. Il n’y avait plus de vapeur pour ouater ma voix nue.
Regard d’Amande pleurait. Mêlées aux plaintes tièdes, ses larmes coulaient dans l'eau. Il n’y avait plus de vapeur pour ouater ma voix nue.
Les Pikimachay – phrase 85
Pero se incorporó, recuperó el equilibrio y, dibujando una línea ondulante, atravesó el parque, saltando las bancas e ignorando los letreros que advierten de no pisar nunca el césped, de sólo los burros van por el pasto, y demás, diciendo para él pero en voz alta vamos, basura, vamos, tienes que decirle que la amas.
Traduction temporaire :
Mais il se releva et retrouva l'équilibre. Traçant une ligne sinueuse, il traversa le parc, sautant par-dessus les bancs, ignorant les panneaux d'interdiction de marcher sur la pelouse – seuls les ânes vont sur l'herbe ! – et se disant pour lui-même, à voix haute : allez, pauvre con, allez, tu dois lui avouer que tu l'aimes.
Mais il se releva et retrouva l'équilibre. Traçant une ligne sinueuse, il traversa le parc, sautant par-dessus les bancs, ignorant les panneaux d'interdiction de marcher sur la pelouse – seuls les ânes vont sur l'herbe ! – et se disant pour lui-même, à voix haute : allez, pauvre con, allez, tu dois lui avouer que tu l'aimes.
Les Pikimachay – phrase 84
Y, después de volverlo a dudar, dio el primer paso que fue un mal paso, avanzó y cayó de rodillas.
Traduction temporaire :
Et, après avoir douté une fois de plus, il fit le premier pas – un pas de travers –, et tomba à genoux.
Et, après avoir douté une fois de plus, il fit le premier pas – un pas de travers –, et tomba à genoux.
Projet Joachim / Nedda – phrase 25
Al llegar al edificio que alberga la oficina en que trabajo, una mujer joven, con los ojos desorbitados, se abalanzó sobre mí aferrándome de las solapas y gritando.
Traduction temporaire :
En arrivant devant l'immeuble où se trouvent les bureaux où je travaille, une jeune femme, aux yeux exorbités, s'est littéralement jetée sur moi en m'attrapant par le revers et en criant.
En arrivant devant l'immeuble où se trouvent les bureaux où je travaille, une jeune femme, aux yeux exorbités, s'est littéralement jetée sur moi en m'attrapant par le revers et en criant.
Projet Sonita / Cristina – phrases 60-63
El vapor golpeaba los colores. Un tintineo en el, agua me recordó el cabello húmedo esperándome.
-Demasiados hombres... ¿Será por eso?…
Traduction temporaire :
La vapeur cognait contre les couleurs. Un tintement dans l’eau me rappela les cheveux humides qui m’attendaient.
—Trop d’hommes… Étais-ce là la raison ?
La vapeur cognait contre les couleurs. Un tintement dans l’eau me rappela les cheveux humides qui m’attendaient.
—Trop d’hommes… Étais-ce là la raison ?
Les Météores – phrases 187-188
Al día siguiente fuimos al centro comercial y el fin de semana, todos estrenamos. Yo estaba muy contento con mis tenis nuevos, rojos y negros con cintas plateadas.
Traduction temporaire :
Le lendemain, nous allâmes au centre commercial et, le week-end, nous portâmes tous nos nouveaux vêtements. Moi, j'étais très content de mes tennis tout neufs, rouges et noirs avec des bandes argentés.
Le lendemain, nous allâmes au centre commercial et, le week-end, nous portâmes tous nos nouveaux vêtements. Moi, j'étais très content de mes tennis tout neufs, rouges et noirs avec des bandes argentés.
Les Météores – phrases 184-186
Al menos hasta enero no tendríamos que decidir quién iba a dar el próximo riñón, o el páncreas, o un pulmón. Incluso nos tocaba un bono adicional. Ya la Compañía había hecho el depósito en la cuenta de mamá.
Traduction temporaire :
Au moins jusqu'au mois de janvier, nous n'aurions pas à décider qui irait donner le prochain rein, ou son pancréas, ou un poumon. Nous avions même droit à une bonification supplémentaire. La Compagnie avait déjà fait le virement sur le compte de maman.
Au moins jusqu'au mois de janvier, nous n'aurions pas à décider qui irait donner le prochain rein, ou son pancréas, ou un poumon. Nous avions même droit à une bonification supplémentaire. La Compagnie avait déjà fait le virement sur le compte de maman.
Les Météores – phrases 181-182
Pasaron dos semanas y llegó la notificación de la Compañía. Con la muerte de Braulio la familia había cumplido su cuota anual.
Traduction temporaire :
Deux semaines plus tard, la notification de la Compagnie arriva. Avec la mort de Braulio, la famille s'était acquittée de sa cotisation annuelle.
Deux semaines plus tard, la notification de la Compagnie arriva. Avec la mort de Braulio, la famille s'était acquittée de sa cotisation annuelle.
Les Météores – phrases 179-180
Yo estaba pensando en otra cosa y al fin le pregunté:
—Mamá, ¿qué es un marido?
Traduction temporaire :
Moi, je pensais à autre chose et finalement, je lui demandai :
— Maman, c’est quoi, un mari ?
Moi, je pensais à autre chose et finalement, je lui demandai :
— Maman, c’est quoi, un mari ?
Les Ollantay / 2 – phrases 168-169
— Hay un huevo de gente, nos dice.
— Habrá que botar a algunos, responde Speed.
Traduction temporaire :
— Il y a un de ces putains de monde, nous dit-il.
— Va falloir en virer quelques-uns, répond Speed.
— Il y a un de ces putains de monde, nous dit-il.
— Va falloir en virer quelques-uns, répond Speed.
Les Ollantay / 2 – phrases 163-167
Los flacos se dan un beso con lengua. Astrid se acerca y nos dice PM llamó y dice que viene, ¿ ustedes lo invitaron ? Yo le digo que no. Avanzamos con dificultad hacia la cocina, sacamos un vino blanco de la refrigeradora y la abrimos. En ese momento llega PM.
Traduction temporaire :
Les deux maigrichons s'embrassent avec la langue. Astrid s'approche et nous dit PM a appelé pour dire qu'il vient ; c'est vous qui l'avez invité ? Je lui réponds que non. Nous progressons difficilement vers la cuisine, nous sortons une bouteille de vin blanc du frigo et l'ouvrons. PM arrive pile à ce moment-là.
Les deux maigrichons s'embrassent avec la langue. Astrid s'approche et nous dit PM a appelé pour dire qu'il vient ; c'est vous qui l'avez invité ? Je lui réponds que non. Nous progressons difficilement vers la cuisine, nous sortons une bouteille de vin blanc du frigo et l'ouvrons. PM arrive pile à ce moment-là.
Les Ollantay / 2 – phrases 161-162
En este había entre otras cosas, una cocina con una barra para tomar tragos con taburetes de diseño en aluminio, una refrigeradora Ultraline y una mesa donde estaban las colegialas tratando de poner la música.
Traduction temporaire :
Il était composé, entre autres, d'une cuisine avec un comptoir pour prendre un verre et des tabourets design en aluminium, avec un réfrigérateur Ultraline et une table à laquelle étaient installées les lycéennes en train d'essayer de mettre la musique.
Il était composé, entre autres, d'une cuisine avec un comptoir pour prendre un verre et des tabourets design en aluminium, avec un réfrigérateur Ultraline et une table à laquelle étaient installées les lycéennes en train d'essayer de mettre la musique.
Les Ollantay / 2 – phrases 159-160
Astrid vive en un apartamento grande que da a la plaza de la República, su cuarto es lo suficientemente grande para que entren cómodamente una rocola, un equipo de sonido que ocupaba la mitad de uno de los muros, su colección de vinilos, una cama king size y otros muebles pequeños. La gente estaba repartida entre las tres habitaciones y el salón de estar.
Traduction temporaire :
Astrid vit dans un grand appartement qui donne sur la place de la République. Sa chambre est assez grande pour qu’y logent largement un juke-box, une sono – qui occupait la moitié d’un mur –, sa collection de vinyles, un lit king size et d’autres petits meubles. Il y avait des gens dans les trois chambres et le salon.
Astrid vit dans un grand appartement qui donne sur la place de la République. Sa chambre est assez grande pour qu’y logent largement un juke-box, une sono – qui occupait la moitié d’un mur –, sa collection de vinyles, un lit king size et d’autres petits meubles. Il y avait des gens dans les trois chambres et le salon.
Les Ollantay / 2 – phrases 157-158
Una canción de Kavinsky suena en el estéreo. Un par de chicas que parecen estar aún en el colegio buscaban una versión en 8 bits de Harder, Better, Faster, Stronger; con un sonido deliberadamente sintético y crudo.
Traduction temporaire :
On entend une chanson de Kavinsky sur la chaîne hi-fi. Deux filles, qui sont apparemment encore au lycée, cherchent une version en 8 bits de Harder, Better, Faster, Stronger, avec un son volontairement synthétique et cru.
On entend une chanson de Kavinsky sur la chaîne hi-fi. Deux filles, qui sont apparemment encore au lycée, cherchent une version en 8 bits de Harder, Better, Faster, Stronger, avec un son volontairement synthétique et cru.
Les Ollantay / 2 – phrases 155-156
— Escucha - me dijo Speed – creo que Astrid quiere tirar conmigo, ¿crees que debería tirármela?
— Claro, ¿ por qué no ?
Traduction temporaire :
— Hé – me dit Speed – je crois qu’Astrid a envie de baiser avec moi. Tu penses que je devrais me la faire ?
— Bah ouais, pourquoi pas ?
— Hé – me dit Speed – je crois qu’Astrid a envie de baiser avec moi. Tu penses que je devrais me la faire ?
— Bah ouais, pourquoi pas ?
Les Météores – phrases 175-178
Tener y tener hijos, uno detrás del otro. Para después entregarlos a la cuchilla de los cirujanos. Por lo menos Braulio no se me murió jovencito. Hay que agradecer que pudo vivir hasta los diecisiete.
Traduction temporaire :
Avoir encore et encore des enfants, l’un derrière l’autre. Pour ensuite les livrer au scalpel des chirurgiens. Au moins, mon Braulio n'est pas mort tout jeune. Je dois être reconnaissante qu'il ait pu vivre jusqu’à dix-sept ans.
Avoir encore et encore des enfants, l’un derrière l’autre. Pour ensuite les livrer au scalpel des chirurgiens. Au moins, mon Braulio n'est pas mort tout jeune. Je dois être reconnaissante qu'il ait pu vivre jusqu’à dix-sept ans.
Les Météores – phrases 172-174
—¡Ay, hijo! Ése fue el destino de la Virgen María: entregar a su hijo en sacrificio. Y ése es el destino de nosotras las mamás.
Traduction temporaire :
— Aïe, mon fils ! Tel fut le destin de la Vierge Marie : offrir son fils en sacrifice. Et tel est notre destin à nous, les mères.
— Aïe, mon fils ! Tel fut le destin de la Vierge Marie : offrir son fils en sacrifice. Et tel est notre destin à nous, les mères.
Les Météores – phrase 171
“Y vosotras que tenéis,
padres, hijos y maridos,
ayudadme con mis gemidos,
si es que mejor no podéis.”
Traduction temporaire :
« Et vous, qui avez
des pères, des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
« Et vous, qui avez
des pères, des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
Les Météores – phrase 170
Las llamas se apagaron y quedaron dos hilos de humo gris.
Traduction temporaire :
Les flammes s’éteignirent sur deux minces colonnes de fumée grise.
Les flammes s’éteignirent sur deux minces colonnes de fumée grise.
Les Météores – phrases 168-169
Mamá tomó el cincel y el martillo y de un golpe le tumbó los deditos del otro pie. Después se levantó y sopló sobre cada una de las veladoras.
Traduction temporaire :
Maman saisit le ciseau et le marteau. Elle frappa et cassa les orteils de son autre pied. Puis elle se leva et souffla chacune des bougies.
Maman saisit le ciseau et le marteau. Elle frappa et cassa les orteils de son autre pied. Puis elle se leva et souffla chacune des bougies.
Les Météores – phrases 166-167
Mamá se acercó a la imagen de la virgen. Al niño le faltaban un pie y todo el brazo derecho.
Traduction temporaire :
Maman avança vers la statue de la vierge. Il manquait à l’enfant un pied et tout le bras droit.
Maman avança vers la statue de la vierge. Il manquait à l’enfant un pied et tout le bras droit.
Les Ollantay / 2 – phrases 152-154
Dos chicos flacos y risueños nos saludan. Astrid nos presenta unos amigos, nos dice que son gente tremendamente interesante pero a mí me parecen bastante aburridos. También parecen ser buena gente, pero en este momento me importa un bledo.
Traduction temporaire :
Deux garçons maigres et souriants nous saluent. Astrid nous présente quelques amis en nous disant que ce sont des gens hyper intéressants ; moi, je les trouve plutôt ennuyeux. Ils ont l’air sympa, mais là, je m’en fous royalement.
Deux garçons maigres et souriants nous saluent. Astrid nous présente quelques amis en nous disant que ce sont des gens hyper intéressants ; moi, je les trouve plutôt ennuyeux. Ils ont l’air sympa, mais là, je m’en fous royalement.
Les Big bang – phrase 80
Dos veces estuvo a punto de perder alguna de sus naves y en ambas el azar estuvo de su lado.
Traduction temporaire :
À deux reprises, il manqua de perdre l'un de ses vaisseaux et chaque fois, le hasard fut de son côté.
À deux reprises, il manqua de perdre l'un de ses vaisseaux et chaque fois, le hasard fut de son côté.
Les Pachacamac – phrase 168
Al salir del puesto policial el motocarrista les estaba esperando con una sonrisa de zángano, pero los muchachos lo ignoraron olímpicamente y pasaron por su lado hablando del incidente en su lengua natal.
Traduction temporaire :
À la sortie du poste de police, le chauffeur les attendait avec un sourire narquois. Les garçons choisirent de l’ignorer royalement ; ils passèrent près de lui en commentant l’incident dans leur langue maternelle.
À la sortie du poste de police, le chauffeur les attendait avec un sourire narquois. Les garçons choisirent de l’ignorer royalement ; ils passèrent près de lui en commentant l’incident dans leur langue maternelle.
Les Lituma – phrase 28
Imaginaba que vivían en el mismo vagón de metro, que compartían un único par de guantes durante el invierno, distantes del terruño al que la distancia había enseñado a querer con la misma intensidad con la que el huérfano, solo y lejos de casa, tiene nostalgia de los golpes de una madrastra.
Traduction temporaire :
J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon de métro, qu’ils se partageaient une unique paire de gants en hiver, loin de leur terre natale, et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, ressent de la nostalgie pour les coups qu'il a reçus d’une belle-mère.
J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon de métro, qu’ils se partageaient une unique paire de gants en hiver, loin de leur terre natale, et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, ressent de la nostalgie pour les coups qu'il a reçus d’une belle-mère.
Les Lituma – phrase 27
Siempre los mismos, vestidos igualitos, con la sonrisas cosidas en las bocas y la desesperanza incrustada en los ojos; la carta postal, exótica y barata que los franceses cruzan cada mañana cuando van a sus trabajos.
Traduction temporaire :
Toujours identiques, vêtus exactement de la même manière, le sourire figé sur les lèvres et le désespoir incrusté dans les yeux ; la carte postale, exotique et bon marché que les Français croisent tous les matins en allant à leur travail.
Toujours identiques, vêtus exactement de la même manière, le sourire figé sur les lèvres et le désespoir incrusté dans les yeux ; la carte postale, exotique et bon marché que les Français croisent tous les matins en allant à leur travail.
Les Lituma – phrases 25-26
Yo tenía suficiente experiencia como para imaginar su destino en un país como éste. Recordé a los peruanos, bolivianos y ecuatorianos que, disfrazados de indios, con sus zampoñas y ponchos y charangos, pero también con su tristeza apátrida, ocupan los andenes del metro.
Traduction temporaire :
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristesse apatride –, stagnant sur les quais du métro.
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristesse apatride –, stagnant sur les quais du métro.
Les Lunes – phrases 222-223
La esfera comenzó a engullir la parte inferior del espejo hasta que terminó por cubrirlo como una capa de chocolate. Lo deshizo hasta transformarlo en estado líquido.
Traduction temporaire :
La sphère commença à engloutir la partie inférieure du miroir, jusqu'à le recouvrir, comme une couche de chocolat. Elle le dissout, jusqu'à le transformer en liquide.
La sphère commença à engloutir la partie inférieure du miroir, jusqu'à le recouvrir, comme une couche de chocolat. Elle le dissout, jusqu'à le transformer en liquide.
Les Lunes – phrases 219-221
Una pequeña ola vibró en su superficie, le sucedió un ligero temblor. Enseguida se sacudió.
—¡Lo va a hacer! —gritó Gretel.
Traduction temporaire :
Une petite vague vibra à la superficie, un léger tremblement suivit. Elle tressaillit.
— Elle va le faire ! – cria Gretel.
Une petite vague vibra à la superficie, un léger tremblement suivit. Elle tressaillit.
— Elle va le faire ! – cria Gretel.
Les Lunes – phrases 217-218
Por unos momentos no sucedió nada. La esfera rodó medio cuerpo lentamente, hasta posarse casi de frente a su propia imagen.
Traduction temporaire :
Pendant quelques instants, rien ne se produisit. La sphère fit lentement un demi-tour sur elle-même, jusqu'à venir se placer presque en face de sa propre image.
Pendant quelques instants, rien ne se produisit. La sphère fit lentement un demi-tour sur elle-même, jusqu'à venir se placer presque en face de sa propre image.
Une référence culturelle – par Elena
Qui était Juana Azurduy ?
Valentías Abecia historiador boliviano, señala que "tenía la hermosura amazónica, de un simpático perfil griego, en cuyas facciones brillaba la luz de una mirada dulce y dominadora".
Une chanson :
dimanche 23 septembre 2012
Les Météores – phrase 165
“Decid, hombres que corréis,
por la vía mundanal,
decidme si visto habéis,
igual dolor que mi mal.”
Traduction temporaire :
« Dites-moi, hommes qui courez,
par les chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu,
douleur semblable à mon mal. »
« Dites-moi, hommes qui courez,
par les chemins de ce monde,
dites-moi si vous avez vu,
douleur semblable à mon mal. »
Les Pikimachay – phrases 78-83
Hablaba para él pero en voz alta. Vamos, basura, vamos. Tienes que hablar con ella. Se decía. Tienes que decirle que la amas. Hablaba.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
samedi 22 septembre 2012
Les Lituma – phrases 23-24
Entre otros trabajos, había participado en el asfaltado de la carretera que llegaba al pueblo, también ayudó en el techado de la parroquia y la limpieza de las acequias. Entonces, sabía hacer un poco de todo, a lo mejor eso le ayudaría a la hora de encontrar un empleo, ¿no?
Traduction temporaire :
Entre autres choses, il avait participé à l’asphaltage de la route qui menait à son village et il avait aussi apporté son aide à la construction de la toiture de la paroisse et au nettoyage des canaux d’irrigation. De sorte qu'il touchait un peu à tout ; cela pourrait sûrement lui être utile lorsqu'il chercherait un emploi.
Entre autres choses, il avait participé à l’asphaltage de la route qui menait à son village et il avait aussi apporté son aide à la construction de la toiture de la paroisse et au nettoyage des canaux d’irrigation. De sorte qu'il touchait un peu à tout ; cela pourrait sûrement lui être utile lorsqu'il chercherait un emploi.
Les Lituma – phrase 22
También me contó que había sido agricultor y que después había trabajado para la municipalidad de su caserío.
Traduction temporaire :
Il me raconta aussi qu’il avait été agriculteur et qu’après, il avait travaillé pour la municipalité de son village.
Il me raconta aussi qu’il avait été agriculteur et qu’après, il avait travaillé pour la municipalité de son village.
Les Lituma – phrase 21
Me dijo, le entendí, que era de Cajamarca no recuerdo el nombre del pueblito, uno de esos tantos que extravían sus nombres en la Cordillera de los Andes pero también en la memoria.
Traduction temporaire :
Il me dit, à ce que je compris, qu’il était originaire de la province de Cajamarca, je ne me souviens plus du nom du village ; un bled parmi tant d’autres dont les noms se perdent dans la Cordillère des Andes autant que dans les mémoires.
Il me dit, à ce que je compris, qu’il était originaire de la province de Cajamarca, je ne me souviens plus du nom du village ; un bled parmi tant d’autres dont les noms se perdent dans la Cordillère des Andes autant que dans les mémoires.
Les Météores – phrase 164
Adentro había un martillito y un cincel, ambos de plata y decorados con grabados.
Traduction temporaire :
À l’intérieur, il y avait un petit marteau et un ciseau, tous deux en argent et gravés.
À l’intérieur, il y avait un petit marteau et un ciseau, tous deux en argent et gravés.
Les Météores – phrases 160-163
—No, tranquila. Yo acá tengo uno —le respondió mi mamá—. Mis hijos me lo regalaron la Navidad pasada. —Abrió un cajón pequeñito en la mesa del altar y sacó de él una caja forrada en terciopelo negro.
Traduction temporaire :
— Non, ne vous inquiétez pas. J'en ai même un ici — lui répondit maman. Mes enfants me l'ont offert au Noël dernier. Elle ouvrit un petit tiroir de la table de l'autel et en sortit une boîte recouverte de velours noir.
— Non, ne vous inquiétez pas. J'en ai même un ici — lui répondit maman. Mes enfants me l'ont offert au Noël dernier. Elle ouvrit un petit tiroir de la table de l'autel et en sortit une boîte recouverte de velours noir.
Les Météores – phrases 158-159
Una de las señoras, la vecina del piso de arriba, se nos acercó y le dijo algo a mi mamá al oído. Yo no alcancé a entenderle.
Traduction temporaire :
L'une des dames, la voisine de l'étage du dessus, s'approcha de nous et glissa quelque chose à l'oreille de maman. Je ne parvins pas à comprendre.
L'une des dames, la voisine de l'étage du dessus, s'approcha de nous et glissa quelque chose à l'oreille de maman. Je ne parvins pas à comprendre.
Projet Sonita / Cristina – phrases 57-59
Los estantes gritaban títulos y recetas. Yamada Amy, Yoshimoto Banana, deletreaban sueños y finales. El agua silenció. La paz del ofuro me invitaba, a dormir, en el oscuro hueco entre sus labios, a detener, entre mis dedos sus navajas.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Les Lunes – phrases 215-216
Gretel expulsó un compartimiento de su muslo y sacó un espejo del tamaño de su mano. Lo acercó a sólo unos cuantos centímetros de la esfera.
Traduction temporaire :
Gretel ouvrit un compartiment de sa cuisse et en sortit un miroir de la taille de sa main. Elle l’approcha à seulement quelques centimètres de la sphère.
Gretel ouvrit un compartiment de sa cuisse et en sortit un miroir de la taille de sa main. Elle l’approcha à seulement quelques centimètres de la sphère.
Les Lunes – phrases 210-214
—No veo de qué forma hacerlo —observé.
—¿Qué tal un espejo? —intervino Gretel—. Podemos hacerles saber con una simple imagen que son ellos mismos el objeto al cual queremos reproducir.
—No está mal —consideró Silbernagi.
Traduction temporaire :
— Je ne vois pas comment – fis-je observer.
— Et si on essayait avec un miroir ? – intervint Gretel. Nous pouvons leur faire savoir à l'aide d'une simple image qu’ils sont eux-mêmes l’objet que nous voulons reproduire.
— Pas mal – estima Silbernagi.
— Je ne vois pas comment – fis-je observer.
— Et si on essayait avec un miroir ? – intervint Gretel. Nous pouvons leur faire savoir à l'aide d'une simple image qu’ils sont eux-mêmes l’objet que nous voulons reproduire.
— Pas mal – estima Silbernagi.
Les Lunes – phrases 208-209
Me interesa obtener un colectivo de replicantes para crear infinidad de objetos. Uno solo no abarcará el mercado de Silbercom y todas sus aplicaciones.
Traduction temporaire :
Ce qui m'intéresse, c'est de rassembler toute une série de répliquants afin de créer une infinité d'objets. Un seul ne couvrira pas le marché de Silbercom dans sa totalité.
Ce qui m'intéresse, c'est de rassembler toute une série de répliquants afin de créer une infinité d'objets. Un seul ne couvrira pas le marché de Silbercom dans sa totalité.
Les Lunes – phrases 206-207
—Tiene razón pero… ¿cree que pueda obtener otro a partir del prototipo? Hacer que se reproduzcan por sí solos.
Traduction temporaire :
— Certes, sauf que… croyez-vous possible d'en obtenir un autre à partir du prototype ? Faire qu'ils se reproduisent par eux-mêmes.
— Certes, sauf que… croyez-vous possible d'en obtenir un autre à partir du prototype ? Faire qu'ils se reproduisent par eux-mêmes.
Projet Joachim / Nedda – phrase 24
Pero entonces hubo un tercer indicio, el más aterrador.
Traduction temporaire :
Mais c'est alors que j'ai reçu un troisième indice, le plus terrifiant.
Mais c'est alors que j'ai reçu un troisième indice, le plus terrifiant.
vendredi 21 septembre 2012
Projet Sonita / Crisitina – phrases 53-56
Oí el agua correr. Seguramente haría escala en su ombligo triangular. No me sorprendió saludar a Murakami Ryu, forrado en pasta dura, diccionarios químicos, poesía de Kyoto y revistas con órganos y kanjis que, nadie se aprende.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Les Lituma – phrase 20
Con todo, mi curiosidad y las horas del vuelo me permitieron acercármele poco a poco, rodear sus recelos, penetrar en sus escrúpulos, ganarme finalmente su confianza.
Traduction temporaire :
Néanmoins, ma curiosité et les heures de vol me permirent de petit à petit m'approcher de lui, de contourner ses réticences, de pénétrer ses scrupules et finalement de gagner sa confiance.
Néanmoins, ma curiosité et les heures de vol me permirent de petit à petit m'approcher de lui, de contourner ses réticences, de pénétrer ses scrupules et finalement de gagner sa confiance.
Les Lituma – phrase 19
A diferencia de sus ojos, bastante expresivos, sus labios apenas se movían y cuando lo hacían era para soltar algún monosílabo, balbucear silenciosamente un par de frases y nada más.
Traduction temporaire :
Contrairement à ses yeux, très expressifs, ses lèvres bougeaient à peine et quand elles étaient en mouvement, c’était uniquement pour lâcher un monosyllabe, balbutier silencieusement deux phrases, point final.
Contrairement à ses yeux, très expressifs, ses lèvres bougeaient à peine et quand elles étaient en mouvement, c’était uniquement pour lâcher un monosyllabe, balbutier silencieusement deux phrases, point final.
Les Lituma – phrase 18
Conversamos algo durante el vuelo aunque, para ser sinceros, fue muy poco.
Traduction temporaire :
On discuta un peu pendant le vol, même si pour être honnêtes, nos échanges furent très limités.
On discuta un peu pendant le vol, même si pour être honnêtes, nos échanges furent très limités.
Les Météores – phrases 154-157
“Díjome que era bendita,
entre todas las nacidas,
y soy de las doloridas,
la más triste y afligida.”
Traduction temporaire :
« Il m'a dit que j'étais bénie,
parmi toutes celles qui sont nées,
et je suis parmi celles qui souffrent,
la plus triste et affligée. »
« Il m'a dit que j'étais bénie,
parmi toutes celles qui sont nées,
et je suis parmi celles qui souffrent,
la plus triste et affligée. »
Les Météores – phrases 150-153
—La intervención se complicó —me dijo en voz baja, casi susurrando—. Le dio un trombo. Se le fue al cerebro y ya no despertó. —Mamá tenía los ojos rojos y la cara congestionada.
Traduction temporaire :
— Il y a eu des complications pendant l'intervention – me dit-elle à voix basse, presque dans un murmure. Un thrombus s'est formé. C'est monté au cerveau et il ne s'est plus réveillé. Maman avait les yeux rouges et le visage congestionné.
— Il y a eu des complications pendant l'intervention – me dit-elle à voix basse, presque dans un murmure. Un thrombus s'est formé. C'est monté au cerveau et il ne s'est plus réveillé. Maman avait les yeux rouges et le visage congestionné.
Les Météores – phrases 143-146
“A mí me dijo Gabriel,
que el Señor era conmigo,
y me dejó sin abrigo,
más amarga que la hiel.”
Traduction temporaire :
Gabriel m'a dit
que le Seigneur était avec moi,
et il m'a laissé sans protection,
plus amère que le fiel. »
Gabriel m'a dit
que le Seigneur était avec moi,
et il m'a laissé sans protection,
plus amère que le fiel. »
Les Lituma – phrase 17
Una vez más pensé que era la última vez que había regresado al Perú, ese país que de lejos me daba nostalgia pero que una vez en él me enterraba de mierda, sin treguas ni concesiones.
Traduction temporaire :
Une fois encore, je pensai que c’était là la dernière fois que j'étais retourné au Pérou, ce pays qui, de loin, me faisait éprouver de la nostalgie mais qui, de près, m’ensevelissait sous la merde, sans trêves ni concessions.
Une fois encore, je pensai que c’était là la dernière fois que j'étais retourné au Pérou, ce pays qui, de loin, me faisait éprouver de la nostalgie mais qui, de près, m’ensevelissait sous la merde, sans trêves ni concessions.
Les Lunes – phrases 204-205
Nosotros le ofrecemos un producto que puede cambiarle la vida. No necesita pensarlo.
Traduction temporaire :
Nous vous offrons un produit qui peut vous changer la vie. Vous n'avez pas besoin d'y réfléchir.
Nous vous offrons un produit qui peut vous changer la vie. Vous n'avez pas besoin d'y réfléchir.
Les Lunes – phrase 202-203
Esto no es lo que queríamos. Usted puede hacer con él lo que quiera: uso doméstico, uso comercial, yo qué sé.
Traduction temporaire :
Ça n'est pas cela que nous voulions. Vous, par la suite, vous pourrez en faire ce que vous voudrez : un usage domestique, un usage commercial, que sais-je.
Ça n'est pas cela que nous voulions. Vous, par la suite, vous pourrez en faire ce que vous voudrez : un usage domestique, un usage commercial, que sais-je.
Les Lunes – phrases 200-201
Gretel cambió de postura e hizo vibrar su exoesqueleto.
—¡Oiga! No crea que somos idiotas.
Traduction temporaire :
Gretel changea de position et fit vibrer son exosquelette.
— Minute ! Vous nous prenez pour des idiots, ou quoi ?
Gretel changea de position et fit vibrer son exosquelette.
— Minute ! Vous nous prenez pour des idiots, ou quoi ?
Les Lunes – phrases 197-199
Creo que puede tener múltiples aplicaciones en mis negocios. Pero por ahora deben darme tiempo para someterlo a la Junta Directiva. Es el proceso normal.
Traduction temporaire :
Je crois qu'elle peut avoir de multiples applications dans mes propres affaires. Pour l'instant, cependant, j'ai besoin de temps pour le soumettre au Conseil d'Administration. C'est la procédure réglementaire.
Je crois qu'elle peut avoir de multiples applications dans mes propres affaires. Pour l'instant, cependant, j'ai besoin de temps pour le soumettre au Conseil d'Administration. C'est la procédure réglementaire.
Projet Perrine / Ricardo – phrase 8
Si bien sus visitas eran esporádicas, éstas tenían un efecto aún más inquietante.
Traduction temporaire :
Même si ses visites étaient sporadiques, leur effet était encore plus inquiétant.
Même si ses visites étaient sporadiques, leur effet était encore plus inquiétant.
Les Pachacamac – phrases 166-167
El policía gordo miró a sus cómplices con ganas de matarlos y con una mirada les ordenó salir. Tenía que hacer de todas maneras un parte y por unos indígenas no se iba a “manchar”.
Traduction temporaire :
Le gros policier lança un regard assassin à ses complices et leur ordonna de sortir d'un signe de tête. De toute façon, il devait rédiger un rapport, et il n'allait pas se "salir" pour des indigènes.
Le gros policier lança un regard assassin à ses complices et leur ordonna de sortir d'un signe de tête. De toute façon, il devait rédiger un rapport, et il n'allait pas se "salir" pour des indigènes.
Les Big bang – phrases 78-79
El reto surtió efecto y el orden volvió a las filas de la COD. Pero el único artillero de la AFAX se animó a más y comenzó a inquietar a Irinio.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Les Lituma – phrase 16
Cuando las luces de Lima se apagaron en lo hondo del cielo, la gente retomó las conversaciones, las aeromozas se desengancharon para circular por los pasillos, me dije que ya estaba, regresaba a casa dejando a mi país detrás.
Traduction temporaire :
Lorsque les lumières de Lima s'éteignirent dans les profondeurs du ciel, les gens reprirent leurs conversations, les hôtesses de l’air débouclèrent leurs ceintures de sécurité afin de circuler dans les couloirs. Je me dis que c'était fini, je rentrais à la maison en laissant mon pays derrière moi.
Lorsque les lumières de Lima s'éteignirent dans les profondeurs du ciel, les gens reprirent leurs conversations, les hôtesses de l’air débouclèrent leurs ceintures de sécurité afin de circuler dans les couloirs. Je me dis que c'était fini, je rentrais à la maison en laissant mon pays derrière moi.
Les Lituma – phrase 15
En sus ojos, quiero decir en su mirada, creí reconocer algo parecido al agradecimiento que sus labios se negaron a darme.
Traduction temporaire :
Dans ses yeux, je veux dire dans son regard, je crus reconnaître quelque chose d'approchant à ce remerciement que ses lèvres refusèrent de prononcer.
Dans ses yeux, je veux dire dans son regard, je crus reconnaître quelque chose d'approchant à ce remerciement que ses lèvres refusèrent de prononcer.
Les Lituma – phrase 14
Cuando la situación era insostenible – la tripulación anunciaba el inminente despegue – le sonreí y ayudé a ponerse el cinturón de seguridad; eso sí, como quien pide un favor en lugar de darlo, con esa discreción que se debe tener hacia un superior descubierto en falta.
Traduction temporaire :
Quand la situation devint intenable – l’équipage annonçait le départ imminent – je lui souris et l'aidai à boucler sa ceinture de sécurité ; là oui, comme quelqu’un qui demande une faveur au lieu d'en accorder une, avec cette discrétion que l’on doit manifester envers un supérieur pris en faute.
Quand la situation devint intenable – l’équipage annonçait le départ imminent – je lui souris et l'aidai à boucler sa ceinture de sécurité ; là oui, comme quelqu’un qui demande une faveur au lieu d'en accorder une, avec cette discrétion que l’on doit manifester envers un supérieur pris en faute.
Les Lituma – phrase 13
Me di cuenta de que no era del tipo de individuo que preguntaría o pediría ayuda por eso lo dejé hacer y fingí seguir leyendo mi libro.
Traduction temporaire :
Je me rendis compte que ce n’était pas le genre d'individu à demander de l’aide ; c’est pour cette raison que je le laissai faire et feignis de continuer à lire.
Je me rendis compte que ce n’était pas le genre d'individu à demander de l’aide ; c’est pour cette raison que je le laissai faire et feignis de continuer à lire.
Les Lunes – phrases 195-196
—Lo felicito por su invento, jovencito. Es obvio que usted domina este campo y, sobre todo, que es un habitante de la Tierra, y eso, permítame decirlo, no se ve todos los días.
Traduction temporaire :
— Mon jeune ami, je vous félicite pour votre invention. Il paraît évident que vous maîtrisez la question et, surtout, que vous êtes un habitant de la Terre ; ce qui, permettez-moi de le dire, n’est pas courant.
— Mon jeune ami, je vous félicite pour votre invention. Il paraît évident que vous maîtrisez la question et, surtout, que vous êtes un habitant de la Terre ; ce qui, permettez-moi de le dire, n’est pas courant.
Les Lunes – phrases 192-194
—Eso le costará más —cortó Gretel—. ¿Tenemos un trato o qué?
Silbernagi la observó, ligeramente molesto. Se volvió hacia mí y dijo:
Traduction temporaire :
— Ça, ça vous coûtera plus cher – coupa Gretel. Nous avons un accord oui ou non ?
Silbernagi l’observa, quelque peu agacé. Il se tourna vers moi et reprit :
Les Lunes – phrases 190-191
—Oiga, usted sí que es una caja de sorpresas. ¿Qué más tiene en su cabeza?
Traduction temporaire :
— Eh bien, vous êtes une sacrée boîte à surprises. Qu'est-ce qu'il y a d'autre dans votre tête ?
— Eh bien, vous êtes une sacrée boîte à surprises. Qu'est-ce qu'il y a d'autre dans votre tête ?
Les Lunes – phrases 188-189
Ahora se había convertido en una réplica fiel del bolígrafo original. Silbernagi tomó los dos, sin saber cuál de ellos era el suyo.
Traduction temporaire :
À présent, elle s'était transformée en une réplique fidèle du stylo original. Silbernagi prit les deux, incapable de savoir lequel était le sien.
À présent, elle s'était transformée en une réplique fidèle du stylo original. Silbernagi prit les deux, incapable de savoir lequel était le sien.
jeudi 20 septembre 2012
Les Lunes – phrases 186-187
La esfera dejó ver una pequeña protuberancia. Ésta comenzó a extenderse y a sobresalir del contorno.
Traduction temporaire :
La sphère laissa entrevoir une petite protubérance qui commença à se dilater et à déborder du contour.
La sphère laissa entrevoir une petite protubérance qui commença à se dilater et à déborder du contour.
Les Lunes – phrase 185
—En este momento mis replicantes están reconociendo la estructura plástica del bolígrafo, incluida la composición química de la tinta, para crear moléculas gemelas.
Traduction temporaire :
— En ce moment, mes répliquants sont en train d'identifier la structure plastique du stylo, la composition chimique de l'encre comprise, pour créer des molécules jumelles.
— En ce moment, mes répliquants sont en train d'identifier la structure plastique du stylo, la composition chimique de l'encre comprise, pour créer des molécules jumelles.
Les Lunes – phrases 182-184
—Permítame su bolígrafo, licenciado Silbernagi. Lo coloqué en la superficie de la mesa. Súbitamente, el bolígrafo fue engullido por la superficie de metal.
Traduction temporaire :
— Vous permettez que je vous emprunte votre stylo, Monsieur Silbernagi ?
Je le déposai sur le bureau. Le stylo fut englouti brutalement par la surface métallique.
— Vous permettez que je vous emprunte votre stylo, Monsieur Silbernagi ?
Je le déposai sur le bureau. Le stylo fut englouti brutalement par la surface métallique.
Les Lituma – phrase 12
Se trataba de una mirada serena y decidida, de quien mira seguro del salto que da, aunque en ello se le vaya todo sin segundas oportunidades.
Traduction temporaire :
; un regard serein et déterminé, de quelqu’un qui se lance en étant certain du saut qu'il s'apprête à faire, même s'il risque de tout perdre, sans une seconde chance.
; un regard serein et déterminé, de quelqu’un qui se lance en étant certain du saut qu'il s'apprête à faire, même s'il risque de tout perdre, sans une seconde chance.
Les Lituma – phrase 11
Pese a la inseguridad y la timidez de sus ojos, había en su mirada algo como un orgullo que lo enaltecía.
Traduction temporaire :
Malgré le manque d'assurance et la timidité dans ses yeux, son regard abritait quelque chose comme de la fierté qui le rendait digne.
Malgré le manque d'assurance et la timidité dans ses yeux, son regard abritait quelque chose comme de la fierté qui le rendait digne.
Les Lituma – phrase 10
“Una divinidad del desarraigo maltratada por la intemperie”, me dije en ese momento, ya sin discreción alguna para mirarlo.
Traduction temporaire :
« Une divinité du déracinement maltraitée par les intempéries », me suis-je dit à ce moment-là, le regardant maintenant sans plus aucune gêne.
« Une divinité du déracinement maltraitée par les intempéries », me suis-je dit à ce moment-là, le regardant maintenant sans plus aucune gêne.
Projet Sonita / Cristina – phrases 50-52
Ella quiso tomar un baño. Mi piel siguió acariciando el futon en tibiedad. Como todo intruso en casa nueva, revisé cada cuadro, en la pared, cada revista, cada adorno de cerámica… Hasta toparme con el librero.
Traduction temporaire :
Elle voulut prendre un bain. Ma peau continua de caresser le futon chaud.
Comme n’importe quel intrus dans une nouvelle maison, je passai en revue chaque tableau accroché au mur, chaque magazine, chaque décoration en céramique… Jusqu’à ce que je me retrouve devant sa bibliothèque.
Elle voulut prendre un bain. Ma peau continua de caresser le futon chaud.
Comme n’importe quel intrus dans une nouvelle maison, je passai en revue chaque tableau accroché au mur, chaque magazine, chaque décoration en céramique… Jusqu’à ce que je me retrouve devant sa bibliothèque.
Les Météores – phrases 141-142
Iban a hacerse la extracción de médula ósea. Era una cosa de rutina, todos los años había que hacerlo al menos una vez, los hombres desde los doce años y las mujeres desde los catorce.
Traduction temporaire :
Ils y allaient pour un prélèvement de moelle osseuse. Pour les hommes à partir de douze ans et pour les femmes à partir de quatorze ans, c'était une routine à laquelle il fallait se soumettre au moins une fois tous les ans.
Ils y allaient pour un prélèvement de moelle osseuse. Pour les hommes à partir de douze ans et pour les femmes à partir de quatorze ans, c'était une routine à laquelle il fallait se soumettre au moins une fois tous les ans.
Les Météores – phrase 140
Mi hermano Braulio había salido esa mañana con otros dos de mis hermanos mayores para el puesto de salud.
Traduction temporaire :
Mon frère Braulio était parti ce matin-là, avec deux autres de mes aînés, pour le centre médical.
Mon frère Braulio était parti ce matin-là, avec deux autres de mes aînés, pour le centre médical.
Les Météores – phrases 138-139
Era la novena de la virgen.
Mamá alcanzó a verme y me dio la noticia.
Traduction temporaire :
Il s'agissait de la neuvaine à la Vierge. Maman réussit à m'apercevoir et m'annonça la nouvelle.
Il s'agissait de la neuvaine à la Vierge. Maman réussit à m'apercevoir et m'annonça la nouvelle.
Projet Joachim / Nedda – phrase 23
De hecho, sé que muchos me envidian.
Traduction temporaire :
D'ailleurs, je sais que beaucoup de gens m'envient.
D'ailleurs, je sais que beaucoup de gens m'envient.
Les Lunes – phrases 180-181
Sus bordes metálicos eran tan perfectos que la luz de la estancia corría libremente sobre su circunferencia. Las yemas de mis dedos la tantearon en busca del punto exacto.
Traduction temporaire :
Ses rebords métalliques étaient si parfaits que la lumière courait librement sur sa circonférence. Le bout de mes doigts l'explora à la recherche du point précis.
Ses rebords métalliques étaient si parfaits que la lumière courait librement sur sa circonférence. Le bout de mes doigts l'explora à la recherche du point précis.
Les Lunes – phrase 179
No era más grande que una lata de cerveza y su peso era tan ligero como el de una pelota de tenis.
Traduction temporaire :
Elle n'était guère plus grande qu'une canette de bière et son poids était équivalent à celui d'une balle de tennis.
Elle n'était guère plus grande qu'une canette de bière et son poids était équivalent à celui d'une balle de tennis.
Les Lunes – phrases 177-178
—Aquí… está… —mascullé, con poco aliento.
La tomé con manos temblorosas.
Traduction temporaire :
— La… voici… – marmonnai-je, hors d'haleine. Je la pris dans mes mains tremblantes.
— La… voici… – marmonnai-je, hors d'haleine. Je la pris dans mes mains tremblantes.
Les Lituma – phrase 9
La sensación de extrañeza y confusión que me transmitía era cimentada por su rostro, uno de esos rostros gastados e insomnes, que me hizo pensar no sé por qué en un ídolo de barro o piedra.
Traduction temporaire :
Le sentiment d'étrangeté et de désarroi qu’il m'inspirait venait de son visage, un de ces visages usés et insomniaques, qui a évoqué en moi, je ne sais pas pourquoi, une idole de terre ou de pierre.
Le sentiment d'étrangeté et de désarroi qu’il m'inspirait venait de son visage, un de ces visages usés et insomniaques, qui a évoqué en moi, je ne sais pas pourquoi, une idole de terre ou de pierre.
Les Lituma – phrase 8
Bastaba ver la piel de su rostro, seca y curtida, muy distinta a la que tenemos nosotros los limeños, para imaginar de dónde venía y, con algo de suspicacia, entender su falta de medios a la hora de instalarse.
Traduction temporaire :
Il suffisait de regarder la peau de son visage, sèche et tannée, très différente de celle que nous avons nous, les Liméniens, pour deviner d’où il était et, avec un peu de perspicacité, comprendre sa maladresse au moment de s'installer.
Il suffisait de regarder la peau de son visage, sèche et tannée, très différente de celle que nous avons nous, les Liméniens, pour deviner d’où il était et, avec un peu de perspicacité, comprendre sa maladresse au moment de s'installer.
Les Lituma – phrase 7
De inmediato entendí la razón de ese rascarse la cabeza, ese mirar a todas partes, ese estarse sin decir una sola palabra pero dándolo todo a entender.
Traduction temporaire :
Je compris tout de suite pourquoi il se grattait la tête, regardait partout, gardait un silence qui en disait long.
Je compris tout de suite pourquoi il se grattait la tête, regardait partout, gardait un silence qui en disait long.
Les Pikimachay – phrases 75-77
Ahí dormía ella, tras una de esas ventanas dormía. En sus oídos escuchaba rumores que zumbaban. Y estuvo a punto de irse cuando de pronto le faltó el valor, pero no se fue.
Traduction temporaire :
C'est là qu'elle dormait ; elle dormait derrière l'une de ces fenêtres. Ses oreilles entendaient des rumeurs qui bourdonnaient. Lorsque, soudain, le courage lui fit défaut, il fut sur le point de partir, se ravisa finalement.
C'est là qu'elle dormait ; elle dormait derrière l'une de ces fenêtres. Ses oreilles entendaient des rumeurs qui bourdonnaient. Lorsque, soudain, le courage lui fit défaut, il fut sur le point de partir, se ravisa finalement.
Entretien avec Mauricio del Castillo
Mauricio del Castillo |
Mauricio del Castillo est, vous vous en souvenez, l'auteur mexicain de la nouvelle « Negocio de réplicas », travaillée par l'équipe des Lunes, Hélène, Elena et Manon dans le cadre de notre projet SF / C2C.
Merci à lui et à Elena.
1) Elena Geneau. ¿Desde cuándo escribe?
Mauricio del Castillo. Hace
trece años quise escribir ciencia ficción, pero hay una gran
diferencia entre sentarse a escribir y pensar en escribir. Mi primer
intento fue hace diez u once años, cuando vi el anuncio de un taller
de creación literaria. Me inscribí a ese taller, totalmente
convencido de que podía hacerlo. Las críticas fueron variadas: a
algunos les agradaba lo que publicaba y otros simplemente no opinaban
lo mismo. Dejé de escribir por dos años debido a un tonto intento
por ascender en mi carrera como periodista, pero me di cuenta de que
no era lo mío: el periodismo se trata de convencer a la gente con la
verdad, de crear relaciones con otras personas a base de apretones de
mano y sonrisas, ser un hombre de acción y tener una idea bastante
objetiva de las cosas. Yo nunca he sido muy bueno en eso, tanto es
así que mi destino me colocó en trabajos que nada tenían que ver
con mi carrera. Después supe de un taller de literatura fantástica.
Aprendí mucho en cuestiones de hábitos de escritores: las
libertades que se pueden dar, los sacrificios, así como algunas
anécdotas que me convencieron de intentarlo de nuevo. Renuncié a mi
trabajo en una aseguradora por considerar que me quitaba tiempo
valioso para la escritura y conseguí otro en el que me pagaban poco,
pero podía disponer de las tardes libres para escribir. De modo que
puedo decir (oficialmente) que tengo cuatro años escribiendo.
2) E.G. ¿Desde cuándo publica?
M.C. Tiene
apenas tres años. Yo había publicado un pequeño cuento en un
pequeño folleto con anterioridad, pero su distribución fue muy
pobre en México. Ahora lo leo y no puedo negar lo infantil que es,
así como su mala prosa. Supe de la existencia de una importante
página española en la red llamada NGC 3660 la cual publicaba
cuentos de terror, fantasía y CF en castellano. El que ganara
importantes premios me hizo pensar que eran serios y sobre todo
rigurosos con el material que publicaban. Me armé de valor para
enviar nuevamente ese mismo relato titulado “Memoria doméstica”,
pero esta vez con algunos cambios importantes. Lo aceptaron de
inmediato. Fue un día inolvidable cuando lo supe y lo vi publicado.
3) E.G. ¿Siempre ha escrito Ciencia Ficción?
M.C. No
siempre. Cuando volví a intentar escribir después de dos años,
sabía que la mejor forma de mejorar era escribir todo tipo de
historias y géneros literarios. Un taller de escritura te da cierta
libertad para ir a dónde quieras, del modo que sea, en la
circunstancia que sea. Recuerdo que escribí una historia sobre un
judío que era invidente y se trasladaba por toda la ciudad gracias a
la ayuda de un perro lazarillo. Pero lo que el anciano ignoraba era
que el perro se estaba volviendo viejo y enfermo; esto acarreaba
problemas tanto a él como al pobre perro. Había escrito también la
historia de un autobús y sus ocupantes, minutos antes de un choque
en la carretera, así como otra historia en la que unos inquilinos
planean deshacerse del nuevo vecino... No escribía ciencia ficción
porque debía aprender primero a escribir historias, las que fueran.
No eran las mejores, pero si me ayudaron en mi formación.
De
vez en cuando me topo con una idea interesante para desarrollar en un
cuento y al hacerlo me doy cuenta de que no es CF. Los considero más
bien como relatos fantásticos. En ellos ocurre un elemento
sobrenatural o fantástico que altera el comportamiento de las
personas de una forma tan racional como en un relato serio. El
ambiente, la caracterización y el desarrollo de la historia son
elementos que trato muy seriamente de realizar con toda la lógica
posible.
4) E.G. ¿Por qué eligió este género?
M.C. La
literatura, en parte, trata sobre transportar a la gente a lugares y
situaciones que muy difícilmente vive en la vida real. Mi más
grande lamento ha sido que nunca me he divertido. Yo intentaba buscar
eso en una época que puedo describir como aburrida y un tanto
desmoralizante. Encontré la ciencia ficción (entiéndase, ciencia
ficción escrita) en la modesta biblioteca de mi padre. Eran tres
volúmenes de colección, forrados en una bella pasta roja y sin
dibujos en ella. La ciencia ficción está fuertemente vinculada a
las imágenes y a cierta coloración para hacerla atractiva, pero muy
barata. Lo que más me sorprendió fue su contenido en el que no se
revelaban las cosas típicas que ocurrían en las películas. (Eso es
un gran mito que el resto de las personas no se pueden sacar de la
cabeza). De modo que quedé fascinado con la idea del futuro y de sus
avances debido a lo novedoso; una verdadera manera de ver adelante,
de explorar las distintas posibilidades e imaginar qué podía pasar
en ellas. La ciencia ficción buena permite jugar con las ideas hasta
ser desarrolladas hasta sus últimas consecuencias, y para darnos
cuenta de lo fascinante que puede ser “lo otro”, “lo distinto”
y no por eso carecer de lógica. Esa visión fue lo que me llamó la
atención desde un principio.
5) E.G. ¿Qué otros textos ha publicado?
M.C. Publiqué
otros cuentos para NGC 3660, así como otras páginas
hispanohablantes e importantes como BEM on Line, el Sitio de Ciencia
Ficción, Revista Axxón, Alfa Eridiani, Revista NM, entre muchas
otras… Publiqué un cuento de misterio para una revista argentina
que no tenía nada que ver con la ciencia ficción. El cuento se
llamaba “La dama que no optó al doble”, y para mi sorpresa fue
aceptado.
También
he publicado en papel dos cuentos en dos antologías de cuentos aquí
en México, pero a diferencia de la revista argentina, me decanté en
enviar dos cuentos de CF con el riesgo de que los rechazaran por no
tratarse de un “género serio”. Siempre he sido un gran admirador
de Juan Rulfo, el gran cuentista mexicano por excelencia. Escribí un
cuento basado en el ambiente rural, semidesértico y violento que
caracteriza la obra de este escritor, pero bajo una perspectiva
futurista. Creo que esto fue una gran combinación que agradó a los
editores.
Actualmente
estoy trabajando en la publicación de mi primer libro: “La
variable multimillonaria y otros relatos”, una colección de
cuentos; muchos de ellos aún no han visto la luz. Nunca pensé que
fuera a suceder tan pronto, pero me alegro que haya pasado en el
momento menos esperado. A finales de este año saldrá a la venta
aquí en México por parte de la editorial Endora. Espero que sea el
primero de muchos.
6) E.G. ¿Es un gran lector de ciencia ficción?
M.C. No
tengo idea si soy un gran lector de ciencia ficción, pero debo
reconocer que soy uno con una idiosincrasia particular. Tengo una
predilección por los escritores de culto y no tanto por los de moda.
No me agradan mucho aquellas sagas de cinco tomos en las que si lees
el tercer volumen, quiere decir que te perdiste del primero y del
segundo y que no entenderás nada de lo que ocurre más adelante. Las
sagas explotan mundos y personajes, ambientes y aventuras, pero es
muy difícil que se sostengan a base de ideas. Yo soy un lector en
busca de ideas y posibilidades distintas que logren crear una
concepción distinta de la realidad. Para mí no existen las
historias de distopía o ucronía; ciencia ficción “soft” y
“hard”; opera espacial y cyberpunk, etc... Yo no las distingo
así. Para mí sólo existen dos clases de ciencia ficción: la buena
ciencia ficción y la mala ciencia ficción. He procurado toparme con
la primera clase.
7) E.G. ¿Cuáles son
sus autores preferidos? ¿Por qué?
M.C. Creo
que la obra de Isaac Asimov, la cual leí a una edad temprana, fue la
primera que me causó una gran impresión. Con ese extraño apellido
podía identificarlo claramente. Asimov estructuraba a la perfección
sus historias, su ciencia era descrita en los momentos precisos sin
aturdir la narración y casi siempre llegaba hasta sus últimas
consecuencias en cada planteamiento. Su visión del futuro puede ser
muy básica y algo arcaica hoy en día, pero no para alguien que
recién descubre este género. Philip K. Dick fue otro que me gustó
mucho. Clifford D. Simak, Robert A. Heinlein, Arthur C. Clarke, Ray
Bradbury... Alfred Bester era muy explosivo. A Theodore Sturgeon lo
leí a temprana edad con su obra “Más que humano”, pero recuerdo
que no me gustó mucho; mi opinión fue que era muy sofisticado y
algo obsesionado con el ritmo de sus palabras. Sus historias me
parecieron muy ambiguas y nunca describía con detalle las máquinas
o el futuro en el cual situaba a sus personajes. Con el paso del
tiempo, gracias a otras enriquecedoras lecturas, me di cuenta de que
Sturgeon era un artista en el amplio sentido de la palabra. Sus
historias eran descritas a través de una estética humanista y
crítica, pero a la vez lleno de planteamientos innovadores en su
tiempo. H. G. Wells es otro de mis favoritos; en los últimos años
he tratado de conseguir sus novelas reales, las cuales dan muestra de
las ideologías adoptadas por él.
Fuera
de la ciencia ficción, mis escritores favoritos son el mismo Rulfo,
Francisco Rojas González, Martín Luis Guzmán, Alfonso Reyes, Jorge
Ibargüengoitia, Fernando Benítez, Juan José Arreola, Ignacio
Manuel Altamirano, Francisco Tario, Rosario Castellanos (todos ellos
mexicanos). Jorge Luis Borges, Alejo Carpentier, Adolfo Bioy Casares,
Julio Cortázar, Horacio Quiroga, Gabriel García Márquez (aunque no
toda su obra), José Lezama Lima...
Raymond
Chandler, Dashiell
Hammett, R. L. Stevenson (aunque se me hace muy difícil su lectura
en la actualidad), Graham Greene, John Cheever, William Burroughs,
William Faulkner, Chejov, Herman Hesse, Poe, Aldous Huxley, Henry
Miller, algo de Proust, Albert Camus… La lista es muy larga.
8) E.G. ¿Qué autor lo ha inspirado más?
M.C. Si
hubo un escritor que sobresaliera por encima de todos los escritores
de ciencia ficción que me inspiraron, ese era Stanley G. Weinbaum
Su obra era variada y exuberante. La estructura de sus cuentos
no tenía nada que envidiarle a los logrados por otros autores que
escribían literatura en general. La caracterización de sus
personajes, los diálogos, su imaginación correspondían a los de un
total prodigio. Weimbaum sacaba a relucir un futuro con mucho
sentido, pero podía proyectar ideas del pasado y del presente y
darle un matiz que muchos autores de su época ni siquiera pensaban.
No se limitaba a la mera aventura, sino que conceptualizaba sus
historias; extrapolaba ideas las cuales podían causar debate y,
sobre todo, era conocedor del impacto que causaría la ciencia en el
mundo. Hoy en día podríamos decir que muchos escritores lo han
superado, pero el hecho está en que él inspiró a otros escritores
que tendrían renombre una generación más adelante. Weinbaum me
influenció tanto porque me hizo apreciar la ciencia ficción
literaria como ningún otro autor.
9) E.G. ¿Se dice que hay muy poca ciencia ficción en su país, es verdad?
¿Por qué?
M.C. Eso
no es verdad. La ciencia ficción en México crece a pasos
agigantados. Hay convenciones de comics, la gente hace largas filas
para ver películas en su estreno, se visten de personajes de Star
Wars, deambulan como zombies cada año por las principales ciudades
de México, disfrutan las películas de luchadores, conocen todo tipo
de historias de anime japonés y no hacen otra cosa que jugar a los
videojuegos.
Desafortunadamente
no sucede lo mismo con la ciencia ficción escrita. Aquí en México
es rechazada por los aficionados, y entre los lectores habituales es
tachada de pseudoliteraria e infame, de tal modo que permanece en un
limbo del que muy difícilmente saldrá.
Las
razones son la poca falta de lectura de los mexicanos, su
displicencia por conocer la ciencia y los prejuicios que se tiene
hacia ella. Creo que en México se aprecia más la aventura, la
parafernalia, la imagen. La ciencia ficción escrita es un hábito
que sólo atañe a intelectuales excéntricos. La ciencia ficción
requiere de gente que cuestione su realidad, poco conformista y
testaruda.
10) E.G. ¿Se dice que la literatura de ciencia ficción es más bien para los
adolescentes, piensa que en realidad tiene un alcance más
importante?
M.C. La
ciencia ficción es un género que ha evolucionado debido a que lleva
más de 100 años de existencia. Durante cien años no podemos negar
que han sucedido muchísimas cosas que, debido a los avances
tecnológicos, no hubieran sido posibles: dos Guerras Mundiales, un
alunizaje, dispositivos móviles de comunicación, una industria
automotriz… Entonces, podemos decir que la ciencia ficción ha
contemplado sueños pero también pesadillas. Cuando se es niño, la
imagen, el ambiente y la estética de la ciencia ficción lo
sorprenden a uno. Siendo adolescente sucede lo mismo, pero ahora nos
fijamos más en el carácter del héroe para salir del embrollo, así
como una pequeña intervención amorosa de la heroína. Cuando se es
adulto, sucede un cambio importante: nos llenamos de preocupación
por la explosión demográfica, el cambio climático, marchas
estudiantiles… Cuando se llega a la tercera edad dejamos de sufrir
y nos ponemos a reflexionar sobre lo sucedido. Todo corresponde al
momento por el cual está pasando el lector o escritor en ese
momento. La ciencia ficción no es simplemente una narración, sino
una forma de pensar. Se encuentra tanto en nuestras inquietudes como
en nuestros sueños, no importa la edad que tengamos.
11) E.G. ¿Qué opina del porvenir de la literatura de Ciencia Ficción en
Latinoamérica en general y en su país en particular?
M.C. En
el primer caso va por buen camino, a pesar de que hay gente que
insiste en que la ciencia ficción está muerta. Hoy en día se puede
encontrar muchas páginas web que hablan del tema y las redes
sociales logran que tenga una difusión que muy difícilmente había.
Tengo entendido que en Perú, Colombia, Chile, Argentina y muchos
otros países ha habido importantes avances en cuanto a la
apreciación de la ciencia ficción. Se crean revistas, portales de
internet, coloquios… Esto ocurre principalmente gracias al fomento
a la lectura. En México nuestros gobernantes aún no han entendido
lo importante que es esto para una nación. Por eso pienso que la
ciencia ficción en México sólo es apreciada por unos cuantos.
12) E.G. ¿La Ciencia Ficción es una manera de expresar la realidad?
M.C. Desde
luego, No podemos negar que el mundo está cambiando en este
instante. En algún lugar, alguien debe estar concibiendo una idea
revolucionaria en cualquier ámbito social, cultural o científico.
Tal vez en una etapa muy germinal, pero existente. Esto puede
repercutir en el comportamiento del ser humano, de tal modo que sus
costumbres, e ideales no sean los mismos en veinte o treinta años.
Nadie puede ignoran estos cambios. Hoy usamos toda clase de
tecnologías para comunicarnos, pero en veinte años serán obsoletas
y algo más radical lo sustituirá y logrará efectuar un cambio
total en el ser humano. Son parte de nuestra vida, son hechos que
sucederán algún día. ¿Por qué, entonces, no podemos hablar de
ello, por qué no podemos plantear ese cambio? Tal vez se haga
realidad, tal vez no; el que imaginemos posibilidades y teorías no
tiene porque restarle seriedad. Lo mismo debieron pensar con respecto
a la llegada del Renacimiento. Todo trae consigo un cambio, y la
ciencia ficción propone hablar de ello.
Les Ollantay / 2 – phrase 151
Nos saluda, nos dice está reventando creo que hay gente que se ha colado, como sea, cojan algo de beber.
Traduction temporaire :
Elle nous dit bonjour, que c’est plein à craquer, je crois qu’il y a des gens qui se sont incrustés, mais bon, on s'en fout, prenez quelque chose à boire.
Elle nous dit bonjour, que c’est plein à craquer, je crois qu’il y a des gens qui se sont incrustés, mais bon, on s'en fout, prenez quelque chose à boire.
Les Ollantay / 2 – phrase 150
Tiene un polo manga cero XXL, lo suficientemente grande para dejar ver un fino sostén de seda negro, el polo esta estampado con una imagen sobredimensionada de la cara de Blondie.
Traduction temporaire :
Elle a un tee-shirt sans manches XXL avec en gros dessus le portait de Blondie. Il est suffisamment grand pour laisser entrevoir un soutien-gorge de fine soie noire.
Elle a un tee-shirt sans manches XXL avec en gros dessus le portait de Blondie. Il est suffisamment grand pour laisser entrevoir un soutien-gorge de fine soie noire.
Les Ollantay / 2 – phrase 149
Llegamos a casa de Astrid. Nos abre, lleva los lentes de marco grueso que le cubren la mitad de la cara y que apenas se sostienen en su nariz que es muy pequeña.
Traduction temporaire :
Nous arrivons chez Astrid. Elle nous ouvre, elle porte ses lunettes à monture épaisse qui lui mangent la moitié du visage et tiennent à peine sur son tout petit nez.
Nous arrivons chez Astrid. Elle nous ouvre, elle porte ses lunettes à monture épaisse qui lui mangent la moitié du visage et tiennent à peine sur son tout petit nez.
Les Lunes – phrases 175-176
Comencé a expulsar la esfera, era tan duro como cagar un ladrillo. Los ojos casi se me salían de las cuencas.
Traduction temporaire :
Je commençai à expulser la sphère ; c'était aussi dur que chier une brique. J'avais les yeux qui me sortaient presque des orbites.
Je commençai à expulser la sphère ; c'était aussi dur que chier une brique. J'avais les yeux qui me sortaient presque des orbites.
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