Esas personas, hombres y mujeres, que son las últimas en salir del aeropuerto, cuando ya no hay más gente afuera ni más carros que esperan, cuando todos aquellos parásitos del turismo, hoteleros, guías y taxistas, ya se fueron con sus letreritos de bienvenida, son quienes llegaron sin quererlo pero necesitándolo a Europa, precisamente a París, de noche y con lluvia.
Traduction temporaire :
Ces personnes, des hommes et des femmes, qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, hôteliers, guides et chauffeurs de taxi, sont enfin partis, avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles qui sont arrivées en Europe, à Paris pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse, non volontairement mais poussés par la nécessité.
Ces personnes, des hommes et des femmes, qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, hôteliers, guides et chauffeurs de taxi, sont enfin partis, avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles qui sont arrivées en Europe, à Paris pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse, non volontairement mais poussés par la nécessité.
10 commentaires:
Ces personnes, ces hommes et ces femmes, qui sont les dernières à sortir de l’aéroport, quand il n’y a plus personne dehors ni plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, les hôteliers, les guides touristiques et les chauffeurs de taxi sont enfin partis avec leurs petits écriteaux de bienvenue, ce sont elles qui sans le vouloir mais ayant besoin de l’Europe, plus exactement de Paris, sont arrivées lors d’une nuit pluvieuse.
Ces personnes, hommes et femmes, qui sont les dernières à sortir de l'aéroport, quand il n'y a plus personne dehors, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, hôteliers, guides et chauffeurs de taxi, sont déjà repartis avec leurs pancartes de bienvenue, ce sont elles qui sont arrivées sans le vouloir mais par nécessité en Europe, à Paris exactement, de nuit et sous la pluie.
Ni « ces » ni la solution avec rien pour « hommes » et « femmes »… C'est descriptif de « Ces personnes ».
« sortir » ou « quitter » ?
« quand » ou « alors que » ?
« dehors » ou « à l'extérieur » ?
« , plus de voitures qui attendent, » = OK.
Oui pour le « les »
Pas de virgule après « taxi ».
Oui, Sonita, pour « enfin ».
Virgule après « partis ».
« écriteaux » (sans petits) ou « pancartes » ?
« Ces personnes, » + « ce sont elles qui » ; la construction ne va pas.
Isolez « sans le vouloir » avec des virgules + oui pour la syntaxe de Sonita.
Reprendre la fin… Manque de clarté + de fluidité.
Ces personnes, les hommes et les femmes, qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, les hôteliers,les guides et les chauffeurs de taxi sont enfin partis, avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles qui, pas par volonté, mais par nécessité sont arrivées en Europe, à Paris pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse.
Ces personnes, les hommes et les femmes,
Non, pas « les ».
qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, les hôteliers, les guides et les chauffeurs de taxi sont enfin partis,
Tu avais raison, c'est mieux sans le « les ».
avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles qui, pas par volonté, mais par nécessité sont arrivées en Europe, à Paris pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse.
Décidément, il faut modifier la syntaxe.
Ces personnes, des hommes et des femmes, qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, hôteliers, guides et chauffeurs de taxi sont enfin partis, avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles quisont arrivées en Europe, à Paris, pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse, non pas par volonté, mais par nécessité.
Je te propose :
Ces personnes, des hommes et des femmes, qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, hôteliers, guides et chauffeurs de taxi, sont enfin partis, avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles qui sont arrivées en Europe, à Paris pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse, non volontairement mais poussés par la nécessité.
OK ?
Ces personnes, des hommes et des femmes, qui sont les dernières à quitter l'aéroport, quand il n'y a plus personne à l'extérieur, plus de voitures qui attendent, quand tous ces parasites du tourisme, hôteliers, guides et chauffeurs de taxi, sont enfin partis, avec leurs pancartes de bienvenue, sont celles qui sont arrivées en Europe, à Paris pour être exact, lors d'une nuit pluvieuse, non volontairement mais poussés par la nécessité.
La fin est effectivement plus claire, OK !
OK.
Désolée, décalage horaire... :p
D'accord!
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