Yo tenía suficiente experiencia como para imaginar su destino en un país como éste. Recordé a los peruanos, bolivianos y ecuatorianos que, disfrazados de indios, con sus zampoñas y ponchos y charangos, pero también con su tristeza apátrida, ocupan los andenes del metro.
Traduction temporaire :
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristesse apatride –, stagnant sur les quais du métro.
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristesse apatride –, stagnant sur les quais du métro.
10 commentaires:
J’avais suffisamment d’expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Equatoriens qui, déguisés en indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos (instrument de musique inspiré de la guitare) mais aussi avec leur tristesse apatride, occupaient les quais du métro.
J’avais suffisamment d’expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Equatoriens qui, déguisés en indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos (instrument de musique inspiré de la guitare) mais aussi avec leur tristesse apatride, occupaient les quais du métro.
J'avais suffisament d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens, les Équatoriens qui, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos, mais également chargés de leur tristese apatride, occupent les quais du métro.
Faut-il expliquer que « charango » est une sorte de guitare ?
J’avais suffisamment d’expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci.
OK.
Pas besoin de note pour « charango ».
Mais de « mais »… Vous terminez l'énumération avec :
« ; et aussi avec… »
+ Justine a raison : la dernière phrase est au présent et non à l'imparfait.
J'avais suffisament d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens, les Équatoriens qui, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos ; et aussi avec leur tristese apatride, occupent les quais du métro.
Je te propose :
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristese apatride –, stagnant sur les quais du métro.
OK ?
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristese apatride –, stagnant sur les quais du métro.
OK.
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristesse apatride –, stagnant sur les quais du métro.
OK pour moi, j'ai réécrit la phrase car il y avait une coquille "tristesse".
Validation d'une autre Lituma, svp.
OK.
Personnellement, j'avais assez d'expérience pour imaginer son destin dans un pays comme celui-ci. Je me rappelai les Péruviens, les Boliviens et les Équatoriens, déguisés en Indiens, avec leurs flûtes de pan, leurs ponchos et leurs charangos – et aussi leur tristesse apatride –, stagnant sur les quais du métro.
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