“Y vosotras que tenéis,
padres, hijos y maridos,
ayudadme con mis gemidos,
si es que mejor no podéis.”
Traduction temporaire :
« Et vous, qui avez
des pères, des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
« Et vous, qui avez
des pères, des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
17 commentaires:
« Et vous qui avez des pères, des enfants, des maris, gémissez avec moi, si vous ne pouvez pas faire plus. »
-virgule après "vous"?
-"ayudadme con los gemidos": je ne suis pas sûre du sens.
Oui pour la virgule.
« et des maris… » ; laisse comme en V.O.
« soulagez-moi » ?
« plus » ou « davantage » ?
« Et vous, qui avez des pères, des enfants et des maris, soulagez-moi, si vous ne pouvez pas faire davantage. »
Et comme ceci ? :
« Et vous, qui avez des pères,
des enfants, et des maris,
partagez ma peine,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
Pour plainte, j'ai pensé aussi à "plainte", "souffrance"
Émilie : on ne peut pas se dispenser de traduire « con mis gemidos ». Contournement de difficulté ;-)
Maintenant, il faut que vous vous mettiez d'accord sur « ayudadme ». je vous laisse en discuter.
Mmmhu, mais :
- "partagez mes gémissements".... comment dire...
- "aidez-moi à gémir", euh...
"partagez au moins ma peine"
Pour ne pas répéter "douleur" ?
Ah oui, je suis allée un peu vite en besogne...
« Et vous, qui avez des pères,
des enfants, et des maris,
aidez-moi en partageant ma peine,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
Raison pour laquelle je trouvais que « soulager la peine » était assez convenable.
Émilie,
Nos commentaires se sont croisés… Pas sûre pour le sens.
OK pour ça, alors (a-t-on besoin du "au moins"?)
« Et vous, qui avez des pères,
des enfants, et des maris,
soulagez ma peine,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
« Et vous, qui avez des pères,
des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
Elena,
Je trouve assez bien ton « en la partageant », mais comme c'est vraiment un ajout par rapport à la V.O., motive-le… Explique.
C'est par rapport à "ayudadme" : on se demande "comment" ? Et sous entendu dans la restriction : "si es que mejor no podéis.", nous trouvons la réponse : "au moins en la partageant", en pleurant avec moi.
Mouais… J'avoue ne pas être très convaincue par l'explication dans la mesure où elle dérive d'une question à se poser à partir de la V.O. ; ce qui suppose une grand part de subjectivité.
Que ce soit clair : je ne dis pas non à ta trad – enfin, à la cheville…
Émilie, qu'en penses-tu ?
OK pour moi, ça me semble aller dans le sens de "aidez-moi en vous associant à ma peine", comme je comprends la phrase)
« Et vous, qui avez des pères,
des enfants, et des maris,
soulagez ma peine en la partageant,
si vous ne pouvez pas faire davantage. »
Oui, très mal expliqué de ma part ;-).
En fait, en V.O., on ne se pose pas tellement la question, c'est une expression colloquiale très courante.
C'est en français qu'elle s'impose à partir du "mieux" : "mieux" que quoi ? Sinon, c'est contradictoire : "soulagez ma peine si vous ne pouvez pas faire davantage", si on soulage sa peine, c'est déjà pas mal !
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