Pero lo peor de todo no era eso… Lo peor era verlos a cada uno de ustedes pasar a manos de esos carniceros, ver que se me los estaban llevando, de a poquito. Y una sin poder hacer nada… ¡Eso no es vida!
Traduction temporaire :
Mais le pire, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me prenait mes petits, progressivement. Sans que je puisse rien faire… Ça n'est pas une vie !
Mais le pire, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me prenait mes petits, progressivement. Sans que je puisse rien faire… Ça n'est pas une vie !
6 commentaires:
Mais le pire de tout, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me les enlevait, petit-à-petit. Et moi, qui ne pouvait rien faire… Ça n'est pas une vie !
"pasar a manos"...
Mais le pire de tout [on supprime « de tout » ?], ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous [« de vous » ou « d'entre vous » ?] passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me les enlevait [ou « de voir qu'on me prenait mes petits » ?], petit-à-petit [« progressivement »]. Et moi, qui ne pouvait rien faire… [passe par « sans que…»] Ça n'est pas une vie !
Mais le pire, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me prenait mes petits, progressivement. Sans que je puisse rien faire… Ça n'est pas une vie !
Mais le pire, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me prenait mes petits, progressivement. Sans que je puisse rien faire… Ça n'est pas une vie !
OK.
Émilie ?
Mais le pire, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me prenait mes petits, progressivement. Sans que je puisse rien faire… Ça n'est pas une vie !
OK.
Mais le pire, ce n'était pas ça… Le pire, c'était de voir chacun de vous passer entre les mains de ces bouchers, de voir qu'on me prenait mes petits, progressivement. Sans que je puisse rien faire… Ça n'est pas une vie !
OK.
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