Sur 17 votants :
Vivant = 7 (41%)
Mort = 3 (17%)
Indifférent = 7 (41%)
Je laisse à Nathalie le soin de commenter SON sondage. Une chose est sûre, cependant : peu nombreux sont finalement ceux qui craignent de subir le jugement éventuel des auteurs sur lesquels ils travaillent ; ce qui est assez rassurant. Peut-être ceux qui ont "voté" Mort ont-ils eu de mauvaises expériences…
Le commentaire de Nathalie :
L’idée de ce sondage m’est venue après avoir entendu dire, au cours d’une conférence donnée par une traductrice tchèque, que Milan Kundera rendait la vie impossible à ses traducteurs…
Apparemment, la perspective de subir les foudres d’un auteur vivant n’a pas effrayé les participants à ce sondage, puisque vous n’êtes que 3 à préférer traduire un auteur mort. Pour quelle(s) raison(s) d’ailleurs ? Parce qu’il ne vous adressera aucun commentaire ? Ou bien parce que la littérature contemporaine ne vous attire pas ?
Ceux qui, dans la majorité, préfèrent traduire un auteur vivant, espèrent peut-être le contacter, en cas de difficultés. Un dialogue constructif peut même se nouer. Jean Marie Saint Lu nous en apporte régulièrement le témoignage.
Quant à ceux qui acceptent de traduire indistinctement un auteur vivant ou mort, est-ce à dire qu’ils ne s’intéressent pas à l’auteur ? A moins qu’ils ne fassent preuve d’une plus grande ouverture d’esprit que ceux qui affichent déjà des préférences…
Comme vous pouvez le constater, en l’absence de toute justification, je ne peux guère apporter de réponse tranchée, mais les questions posées peuvent cependant susciter une nouvelle réflexion, je n’ose dire, un nouveau sondage…
Vivant = 7 (41%)
Mort = 3 (17%)
Indifférent = 7 (41%)
Je laisse à Nathalie le soin de commenter SON sondage. Une chose est sûre, cependant : peu nombreux sont finalement ceux qui craignent de subir le jugement éventuel des auteurs sur lesquels ils travaillent ; ce qui est assez rassurant. Peut-être ceux qui ont "voté" Mort ont-ils eu de mauvaises expériences…
Le commentaire de Nathalie :
L’idée de ce sondage m’est venue après avoir entendu dire, au cours d’une conférence donnée par une traductrice tchèque, que Milan Kundera rendait la vie impossible à ses traducteurs…
Apparemment, la perspective de subir les foudres d’un auteur vivant n’a pas effrayé les participants à ce sondage, puisque vous n’êtes que 3 à préférer traduire un auteur mort. Pour quelle(s) raison(s) d’ailleurs ? Parce qu’il ne vous adressera aucun commentaire ? Ou bien parce que la littérature contemporaine ne vous attire pas ?
Ceux qui, dans la majorité, préfèrent traduire un auteur vivant, espèrent peut-être le contacter, en cas de difficultés. Un dialogue constructif peut même se nouer. Jean Marie Saint Lu nous en apporte régulièrement le témoignage.
Quant à ceux qui acceptent de traduire indistinctement un auteur vivant ou mort, est-ce à dire qu’ils ne s’intéressent pas à l’auteur ? A moins qu’ils ne fassent preuve d’une plus grande ouverture d’esprit que ceux qui affichent déjà des préférences…
Comme vous pouvez le constater, en l’absence de toute justification, je ne peux guère apporter de réponse tranchée, mais les questions posées peuvent cependant susciter une nouvelle réflexion, je n’ose dire, un nouveau sondage…
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