Comme annoncé, les apprentis traducteurs sont en train de faire leur grand devoir de l'année, celui qui doit clore le cycle infernal des très nombreuses versions réalisées chez eux et en cours (en atelier de traduction collective puis seuls, en temps limité et sans le moindre outil) : 13h00-16h30 pour traduire un fragment de la nouvelle de Waldo Pérez Cino, « La reja » (in Nuevos narradores cubanos, Madrid, Siruela, 2000). L'ayant moi-même traduite (in Des nouvelles de Cuba, Paris, Métailié, 2001), je corrigerai cela avec un plaisir tout particulier et en connaissance de cause. Les étudiants ont à leur disposition les 5 premières pages et doivent traduire le plus loin possible et, évidemment, le mieux possible… Mais ils ne sont tout de même pas absolument démunis puisqu'ils ont leurs ordinateurs avec une connexion internet – autant dire accès à l'ensemble des dictionnaires, etc.
Beau défi, n'est-ce pas ?
Beau défi, n'est-ce pas ?
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